Didier François, Nicolas Hénin, Edouard Elias et Pierre Torrès sont libres. Les quatre journalistes français, otages en Syrie depuis juin 2013, devaient refouler le territoire français hier matin. Dès l'annonce de leur libération, les réactions de joie et de soulagement ont logiquement afflué. Didier François, Nicolas Hénin, Edouard Elias et Pierre Torrès sont libres. Les quatre journalistes français, otages en Syrie depuis juin 2013, devaient refouler le territoire français hier matin. Dès l'annonce de leur libération, les réactions de joie et de soulagement ont logiquement afflué. "C'est extraordinaire. Cela fait tellement longtemps qu'on attend ça", s'est réjouie la journaliste Florence Aubenas, elle-même ancienne otage et co-présidente du comité de soutien des quatre hommes. Si le Comité Otages en Syrie savait que "les négociations se passaient bien", il s'est tout de même dit "surpris par l'annonce". Françoise François, épouse de Didier, a eu l'occasion de parler à son conjoint au téléphone. "Il va très bien, c'est comme si on s'était quitté la veille. C'est Didier François tel que je le connais que j'ai retrouvé au téléphone tout à l'heure", a-t-elle raconté. Pierre-Yves Hénin, le père de Nicolas, journaliste au Point, a lui indiqué que les quatre hommes étaient "sur le point de prendre l'avion duretour" et que leur moral était "particulièrement bon". "Nous sommes heureux qu'ils soient sortis tous les quatre ensemble. C'est une chance énorme et ce soir les larmes seront mélangées au champagne", s'est amusée Patricia Philibert, secrétaire générale de Otages du Monde, également membre du Comité de soutien Otages en Syrie. Une joie partagée par l'ensemble de l'échiquier politique, membres de la majorité comme d'opposition. Le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, a exprimé sa "joie" et adressé ses "pensées les plus chaleureuses" aux quatre hommes. "Lorsque des journalistes sont muselés, c'est le droit à l'information, pilier de notre démocratie, qui est pris en otage". a-t-il conclu. "C'est extraordinaire. Cela fait tellement longtemps qu'on attend ça", s'est réjouie la journaliste Florence Aubenas, elle-même ancienne otage et co-présidente du comité de soutien des quatre hommes. Si le Comité Otages en Syrie savait que "les négociations se passaient bien", il s'est tout de même dit "surpris par l'annonce". Françoise François, épouse de Didier, a eu l'occasion de parler à son conjoint au téléphone. "Il va très bien, c'est comme si on s'était quitté la veille. C'est Didier François tel que je le connais que j'ai retrouvé au téléphone tout à l'heure", a-t-elle raconté. Pierre-Yves Hénin, le père de Nicolas, journaliste au Point, a lui indiqué que les quatre hommes étaient "sur le point de prendre l'avion duretour" et que leur moral était "particulièrement bon". "Nous sommes heureux qu'ils soient sortis tous les quatre ensemble. C'est une chance énorme et ce soir les larmes seront mélangées au champagne", s'est amusée Patricia Philibert, secrétaire générale de Otages du Monde, également membre du Comité de soutien Otages en Syrie. Une joie partagée par l'ensemble de l'échiquier politique, membres de la majorité comme d'opposition. Le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, a exprimé sa "joie" et adressé ses "pensées les plus chaleureuses" aux quatre hommes. "Lorsque des journalistes sont muselés, c'est le droit à l'information, pilier de notre démocratie, qui est pris en otage". a-t-il conclu.