La Gendarmerie nationale se met à l'heure des nouvelles Technologies de l'information et de la communication au profit de la sécurité publique. Un séminaire leur a été consacré, hier, à l'Institut national de criminalistique et de criminologie de Bouchaoui à Alger. La Gendarmerie nationale se met à l'heure des nouvelles Technologies de l'information et de la communication au profit de la sécurité publique. Un séminaire leur a été consacré, hier, à l'Institut national de criminalistique et de criminologie de Bouchaoui à Alger. Le système d'identification automatique des empreintes digitales (Afis), déployé par la Gendarmerie nationale en 2005, a été mis à niveau grâce à l'acquisition de nouveaux serveurs et appareils biométrique, notamment des portatifs (Bleue-Check) au profit des unités de la Gendarmerie nationale au nord du pays. Cette mise à niveau a permis l'augmentation de la capacité de stockage des empreintes digitales (3 millions d'enregistrements au lieu de 2 millions d'enregistrements) et un meilleur temps de réponse (15 secondes au lieu de 90 secondes). Ce fait a été mis en exergue, hier, par les responsables de la Gendarmerie nationale lors de l'ouverture du séminaire national de la télématique à l'Institut national de criminalistique et de criminologie de Bouchaoui à Alger. Le séminaire sous la thématique « Exploitation des technologies de l'information et de la communication au profit de la sécurité publique » a été aussi l'occasion pour la remise symbolique, par le directeur général d'Algerac, de l'attestation d'« Accréditation » du laboratoire de l'INCC de la GN, au colonel Guir Badaoui, directeur de la Télématique/ CGN. Un moment qualifié d'« historique » par le premier responsable de cet organisme certificateur algérien, le seul qui existe, hormis l'Afrique du Sud, à l'échelle du continent africain et du monde arabe. Une accréditation qui signifie que le laboratoire est « compétent » et travaille selon les « normes internationales ». Deux « portées » sont « accréditées ». Il s'agit de celui des « drogues » et celui des « alcools » et une reconnaissance internationale avec la norme 17025. Il faut souligner que « l'accréditation » qui est aujourd'hui, selon le directeur général d'Algérac « une réalité » en Algérie, est un « système complexe qui demande beaucoup de technologies et autant d'investissements ». Il apporte de la « crédibilité » et de la « fiabilité » à l'expertise. Quant au séminaire auquel est assigné comme objectifs l'importance du système d'information et de communication de la GN, répertorié les contraintes techniques et enfin à la déduction des recommandations pour le bon fonctionnement du système, il a été subdivisé en cinq conférences. Elles traiteront de l'évolution du réseau internet de la GN et les services offerts, en passant par la modernisation du réseau radio, des échanges des SMS entre les stations de radio, l'automatisme des activités de la GN, le déploiement et l'exploitation du système Afis pour arriver au projet Runitel phase finale. Pour rappel le projet Runitel (réseau unifié d'information et des télécommunications) a été lancé dans sa 1re phase en 2005 au profit des unités du Nord du pays, devenu opérationnel en 2011 se caractérise notamment par le numéro vert le 10 55 (centre d'appel d'urgence). Le directeur de l'institut, le colonel Abdelhamid Messaoudi, dans son intervention d'ouverture du séminaire, a mis en exergue « l'effort du personnel et du commandement de la GN » et a salué « un partenariat utile entre l'INCC et la GN ». Le système d'identification automatique des empreintes digitales (Afis), déployé par la Gendarmerie nationale en 2005, a été mis à niveau grâce à l'acquisition de nouveaux serveurs et appareils biométrique, notamment des portatifs (Bleue-Check) au profit des unités de la Gendarmerie nationale au nord du pays. Cette mise à niveau a permis l'augmentation de la capacité de stockage des empreintes digitales (3 millions d'enregistrements au lieu de 2 millions d'enregistrements) et un meilleur temps de réponse (15 secondes au lieu de 90 secondes). Ce fait a été mis en exergue, hier, par les responsables de la Gendarmerie nationale lors de l'ouverture du séminaire national de la télématique à l'Institut national de criminalistique et de criminologie de Bouchaoui à Alger. Le séminaire sous la thématique « Exploitation des technologies de l'information et de la communication au profit de la sécurité publique » a été aussi l'occasion pour la remise symbolique, par le directeur général d'Algerac, de l'attestation d'« Accréditation » du laboratoire de l'INCC de la GN, au colonel Guir Badaoui, directeur de la Télématique/ CGN. Un moment qualifié d'« historique » par le premier responsable de cet organisme certificateur algérien, le seul qui existe, hormis l'Afrique du Sud, à l'échelle du continent africain et du monde arabe. Une accréditation qui signifie que le laboratoire est « compétent » et travaille selon les « normes internationales ». Deux « portées » sont « accréditées ». Il s'agit de celui des « drogues » et celui des « alcools » et une reconnaissance internationale avec la norme 17025. Il faut souligner que « l'accréditation » qui est aujourd'hui, selon le directeur général d'Algérac « une réalité » en Algérie, est un « système complexe qui demande beaucoup de technologies et autant d'investissements ». Il apporte de la « crédibilité » et de la « fiabilité » à l'expertise. Quant au séminaire auquel est assigné comme objectifs l'importance du système d'information et de communication de la GN, répertorié les contraintes techniques et enfin à la déduction des recommandations pour le bon fonctionnement du système, il a été subdivisé en cinq conférences. Elles traiteront de l'évolution du réseau internet de la GN et les services offerts, en passant par la modernisation du réseau radio, des échanges des SMS entre les stations de radio, l'automatisme des activités de la GN, le déploiement et l'exploitation du système Afis pour arriver au projet Runitel phase finale. Pour rappel le projet Runitel (réseau unifié d'information et des télécommunications) a été lancé dans sa 1re phase en 2005 au profit des unités du Nord du pays, devenu opérationnel en 2011 se caractérise notamment par le numéro vert le 10 55 (centre d'appel d'urgence). Le directeur de l'institut, le colonel Abdelhamid Messaoudi, dans son intervention d'ouverture du séminaire, a mis en exergue « l'effort du personnel et du commandement de la GN » et a salué « un partenariat utile entre l'INCC et la GN ».