Un invité-surprise à Alger. Sa visite n'a pas été annoncée auparavant. Le chef de l'Etat plurinational de Bolivie, Evo Morales Ayma effectue à partir de mardi une visite d'amitié et de travail de deux jours en Algérie, à l'invitation du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a indiqué, hier, un communiqué de la présidence de la République. Un invité-surprise à Alger. Sa visite n'a pas été annoncée auparavant. Le chef de l'Etat plurinational de Bolivie, Evo Morales Ayma effectue à partir de mardi une visite d'amitié et de travail de deux jours en Algérie, à l'invitation du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a indiqué, hier, un communiqué de la présidence de la République. La même source précise que durant son séjour en Algérie, le président Morales, qui « assume la présidence en exercice du Groupe des 77, s'adressera également à la 17e Conférence ministérielle du Mouvement des non-alignés, dont les travaux s'ouvriront à Alger mercredi ». Le président bolivien parlera au nom du Groupe des 77 qu'il préside des objectifs du Millénaire qui sont la réduction de la pauvreté dans le monde. Un fléau qui touche particulièrement les pays du tiersmonde notamment en Afrique et Asie. Créé en 1964 par 77 Etats, le groupe en compte désormais plus de 130, soit deux tiers des Etats membres de l'Onu. Des objectifs plus larges sont assignés par contre au Mouvement des non-alignés dont la tenue de 17e Conférence ministérielle s'ouvre aujourd'hui à Alger. Le MNA s'est inscrit dans une logique politique dès son avènement pour se définir comme n'appartenant à aucun « bloc » idéologique. Ni le bloc de l'Est, avec l'ex- URSS pour chef de file, ni sur celui de l'Ouest, conduit par les Etats-Unis d'Amérique. Deux blocs idéologiques qui se sont affrontés après la Seconde Guerre mondiale, faisant du monde un bloc bipolaire. A l'occasion de la tenue de la 37e réunion ministérielle du Groupe des 77 et de la Chine, qui s'est tenue le 26 septembre 2013 en marge du débat général de la 68e session de l'Assemblée générale à New York, le Secrétaire général Ban Ki-moon dans son allocution d'ouverture a affirmé que « Le G77 a mis au premier plan de l'ordre du jour mondial l'éradication de la pauvreté. Vous avez montré la puissance de la coopération Sud-Sud pour stimuler la croissance économique. Vous êtes une voix forte pour des milliards de personnes qui sont pauvres, affamés et vulnérables ». Selon le Sg de l'Onu, « le G77 peut faire ou défaire les négociations sur des questions litigieuses. Ceci est particulièrement important alors que nous sommes engagés dans un ultime effort pour réaliser les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) à temps et façonner l'agenda post-2015 ». Tout comme le MNA, le groupe des 77 est favorable au multilatéralisme. Pour Ban Kee moon, le multilatéralisme sera la clé pour relever les défis du 21e siècle. Aussi le Secrétaire général a-t-il fait appel aux pays du G77 pour rester mobilisés et contribuer à un programme de développement universel centré autour d'un nouveau partenariat mondial fondé sur l'équité, la coopération et respectueux des droits humains. Le G77 est tout aussi favorable que le MNA pour son appui à la coopération Sud-Sud, qui sera vitale dans le programme de développement post- 2015. « Il est essentiel que la coopération Sud-Sud reçoive un soutien financier et institutionnel adéquat et structuré, compte-tenu qu'il s'agit d'une des meilleures formes de solidarité et d'interdépendance entre pays en développement ». C'est à quoi, la réunion ministérielle du MNA d'aujourd'hui tentera de parvenir en mettant en avant un programme d'action des deux groupes pour les années à venir. La même source précise que durant son séjour en Algérie, le président Morales, qui « assume la présidence en exercice du Groupe des 77, s'adressera également à la 17e Conférence ministérielle du Mouvement des non-alignés, dont les travaux s'ouvriront à Alger mercredi ». Le président bolivien parlera au nom du Groupe des 77 qu'il préside des objectifs du Millénaire qui sont la réduction de la pauvreté dans le monde. Un fléau qui touche particulièrement les pays du tiersmonde notamment en Afrique et Asie. Créé en 1964 par 77 Etats, le groupe en compte désormais plus de 130, soit deux tiers des Etats membres de l'Onu. Des objectifs plus larges sont assignés par contre au Mouvement des non-alignés dont la tenue de 17e Conférence ministérielle s'ouvre aujourd'hui à Alger. Le MNA s'est inscrit dans une logique politique dès son avènement pour se définir comme n'appartenant à aucun « bloc » idéologique. Ni le bloc de l'Est, avec l'ex- URSS pour chef de file, ni sur celui de l'Ouest, conduit par les Etats-Unis d'Amérique. Deux blocs idéologiques qui se sont affrontés après la Seconde Guerre mondiale, faisant du monde un bloc bipolaire. A l'occasion de la tenue de la 37e réunion ministérielle du Groupe des 77 et de la Chine, qui s'est tenue le 26 septembre 2013 en marge du débat général de la 68e session de l'Assemblée générale à New York, le Secrétaire général Ban Ki-moon dans son allocution d'ouverture a affirmé que « Le G77 a mis au premier plan de l'ordre du jour mondial l'éradication de la pauvreté. Vous avez montré la puissance de la coopération Sud-Sud pour stimuler la croissance économique. Vous êtes une voix forte pour des milliards de personnes qui sont pauvres, affamés et vulnérables ». Selon le Sg de l'Onu, « le G77 peut faire ou défaire les négociations sur des questions litigieuses. Ceci est particulièrement important alors que nous sommes engagés dans un ultime effort pour réaliser les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) à temps et façonner l'agenda post-2015 ». Tout comme le MNA, le groupe des 77 est favorable au multilatéralisme. Pour Ban Kee moon, le multilatéralisme sera la clé pour relever les défis du 21e siècle. Aussi le Secrétaire général a-t-il fait appel aux pays du G77 pour rester mobilisés et contribuer à un programme de développement universel centré autour d'un nouveau partenariat mondial fondé sur l'équité, la coopération et respectueux des droits humains. Le G77 est tout aussi favorable que le MNA pour son appui à la coopération Sud-Sud, qui sera vitale dans le programme de développement post- 2015. « Il est essentiel que la coopération Sud-Sud reçoive un soutien financier et institutionnel adéquat et structuré, compte-tenu qu'il s'agit d'une des meilleures formes de solidarité et d'interdépendance entre pays en développement ». C'est à quoi, la réunion ministérielle du MNA d'aujourd'hui tentera de parvenir en mettant en avant un programme d'action des deux groupes pour les années à venir.