Lors d'une rencontre d'évaluation de l'activité des services extérieurs organisée, hier à l'hôtel El-Aurassi, le ministre du Commerce, Amara Benyounès, a donné les grandes orientations pour le mois de Ramadhan et la saison estivale. Lors d'une rencontre d'évaluation de l'activité des services extérieurs organisée, hier à l'hôtel El-Aurassi, le ministre du Commerce, Amara Benyounès, a donné les grandes orientations pour le mois de Ramadhan et la saison estivale. Le ministre a indiqué que "l'essentiel, c'est de ne pas stocker les produits alimentaires tout en évitant l'augmentation des prix afin d'enrayer toute pénurie. Les stocks sont évalués normalement, mais il n'y aura pas de problèmes de disponibilité de denrées alimentaires ». Mais, il reconnaît que le marché fonctionne suivant la loi de l'offre et de la demande en précisant que « les Algériens ne doivent pas paniquer, mais au contraire continuer à consommer comme d'habitude en évitant de recourir au phénomène de stockage ». Abordant le volet de l'encadrement et de l'organisation du marché, il a mis en relief « la nécessité de renforcer la mission de contrôle qui est l'essence même du ministère du Commerce. Il faut contrôler, car nous sommes responsables de la santé des consommateurs algériens, alors que tous les produits périmés et impropres à la consommation ne doivent pas être commercialisés ». Concernant le secteur informel, il a affirmé que « l'important consiste à dégager une politique claire par le gouvernement afin d'intégrer ce secteur dans le circuit du commerce formel au lieu de le combattre » car, il est nécessaire pour l'économie nationale. A propos de l'accession de l'Algérie à l'Organisation mondiale du commerce, Benyounès a souligné qu'il existe des « pour et des contre » car, il s'agit de protéger la production nationale et stimuler l'industrie par des investissements productifs et créateurs d'emplois. « La décision d'accéder à l'OMC est irrévocable, car 97 % du commerce international passe par cette organisation ». Il ajoute que l'investissement est important en matière industrielle en Algérie, par conséquent il faut protéger ces industries tout en continuant les négociations avec l'OMC. Relatant le registre du commerce, Benyounès affirme que « les responsables et les autorités compétentes doivent faciliter la vie des Algériens et aux opérateurs économiques, car on ne peut pas bloquer toute l'économie nationale, par conséquent, il faut absolument plus de souplesse dans le traitement des dossiers des opérateurs économiques ». Il est catégorique en dépit de la persistance du phénomène bureaucratique, véritable obstacle pour la créativité et l'innovation: « il est impérieux de débureaucratiser ce secteur en finissant avec les histoires de paperasse, sachant que certains documents et papiers ne servent à rien ». Le ministre a indiqué que "l'essentiel, c'est de ne pas stocker les produits alimentaires tout en évitant l'augmentation des prix afin d'enrayer toute pénurie. Les stocks sont évalués normalement, mais il n'y aura pas de problèmes de disponibilité de denrées alimentaires ». Mais, il reconnaît que le marché fonctionne suivant la loi de l'offre et de la demande en précisant que « les Algériens ne doivent pas paniquer, mais au contraire continuer à consommer comme d'habitude en évitant de recourir au phénomène de stockage ». Abordant le volet de l'encadrement et de l'organisation du marché, il a mis en relief « la nécessité de renforcer la mission de contrôle qui est l'essence même du ministère du Commerce. Il faut contrôler, car nous sommes responsables de la santé des consommateurs algériens, alors que tous les produits périmés et impropres à la consommation ne doivent pas être commercialisés ». Concernant le secteur informel, il a affirmé que « l'important consiste à dégager une politique claire par le gouvernement afin d'intégrer ce secteur dans le circuit du commerce formel au lieu de le combattre » car, il est nécessaire pour l'économie nationale. A propos de l'accession de l'Algérie à l'Organisation mondiale du commerce, Benyounès a souligné qu'il existe des « pour et des contre » car, il s'agit de protéger la production nationale et stimuler l'industrie par des investissements productifs et créateurs d'emplois. « La décision d'accéder à l'OMC est irrévocable, car 97 % du commerce international passe par cette organisation ». Il ajoute que l'investissement est important en matière industrielle en Algérie, par conséquent il faut protéger ces industries tout en continuant les négociations avec l'OMC. Relatant le registre du commerce, Benyounès affirme que « les responsables et les autorités compétentes doivent faciliter la vie des Algériens et aux opérateurs économiques, car on ne peut pas bloquer toute l'économie nationale, par conséquent, il faut absolument plus de souplesse dans le traitement des dossiers des opérateurs économiques ». Il est catégorique en dépit de la persistance du phénomène bureaucratique, véritable obstacle pour la créativité et l'innovation: « il est impérieux de débureaucratiser ce secteur en finissant avec les histoires de paperasse, sachant que certains documents et papiers ne servent à rien ».