Le Conseil des lycées d'Alger (CLA) dénonce, dans un communiqué, parvenu à notre rédaction, plusieurs anomalies relevées durant les examens du baccalauréat. Le Conseil des lycées d'Alger (CLA) dénonce, dans un communiqué, parvenu à notre rédaction, plusieurs anomalies relevées durant les examens du baccalauréat. Le bureau national du CLA dit avoir suivi avec intérêt et responsabilité le déroulement des examens du baccalauréat de l'année scolaire 2013/14 à travers la majorité des centres d'examen et a fini par établir un constat amer. Le CLA dans sa correspondance a relevé une « triche qui a accompagné le déroulement des examens dans la plupart des centres en usant de moyens technologiques sophistiqués de communications indétectables à l'oeil nu». Le CLArévèle aussi « un climat de violence verbale et parfois physique vécu par les enseignants-surveillants dans quelques centres avec une passivité coupable des responsables, ce qui a entraîné un taux d'absentéisme significatif des enseignants de crainte de subir les menaces des candidats car aujourd'hui la vie des enseignants est en jeu. Beaucoup d'enseignants se sont vus agressés ou insultés en sortant des centres d'examen et aucune couverture ne leur a été faite une fois l'examen terminé ». Concernant le cas de triche relevé à Oum-El- Boughi, le CLA dénonce la complicité et la « bénédiction de l'administration pénitentiaire et la complicité passive et parfois active du secrétariat du centre d'examen désigné par la direction de l'éducation, chose qui a désarmé les enseignants-surveillants face à de dangereux criminels et a poussé quelquesuns d'entre eux à se retirer des salles afin d'exprimer leur refus, face à cette mascarade et protester contre toute l'opération de déroulement de l'examen du baccalauréat dans ce centre ». Le bureau national du CLA dénonce avec vigueur aussi « la déclaration menaçante de l'Onec qui montre, encore une fois, le manque de respect et de responsabilité de cet office vis-à-vis du corps enseignant » qui la qualifie de tentative de « de discréditer le correcteurs et trouver comme d'habitude le bouc émissaire car une simple enquête dans les centres de correction montrerai la vraie raison des mauvaises corrections car cet office a obligé, par le passé récent, des enseignants malades à surveiller matin et soir, ce qui a entraîné le décès de certains ». Le bureau de national du CLA se dit solidaire de tous les enseignants qui se sont opposés à la fraude et qui ont subi toute violence quelle qu'elle soit et dénonce avec force « les bavures qui ont caractérisé cet examen et qui portent atteinte à la crédibilité du baccalauréat ». Le CLA demande une « égalité de chance pour tous les candidats en mettant fin à la triche en équipant les centres d'examen de moyens technologiques adéquats pour neutraliser les appareils de communication utilisés par les candidats, transférer les centres d'examen des candidats détenus vers des établissements scolaires loin du climat pénitenciaire et les renforcer de moyens matériels et humains afin de garantir le minimum d'atmosphère pédagogique et éducatif et empêcher toute intervention de personnes étrangères dans l'opération du déroulement de l'examen du baccalauréat, appliquer avec fermeté les lois concernant les tricheurs et leurs collaborateurs pour mettre fin à ce phénomène qui a trop duré et donner plus de sérénité et de crédibilités à nos examens et revoir la codification des candidats par prénom pour éviter un grand nombre de candidats du même établissement dans le même centre ou la même classe». Le CLA demande aussi de rapprocher « les surveillants de leur adresse de domiciliation pour éviter les retards, de donner une couverture juridique aux surveillants à l'intérieur et à l'extérieur de l'établissement avec une prise en charge totale du ministère, de donné une prime de panier journalière aux surveillants et correcteurs pour éviter les grandes dépenses, les intoxications, de revoir la méthode de correction en augmentant les indemnisations de correction et en diminuant le nombre de copies pour la correction et éviter aux enseignants la surveillance matin et soir. » Le bureau national du CLA dit avoir suivi avec intérêt et responsabilité le déroulement des examens du baccalauréat de l'année scolaire 2013/14 à travers la majorité des centres d'examen et a fini par établir un constat amer. Le CLA dans sa correspondance a relevé une « triche qui a accompagné le déroulement des examens dans la plupart des centres en usant de moyens technologiques sophistiqués de communications indétectables à l'oeil nu». Le CLArévèle aussi « un climat de violence verbale et parfois physique vécu par les enseignants-surveillants dans quelques centres avec une passivité coupable des responsables, ce qui a entraîné un taux d'absentéisme significatif des enseignants de crainte de subir les menaces des candidats car aujourd'hui la vie des enseignants est en jeu. Beaucoup d'enseignants se sont vus agressés ou insultés en sortant des centres d'examen et aucune couverture ne leur a été faite une fois l'examen terminé ». Concernant le cas de triche relevé à Oum-El- Boughi, le CLA dénonce la complicité et la « bénédiction de l'administration pénitentiaire et la complicité passive et parfois active du secrétariat du centre d'examen désigné par la direction de l'éducation, chose qui a désarmé les enseignants-surveillants face à de dangereux criminels et a poussé quelquesuns d'entre eux à se retirer des salles afin d'exprimer leur refus, face à cette mascarade et protester contre toute l'opération de déroulement de l'examen du baccalauréat dans ce centre ». Le bureau national du CLA dénonce avec vigueur aussi « la déclaration menaçante de l'Onec qui montre, encore une fois, le manque de respect et de responsabilité de cet office vis-à-vis du corps enseignant » qui la qualifie de tentative de « de discréditer le correcteurs et trouver comme d'habitude le bouc émissaire car une simple enquête dans les centres de correction montrerai la vraie raison des mauvaises corrections car cet office a obligé, par le passé récent, des enseignants malades à surveiller matin et soir, ce qui a entraîné le décès de certains ». Le bureau de national du CLA se dit solidaire de tous les enseignants qui se sont opposés à la fraude et qui ont subi toute violence quelle qu'elle soit et dénonce avec force « les bavures qui ont caractérisé cet examen et qui portent atteinte à la crédibilité du baccalauréat ». Le CLA demande une « égalité de chance pour tous les candidats en mettant fin à la triche en équipant les centres d'examen de moyens technologiques adéquats pour neutraliser les appareils de communication utilisés par les candidats, transférer les centres d'examen des candidats détenus vers des établissements scolaires loin du climat pénitenciaire et les renforcer de moyens matériels et humains afin de garantir le minimum d'atmosphère pédagogique et éducatif et empêcher toute intervention de personnes étrangères dans l'opération du déroulement de l'examen du baccalauréat, appliquer avec fermeté les lois concernant les tricheurs et leurs collaborateurs pour mettre fin à ce phénomène qui a trop duré et donner plus de sérénité et de crédibilités à nos examens et revoir la codification des candidats par prénom pour éviter un grand nombre de candidats du même établissement dans le même centre ou la même classe». Le CLA demande aussi de rapprocher « les surveillants de leur adresse de domiciliation pour éviter les retards, de donner une couverture juridique aux surveillants à l'intérieur et à l'extérieur de l'établissement avec une prise en charge totale du ministère, de donné une prime de panier journalière aux surveillants et correcteurs pour éviter les grandes dépenses, les intoxications, de revoir la méthode de correction en augmentant les indemnisations de correction et en diminuant le nombre de copies pour la correction et éviter aux enseignants la surveillance matin et soir. »