La réactivité, l'organisation, le professionnalisme et l'efficacité des secouristes et des différents intervenants ont été testés avec succès, mercredi, lors de la simulation du crash d'un avion de ligne près de Tébessa. La réactivité, l'organisation, le professionnalisme et l'efficacité des secouristes et des différents intervenants ont été testés avec succès, mercredi, lors de la simulation du crash d'un avion de ligne près de Tébessa. L'exercice effectué en présence d'observateurs militaires français et espagnols, sous l'égide du commandement des Forces de défense aérienne du territoire, mettant à contribution d'importants moyens humains et matériels, consistait à porter secours à un avion de type ATR 72/500 qui a disparu des radars de la tour de contrôle peu après son décollage de l'aéroport de Tébessa. Le plan de recherches et d'intervention mis aussitôt en place dans le cadre du plan national SAR (Search And Rescue) sous la supervision du RCC (Centre de recherche et de coordination), fait intervenir en premier lieu les services de la conservation des forêts dont la connaissance du terrain permet de localiser, quelques minutes après la disparition de l'aéronef, le lieu présumé du crash, à savoir Djebel Serdia, près de la commune de Bir Mokaddem (60 km au sud-ouest de Tébessa). Les éléments de la Gendarmerie nationale interviennent à leur tour pour contrôler et réglementer l'accès à tout le périmètre de l'accident qui a causé, selon le scénario prévu, "des morts et des blessés graves" parmi les 30 passagers et les membres de l'équipage. C'est ensuite au tour des secouristes de la Protection civile, assistés d'hélicoptères de l'Armée nationale populaire, d'intervenir pour récupérer les corps des victimes décédées et les passagers blessés qui reçoivent les premiers soins dans un hôpital de campagne installé non lieu du lieu du crash et où activent médecins, infirmiers, psychologues et un imam. Les opérations, réglées comme du papier à musique dans le cadre d'une coordination opérationnelle avec les organismes civils et les structures militaires de la 5e Région militaire (RM), se déroulent sans encombre, permettant l'évacuation rapide des blessés dans les hôpitaux de la région et la maîtrise de la situation née de ce drame simulé. Le chef du service de communication au sein des Forces de défense aérienne du territoire, le colonel Omar Serhane, présent sur les lieux aux côtés d'officiers de l'ANP, de responsables de la Protection civile, du wali de Tébessa, Mabrouk Beliouz, et d'observateurs appartenant à différentes structures militaires et civiles, a déclaré à l'APS que ce type d'exercices annuels est destiné, notamment, à éprouver le degré de préparation et d'opérationnalité des éléments des Forces de défense arienne du territoire. Cette simulation a également permis, a-t-on constaté, de démontrer la rapidité d'intervention et l'efficacité des éléments de la Protection civile dans le cadre d'une coordination sans faille avec l'ensemble des parties concernées. L'exercice effectué en présence d'observateurs militaires français et espagnols, sous l'égide du commandement des Forces de défense aérienne du territoire, mettant à contribution d'importants moyens humains et matériels, consistait à porter secours à un avion de type ATR 72/500 qui a disparu des radars de la tour de contrôle peu après son décollage de l'aéroport de Tébessa. Le plan de recherches et d'intervention mis aussitôt en place dans le cadre du plan national SAR (Search And Rescue) sous la supervision du RCC (Centre de recherche et de coordination), fait intervenir en premier lieu les services de la conservation des forêts dont la connaissance du terrain permet de localiser, quelques minutes après la disparition de l'aéronef, le lieu présumé du crash, à savoir Djebel Serdia, près de la commune de Bir Mokaddem (60 km au sud-ouest de Tébessa). Les éléments de la Gendarmerie nationale interviennent à leur tour pour contrôler et réglementer l'accès à tout le périmètre de l'accident qui a causé, selon le scénario prévu, "des morts et des blessés graves" parmi les 30 passagers et les membres de l'équipage. C'est ensuite au tour des secouristes de la Protection civile, assistés d'hélicoptères de l'Armée nationale populaire, d'intervenir pour récupérer les corps des victimes décédées et les passagers blessés qui reçoivent les premiers soins dans un hôpital de campagne installé non lieu du lieu du crash et où activent médecins, infirmiers, psychologues et un imam. Les opérations, réglées comme du papier à musique dans le cadre d'une coordination opérationnelle avec les organismes civils et les structures militaires de la 5e Région militaire (RM), se déroulent sans encombre, permettant l'évacuation rapide des blessés dans les hôpitaux de la région et la maîtrise de la situation née de ce drame simulé. Le chef du service de communication au sein des Forces de défense aérienne du territoire, le colonel Omar Serhane, présent sur les lieux aux côtés d'officiers de l'ANP, de responsables de la Protection civile, du wali de Tébessa, Mabrouk Beliouz, et d'observateurs appartenant à différentes structures militaires et civiles, a déclaré à l'APS que ce type d'exercices annuels est destiné, notamment, à éprouver le degré de préparation et d'opérationnalité des éléments des Forces de défense arienne du territoire. Cette simulation a également permis, a-t-on constaté, de démontrer la rapidité d'intervention et l'efficacité des éléments de la Protection civile dans le cadre d'une coordination sans faille avec l'ensemble des parties concernées.