Chef-lieu de daïra, à 20 km de Jijel, la ville de Taher entend, selon son premier magistrat, entrer de plain-pied dans la bataille du développement pour être digne du plus illustre de ses enfants, le regretté Ferhat Abbas. Chef-lieu de daïra, à 20 km de Jijel, la ville de Taher entend, selon son premier magistrat, entrer de plain-pied dans la bataille du développement pour être digne du plus illustre de ses enfants, le regretté Ferhat Abbas. L a coquette agglomération de Taher veut, selon l'APS, donner l'image d'une ville tournée vers l'avenir et offrir à ses 78.000 habitants un meilleur cadre de vie à quelques jours de la commémoration du 69e anniversaire des massacres du 8 Mai 1945 réprimant dans le sang le cri de liberté lancé par le peuple algérien à l'instigation des Amis du manifeste et de la liberté de Ferhat Abbas. Hafid Boumahrouk, président de l'APC, cite d'emblée l'effort déployé pour fluidifier la circulation automobile dans cette cité en pleine expansion et il fait état dans ce contexte de la "réactivation" du projet de création d'un tunnel pour desserrer l'étau du trafic. Cet ouvrage, d'une longueur de 110 m pour 500 m de large et qui a nécessité une enveloppe financière de quatre cents millions de dinars, permettra de décongestionner la circulation automobile. "L'étude est finalisée et le projet sera lancé en réalisation très prochainement", a indiqué à l'APS M. Boumahrouk, précisant que cet ouvrage sera habillé de pierre de taille, un "matériau noble qui devrait donner de l'allure à l'ouvrage". La commune projette de réaliser un jardin public sur le site de l'ancien siège du tribunal, dans le cadre de l'embellissement de cette agglomération populeuse. Une vingtaine d'arbres ainsi que des lampadaires stylisés agrémenteront cet endroit, en même temps que des panneaux électroniques destinés à informer les citoyens sur l'actualité communale et les réunions des édiles communaux, ce qui constituerait "une première", a encore ajouté M. Boumahrouk. Selon le premier magistrat de la ville, la ville de Taher "entame une nouvelle mue, avec une nouvelle vision" pour la "débarrasser des vieux stéréotypes dont elle a été longtemps affublée, à tort", de plus, cette cité est l'une des rares agglomérations de la wilaya de Jijel à avoir innové en matière de communication en étant parmi les premières à mettre en service un site internet qui permet aux citoyens d'être constamment informés de la vie de leur localité. Ce site "fait l'objet de 4.000 visites par jour", a précisé fièrement M. Boulahrouk, faisant part de la détermination de l'assemblée à "s'ouvrir davantage sur la société". Concernant la qualité de vie, les autorités locales ont lancé une cinquantaine de projets relatifs, notamment, au raccordement au réseau du gaz naturel de plusieurs quartiers, à la réhabilitation d'immeubles et de vestiges historiques, à l'assainissement, à l'alimentation en eau potable et à la lutte contre les constructions illicites bâties sur des terres agricoles ou encore à la récupération des poches foncières appartenant à la commune. Parmi ses priorités, l'APC a également fixé "la lutte sans merci contre les décharges sauvages qui défigurent le paysage urbain", selon l'édile qui indiqué que des prospections se poursuivent pour l'identification d'un site pour la réalisation d'un incinérateur de déchets. La commune de Taher, réputée pour ses activités agricoles et commerciales, abrite aussi une puissante centrale électrique à gaz, à El Achouet, une importante zone industrielle, à Ouled Salah, en plus du port de Djendjen et de l'aéroport, objet de grands travaux de réhabilitation. Comptant vingt-deux mechtas, la ville de Taher actuelle, située sur le site d'un ancien village datant de l'époque ottomane, a été érigée sur les terres d'autochtones chassés dans les montagnes avoisinantes, après la révolte d'El Mokrani en 1871. L a coquette agglomération de Taher veut, selon l'APS, donner l'image d'une ville tournée vers l'avenir et offrir à ses 78.000 habitants un meilleur cadre de vie à quelques jours de la commémoration du 69e anniversaire des massacres du 8 Mai 1945 réprimant dans le sang le cri de liberté lancé par le peuple algérien à l'instigation des Amis du manifeste et de la liberté de Ferhat Abbas. Hafid Boumahrouk, président de l'APC, cite d'emblée l'effort déployé pour fluidifier la circulation automobile dans cette cité en pleine expansion et il fait état dans ce contexte de la "réactivation" du projet de création d'un tunnel pour desserrer l'étau du trafic. Cet ouvrage, d'une longueur de 110 m pour 500 m de large et qui a nécessité une enveloppe financière de quatre cents millions de dinars, permettra de décongestionner la circulation automobile. "L'étude est finalisée et le projet sera lancé en réalisation très prochainement", a indiqué à l'APS M. Boumahrouk, précisant que cet ouvrage sera habillé de pierre de taille, un "matériau noble qui devrait donner de l'allure à l'ouvrage". La commune projette de réaliser un jardin public sur le site de l'ancien siège du tribunal, dans le cadre de l'embellissement de cette agglomération populeuse. Une vingtaine d'arbres ainsi que des lampadaires stylisés agrémenteront cet endroit, en même temps que des panneaux électroniques destinés à informer les citoyens sur l'actualité communale et les réunions des édiles communaux, ce qui constituerait "une première", a encore ajouté M. Boumahrouk. Selon le premier magistrat de la ville, la ville de Taher "entame une nouvelle mue, avec une nouvelle vision" pour la "débarrasser des vieux stéréotypes dont elle a été longtemps affublée, à tort", de plus, cette cité est l'une des rares agglomérations de la wilaya de Jijel à avoir innové en matière de communication en étant parmi les premières à mettre en service un site internet qui permet aux citoyens d'être constamment informés de la vie de leur localité. Ce site "fait l'objet de 4.000 visites par jour", a précisé fièrement M. Boulahrouk, faisant part de la détermination de l'assemblée à "s'ouvrir davantage sur la société". Concernant la qualité de vie, les autorités locales ont lancé une cinquantaine de projets relatifs, notamment, au raccordement au réseau du gaz naturel de plusieurs quartiers, à la réhabilitation d'immeubles et de vestiges historiques, à l'assainissement, à l'alimentation en eau potable et à la lutte contre les constructions illicites bâties sur des terres agricoles ou encore à la récupération des poches foncières appartenant à la commune. Parmi ses priorités, l'APC a également fixé "la lutte sans merci contre les décharges sauvages qui défigurent le paysage urbain", selon l'édile qui indiqué que des prospections se poursuivent pour l'identification d'un site pour la réalisation d'un incinérateur de déchets. La commune de Taher, réputée pour ses activités agricoles et commerciales, abrite aussi une puissante centrale électrique à gaz, à El Achouet, une importante zone industrielle, à Ouled Salah, en plus du port de Djendjen et de l'aéroport, objet de grands travaux de réhabilitation. Comptant vingt-deux mechtas, la ville de Taher actuelle, située sur le site d'un ancien village datant de l'époque ottomane, a été érigée sur les terres d'autochtones chassés dans les montagnes avoisinantes, après la révolte d'El Mokrani en 1871.