Le tribunal criminel d'Alger traitera, du 8 juin au 10 juillet prochains, quatrevint- dix affaires, dont quatorze liées au terrorisme, selon le deuxième rôle complémentaire des affaires criminelles pour l'année 2014. Le tribunal criminel d'Alger traitera, du 8 juin au 10 juillet prochains, quatrevint- dix affaires, dont quatorze liées au terrorisme, selon le deuxième rôle complémentaire des affaires criminelles pour l'année 2014. Parmi les affaires criminelles enrôlées figurent celle des membres de la famille du terroriste Abdelhamid Abou Zeid et de ses acolytes (25 juin) pour appartenance à un groupe terroriste qui soutenait, depuis les années 90, des groupes terroristes dans le Sahara algérien sous les ordres d'El-Para, Mokhtar Belmokhtar et Abdelhamid Abou Zeid, et responsable de l'enlèvement de touristes étrangers, de trafic de stupéfiants et de contrebande pour le financement de groupes dangereux . Le même jour, la juridiction examinera la nouvelle affaire de Mokhtar Belmokhtar avec un autre prévenu accusé d'appartenance à un groupe terroriste activant à l'intérieur et à l'extérieur du pays. Le 16 juin, l'affaire de Abdelmalek Droudkel et de quarante-trois terroristes présumés impliqués dans plusieurs massacres collectifs et assassinats ayant principalement ciblé, en 1998, des éléments de la sécurité sera traitée par le tribunal criminel. Le tribunal devra se prononcer, le 10 juillet prochain, sur l'affaire de vingt terroristes présumés, dont Abdelmalek Droudkel et d'autres poursuivis pour homicide volontaire à l'encontre de civils et de militaires et pour enlèvement en contrepartie d'une rançon. Le 23 juin, la même juridiction devra traiter l'affaire de Kobbi Hocine, à l'origine du démantèlement du noyau du GIA, et accusé ainsi que six autres terroristes présumés d'appartenance à un groupe terroriste, auteur d'assassinats et d'attentats à l'explosif dans des lieux publics qui ont fait plusieurs morts et blessés. Ils sont également poursuivis pour délits de viols et d'enlèvement. Concernant les détenus transférés de Guantanamo, le tribunal criminel statuera le 30 juin, l'affaire de Belbacha Ahmed déjà condamné en 2009 par contumace à vingt ans de prison ferme. Entre autres affaires épineuses inscrites au rôle du tribunal criminel, il y a lieu de citer celle de Kachniti Redouane (9 juillet). Il a déjà été entendu par un juge d'instruction français pour "détention d'informations importantes sur l'assassinat des moines de Tibehirine", selon une source judiciaire. Le tribunal devra également traiter, le 23 juillet prochain, l'affaire liée au "trafic de migrants par un groupe criminel organisé dans laquelle sont impliqués neuf individus " . Le deuxième rôle complémentaire comporte, d'autre part, des affaires liées à l'ordre public dont celle de trafic de stupéfiants, d'homicide volontaire, d'attentat à la pudeur, d'écriture en faux, de vol au sein d'une association de malfaiteurs et d'évasion fiscale, dont les auteurs encourent la peine capitale. Parmi les affaires criminelles enrôlées figurent celle des membres de la famille du terroriste Abdelhamid Abou Zeid et de ses acolytes (25 juin) pour appartenance à un groupe terroriste qui soutenait, depuis les années 90, des groupes terroristes dans le Sahara algérien sous les ordres d'El-Para, Mokhtar Belmokhtar et Abdelhamid Abou Zeid, et responsable de l'enlèvement de touristes étrangers, de trafic de stupéfiants et de contrebande pour le financement de groupes dangereux . Le même jour, la juridiction examinera la nouvelle affaire de Mokhtar Belmokhtar avec un autre prévenu accusé d'appartenance à un groupe terroriste activant à l'intérieur et à l'extérieur du pays. Le 16 juin, l'affaire de Abdelmalek Droudkel et de quarante-trois terroristes présumés impliqués dans plusieurs massacres collectifs et assassinats ayant principalement ciblé, en 1998, des éléments de la sécurité sera traitée par le tribunal criminel. Le tribunal devra se prononcer, le 10 juillet prochain, sur l'affaire de vingt terroristes présumés, dont Abdelmalek Droudkel et d'autres poursuivis pour homicide volontaire à l'encontre de civils et de militaires et pour enlèvement en contrepartie d'une rançon. Le 23 juin, la même juridiction devra traiter l'affaire de Kobbi Hocine, à l'origine du démantèlement du noyau du GIA, et accusé ainsi que six autres terroristes présumés d'appartenance à un groupe terroriste, auteur d'assassinats et d'attentats à l'explosif dans des lieux publics qui ont fait plusieurs morts et blessés. Ils sont également poursuivis pour délits de viols et d'enlèvement. Concernant les détenus transférés de Guantanamo, le tribunal criminel statuera le 30 juin, l'affaire de Belbacha Ahmed déjà condamné en 2009 par contumace à vingt ans de prison ferme. Entre autres affaires épineuses inscrites au rôle du tribunal criminel, il y a lieu de citer celle de Kachniti Redouane (9 juillet). Il a déjà été entendu par un juge d'instruction français pour "détention d'informations importantes sur l'assassinat des moines de Tibehirine", selon une source judiciaire. Le tribunal devra également traiter, le 23 juillet prochain, l'affaire liée au "trafic de migrants par un groupe criminel organisé dans laquelle sont impliqués neuf individus " . Le deuxième rôle complémentaire comporte, d'autre part, des affaires liées à l'ordre public dont celle de trafic de stupéfiants, d'homicide volontaire, d'attentat à la pudeur, d'écriture en faux, de vol au sein d'une association de malfaiteurs et d'évasion fiscale, dont les auteurs encourent la peine capitale.