L'Ecole d'application du transport et de la circulation de Tlemcen a été baptisée, jeudi dernier, du nom du chahid Louadj-Mohamed dit Commandant Ferradj, lors d'une cérémonie présidée par le général Yacine Aidoud, chef d'état-major de la deuxième région militaire. L'Ecole d'application du transport et de la circulation de Tlemcen a été baptisée, jeudi dernier, du nom du chahid Louadj-Mohamed dit Commandant Ferradj, lors d'une cérémonie présidée par le général Yacine Aidoud, chef d'état-major de la deuxième région militaire. Au cours de cette cérémonie qui intervient en application des décisions du général de corps d'armée, chef d'état major de l'Armée nationale populaire et vice-ministre de la Défense, le général Aidoud a souligné que "baptiser des structures militaires des noms de nos valeureux martyrs est un grand honneur pour celles-ci et une grande responsabilité qui incombe aux éléments de l'ANP dignes héritiers de ceux de l'Armée de libération nationale (ALN)". Il a ajouté que "cette responsabilité exige plus d'efforts et de sacrifices de la part des éléments de l'ANP, afin de relever les grands défis auxquels fait face l'Algérie, ceux de la défendre et de sauvegarder sa souveraineté et sa stabilité". De son côté, le colonel Mohamed Naalamane, commandant de l'école a présenté, dans son allocution, un bref aperçu sur les sacrifices du chahid dont le nom a été donné à cet établissement. Après l'inauguration de la plaque commémorative portant le nom du martyr, la famille du commandant Farradj a été honorée en présence des autorités civiles et militaires de la wilaya de Tlemcen. Le chahid Louadj Mohamed, natif de Aïn Ghraba à Tlemcen en 1934, a travaillé comme enseignant avant de rejoindre, en 1952, l'Association des oulémas algériens et devenir un membre efficace dans les cellules du comité révolutionnaire. Après avoir effectué plusieurs opérations clandestines, il a contribué à l'organisation de la révolution, où il a travaillé à la tête d'un groupe armé. En reconnaissance pour ses capacités, le commandement de la wilaya 5 historique l'a désigné responsable de la zone 5 avec le grade de commandant. Il a participé à plusieurs combats contre les forces coloniales françaises et à la réunion des 10 colonels en Tunisie comme représentant du colonel Lotfi, puis à la réunion du Conseil de la révolution à Tripoli. Il tomba au champ d'honneur le 27 mars 1960 dans une bataille héroïque dans la région de Béchar, aux côtés du colonel Lotfi. Au cours de cette cérémonie qui intervient en application des décisions du général de corps d'armée, chef d'état major de l'Armée nationale populaire et vice-ministre de la Défense, le général Aidoud a souligné que "baptiser des structures militaires des noms de nos valeureux martyrs est un grand honneur pour celles-ci et une grande responsabilité qui incombe aux éléments de l'ANP dignes héritiers de ceux de l'Armée de libération nationale (ALN)". Il a ajouté que "cette responsabilité exige plus d'efforts et de sacrifices de la part des éléments de l'ANP, afin de relever les grands défis auxquels fait face l'Algérie, ceux de la défendre et de sauvegarder sa souveraineté et sa stabilité". De son côté, le colonel Mohamed Naalamane, commandant de l'école a présenté, dans son allocution, un bref aperçu sur les sacrifices du chahid dont le nom a été donné à cet établissement. Après l'inauguration de la plaque commémorative portant le nom du martyr, la famille du commandant Farradj a été honorée en présence des autorités civiles et militaires de la wilaya de Tlemcen. Le chahid Louadj Mohamed, natif de Aïn Ghraba à Tlemcen en 1934, a travaillé comme enseignant avant de rejoindre, en 1952, l'Association des oulémas algériens et devenir un membre efficace dans les cellules du comité révolutionnaire. Après avoir effectué plusieurs opérations clandestines, il a contribué à l'organisation de la révolution, où il a travaillé à la tête d'un groupe armé. En reconnaissance pour ses capacités, le commandement de la wilaya 5 historique l'a désigné responsable de la zone 5 avec le grade de commandant. Il a participé à plusieurs combats contre les forces coloniales françaises et à la réunion des 10 colonels en Tunisie comme représentant du colonel Lotfi, puis à la réunion du Conseil de la révolution à Tripoli. Il tomba au champ d'honneur le 27 mars 1960 dans une bataille héroïque dans la région de Béchar, aux côtés du colonel Lotfi.