L'année scolaire tire à sa fin, les examens approchent à grande vitesse et les candidats augmentent la cadence des révisions. Les candidats peuvent retirer leurs convocations via Internet, et ce depuis le 27 avril jusqu'au 28 mai. Rappelons que l'agenda des examens de fin d'année tel que arrêté par le ministère de l'Education et l'Office des examens et concours (ONEC) s'établit comme suit : examen du cycle primaire (la cinquième) : prévu le 28 mai, l'examen du baccalauréat est prévu le 1er juin et enfin l'examen du cycle moyen (BEM) est prévu le 9 juin. L'année scolaire tire à sa fin, les examens approchent à grande vitesse et les candidats augmentent la cadence des révisions. Les candidats peuvent retirer leurs convocations via Internet, et ce depuis le 27 avril jusqu'au 28 mai. Rappelons que l'agenda des examens de fin d'année tel que arrêté par le ministère de l'Education et l'Office des examens et concours (ONEC) s'établit comme suit : examen du cycle primaire (la cinquième) : prévu le 28 mai, l'examen du baccalauréat est prévu le 1er juin et enfin l'examen du cycle moyen (BEM) est prévu le 9 juin. Depuis hier pas moins de 450.374 candidats des classes de terminales ont entamé les épreuves du baccalauréat blanc. Le ministère de l'Education nationale de l'époque Baba Ahmed avait annoncé en fin de mois d'avril que le dossier de la session de rattrapage de l'examen du baccalauréat était en cours d'étude, précisant que les mesures prises par le gouvernement seront appliquées à partir de la session de juin 2015. Par souci de préserver la crédibilité des informations et d'éviter toute interprétation de part et d'autre, le ministère de l'Education nationale a fait savoir que le dossier de la session de rattrapage de l'examen du Bac "est en cours d'étude depuis décembre 2013, étude qui sera élargie, a-til ajouté, à tous les partenaires sociaux". Le ministère a rappelé dans un communiqué que l'organisation d'une session de rattrapage "sera subordonnée à une série de conditions, en cours d'examen, précisant que les mesures découlant de la consultation seront soumises au gouvernement pour examen". "Les mesures approuvées par le gouvernement à ce sujet entreront en vigueur à partir de juin 2015", est-il indiqué dans le communiqué. Le premier responsable du secteur, Abdellatif Baba Ahmed, avait révélé la semaine écoulée que la possibilité d'organiser une session de rattrapage pour les candidats au baccalauréat dont la moyenne oscillera entre 9,5/20 et 9,99/20 sera prochainement débattue. Les candidats concernés doivent avoir fait preuve d'assiduité tout au long de l'année scolaire et obtenu de bonnes moyennes en 2e et 3e années secondaires pour pouvoir bénéficier de cette seconde chance. L'organisation de la session de rattrapage devra avoir lieu trois ou quatre jours après l'annonce des résultats définitifs. Les candidats concernés par les examens de rattrapage doivent avoir échoué dans seulement deux à trois matières, a indiqué le responsable qui a affirmé qu'il n'y aura pas de recours au rachat. Enfin il est à souligner que l'Office national des examens et concours (ONEC), a noté une différence de plus de 87.669 candidats au Bac soit un taux d'augmentation de 15,40 %. Les candidats libres sont de l'ordre de 206.652, ce qui donnera un nombre de 657.026 postulants pour la session 2014. Ces candidats seront répartis sur 2.180 centres d'examen implantés à travers l'ensemble du territoire national. Ils seront encadrés par 120.000 enseignants et encadreurs qui prendront en charge la surveillance des inscrits à l'examen, à raison de trois surveillants par salle pour les candidats scolarisés et de quatre surveillants par salle pour les candidats libres. Afin de mieux mener ces épreuves, le ministère de tutelle a prévu, cette année, 7.760 observateurs pour les épreuves du baccalauréat. Le renforcement de l'effectif des observateurs, au niveau des centres d'examen permettra, selon les responsables du secteur une meilleure transparence de l'examen et aidera les chefs de centres dans leurs missions. Les observateurs auront tous à rédiger un rapport destiné à l'ONEC, dans lequel ils consigneront des informations et des observations sur le déroulement de l'examen. Depuis hier pas moins de 450.374 candidats des classes de terminales ont entamé les épreuves du baccalauréat blanc. Le ministère de l'Education nationale de l'époque Baba Ahmed avait annoncé en fin de mois d'avril que le dossier de la session de rattrapage de l'examen du baccalauréat était en cours d'étude, précisant que les mesures prises par le gouvernement seront appliquées à partir de la session de juin 2015. Par souci de préserver la crédibilité des informations et d'éviter toute interprétation de part et d'autre, le ministère de l'Education nationale a fait savoir que le dossier de la session de rattrapage de l'examen du Bac "est en cours d'étude depuis décembre 2013, étude qui sera élargie, a-til ajouté, à tous les partenaires sociaux". Le ministère a rappelé dans un communiqué que l'organisation d'une session de rattrapage "sera subordonnée à une série de conditions, en cours d'examen, précisant que les mesures découlant de la consultation seront soumises au gouvernement pour examen". "Les mesures approuvées par le gouvernement à ce sujet entreront en vigueur à partir de juin 2015", est-il indiqué dans le communiqué. Le premier responsable du secteur, Abdellatif Baba Ahmed, avait révélé la semaine écoulée que la possibilité d'organiser une session de rattrapage pour les candidats au baccalauréat dont la moyenne oscillera entre 9,5/20 et 9,99/20 sera prochainement débattue. Les candidats concernés doivent avoir fait preuve d'assiduité tout au long de l'année scolaire et obtenu de bonnes moyennes en 2e et 3e années secondaires pour pouvoir bénéficier de cette seconde chance. L'organisation de la session de rattrapage devra avoir lieu trois ou quatre jours après l'annonce des résultats définitifs. Les candidats concernés par les examens de rattrapage doivent avoir échoué dans seulement deux à trois matières, a indiqué le responsable qui a affirmé qu'il n'y aura pas de recours au rachat. Enfin il est à souligner que l'Office national des examens et concours (ONEC), a noté une différence de plus de 87.669 candidats au Bac soit un taux d'augmentation de 15,40 %. Les candidats libres sont de l'ordre de 206.652, ce qui donnera un nombre de 657.026 postulants pour la session 2014. Ces candidats seront répartis sur 2.180 centres d'examen implantés à travers l'ensemble du territoire national. Ils seront encadrés par 120.000 enseignants et encadreurs qui prendront en charge la surveillance des inscrits à l'examen, à raison de trois surveillants par salle pour les candidats scolarisés et de quatre surveillants par salle pour les candidats libres. Afin de mieux mener ces épreuves, le ministère de tutelle a prévu, cette année, 7.760 observateurs pour les épreuves du baccalauréat. Le renforcement de l'effectif des observateurs, au niveau des centres d'examen permettra, selon les responsables du secteur une meilleure transparence de l'examen et aidera les chefs de centres dans leurs missions. Les observateurs auront tous à rédiger un rapport destiné à l'ONEC, dans lequel ils consigneront des informations et des observations sur le déroulement de l'examen.