Les participants au symposium international sur le développement humain, tenu lundi et mardi à Alger, ont recommandé le renforcement des capacités nationales en matière de statistiques pour mesurer et évaluer la performance et l'efficacité des politiques. Les participants au symposium international sur le développement humain, tenu lundi et mardi à Alger, ont recommandé le renforcement des capacités nationales en matière de statistiques pour mesurer et évaluer la performance et l'efficacité des politiques. Dans une déclaration finale, les participants au symposium intitulé: "Développement humain et société du bien-être à l'aune de l'agenda post- 2015", ont préconisé, par ailleurs, de consolider la résilience des pays, notamment ceux d'Afrique, pour faire face aux chocs économiques, financiers et naturels en investissant dans des initiatives d'adaptation aux changements climatiques et en renforçant les capacités d'anticipation. Ils ont également jugé important de promouvoir un développement plus responsable vis-à-vis des ressources naturelles, en renforçant les capacités et les systèmes de gestion des ressources naturelles, en facilitant l'accès à ces ressources, en veillant à la préservation de leur qualité et en améliorant les services fournis. Les participants, issus de plusieurs pays notamment d'Afrique, ont app elé à intégrer les aspects de l'accroissement démographique en tant que vecteur de développement humain, notamment, à travers ses expressions en termes de migration et de jeunesse, et à améliorer la cohérence des politiques de développement humain, tant au niveau national que régional et mondial. Il est intéressant aussi, selon les participants, de créer les conditions propices à la diversification économique, en améliorant le climat des affaires et en mettant l'accent sur le développement du secteur privé, la transformation du secteur informel, l'amélioration de la distribution et du réinvestissement de la richesse, et d'aspirer à l'excellence en matière d'éducation et renforcer les capacités humaines en améliorant la qualité de l'enseignement. Les recommandations ont porté, en outre, sur la prise en charge du concept du "bien-être" en intégrant les indices de qualité environnementale et l'intensité de consommation énergétique. Les participants, dont des experts du Programme des Nations Unies du bureau de New York, ont demandé aux pays en voie de développement et sous-développés d'assurer un accès équitable aux soins en améliorant la santé maternelle, néonatale et infantile, et intégrer la lutte contre le virus du sida dans l'agenda post-2015. La Promotion de la paix et la sécurité comme leviers de stabilité sociale et de croissance et le soutien les efforts visant à favoriser leur préservation, ainsi que le renforcement des mesures et la promotion de la bonne gouvernance politique et économique aussi bien au niveau national que local, ont été aussi soulignés dans la Déclaration d'Alger. Les participants ont soutenu la nécessité de capitaliser sur l'expérience des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) menés durant les 15 dernières années et réaffirmé la nécessité d'encourager le respect des droits de l'homme. Ils ont, d'autre part, mis l'accent sur le rôle de la société civile organisée dans le processus de développement humain et sa participation à l'élaboration des principes et la prise de décision mondiale, et rappelé l'importance de la question des changements climatiques sur l'environnement et les économies des pays. Etalé sur deux jours, le symposium international sur le développement humain a été organisé par le Conseil nationale économique et social (Cnes) en partenariat avec le Pnud dans le but de renouveler la conception du développement humain, et parvenir à une plus grande synergie entre les parties prenantes autour de son évaluation, tant au plan national qu'international, le tout dans une perspective de transmutation des OMD et des Objectifs du développement durable (ODD) dans l'agenda post-2015. Dans une déclaration finale, les participants au symposium intitulé: "Développement humain et société du bien-être à l'aune de l'agenda post- 2015", ont préconisé, par ailleurs, de consolider la résilience des pays, notamment ceux d'Afrique, pour faire face aux chocs économiques, financiers et naturels en investissant dans des initiatives d'adaptation aux changements climatiques et en renforçant les capacités d'anticipation. Ils ont également jugé important de promouvoir un développement plus responsable vis-à-vis des ressources naturelles, en renforçant les capacités et les systèmes de gestion des ressources naturelles, en facilitant l'accès à ces ressources, en veillant à la préservation de leur qualité et en améliorant les services fournis. Les participants, issus de plusieurs pays notamment d'Afrique, ont app elé à intégrer les aspects de l'accroissement démographique en tant que vecteur de développement humain, notamment, à travers ses expressions en termes de migration et de jeunesse, et à améliorer la cohérence des politiques de développement humain, tant au niveau national que régional et mondial. Il est intéressant aussi, selon les participants, de créer les conditions propices à la diversification économique, en améliorant le climat des affaires et en mettant l'accent sur le développement du secteur privé, la transformation du secteur informel, l'amélioration de la distribution et du réinvestissement de la richesse, et d'aspirer à l'excellence en matière d'éducation et renforcer les capacités humaines en améliorant la qualité de l'enseignement. Les recommandations ont porté, en outre, sur la prise en charge du concept du "bien-être" en intégrant les indices de qualité environnementale et l'intensité de consommation énergétique. Les participants, dont des experts du Programme des Nations Unies du bureau de New York, ont demandé aux pays en voie de développement et sous-développés d'assurer un accès équitable aux soins en améliorant la santé maternelle, néonatale et infantile, et intégrer la lutte contre le virus du sida dans l'agenda post-2015. La Promotion de la paix et la sécurité comme leviers de stabilité sociale et de croissance et le soutien les efforts visant à favoriser leur préservation, ainsi que le renforcement des mesures et la promotion de la bonne gouvernance politique et économique aussi bien au niveau national que local, ont été aussi soulignés dans la Déclaration d'Alger. Les participants ont soutenu la nécessité de capitaliser sur l'expérience des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) menés durant les 15 dernières années et réaffirmé la nécessité d'encourager le respect des droits de l'homme. Ils ont, d'autre part, mis l'accent sur le rôle de la société civile organisée dans le processus de développement humain et sa participation à l'élaboration des principes et la prise de décision mondiale, et rappelé l'importance de la question des changements climatiques sur l'environnement et les économies des pays. Etalé sur deux jours, le symposium international sur le développement humain a été organisé par le Conseil nationale économique et social (Cnes) en partenariat avec le Pnud dans le but de renouveler la conception du développement humain, et parvenir à une plus grande synergie entre les parties prenantes autour de son évaluation, tant au plan national qu'international, le tout dans une perspective de transmutation des OMD et des Objectifs du développement durable (ODD) dans l'agenda post-2015.