Le phénomène du travail des enfants est quasi inexistant chez nous. Son taux ne dépasse pas les 0,5 % selon les résultats des enquêtes de l'inspection du travail. Le phénomène du travail des enfants est quasi inexistant chez nous. Son taux ne dépasse pas les 0,5 % selon les résultats des enquêtes de l'inspection du travail. C'est ce qu'a révélé le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Mohamed El Ghazi, qui a précisé qu'"aucun cas n'a été signalé en ce qui concerne l'existence des pires formes de travail des enfants selon le concept du droit international". "Toutefois, et malgré ces données qui attestent de la faiblesse du phénomène de travail des enfants en Algérie, il n'en demeure pas moins qu'un travail de veille et de prévention, qui engage l'ensemble des acteurs concernés, doit être constamment soutenu", a ajouté le ministre. Par la même occasion, il a évoqué les efforts fournis par les pouvoirs publics pour prévenir le travail des enfants, rappelant l'importance de la commission nationale de prévention et de lutte contre le travail des enfants. Dans ce sens, le ministre a indiqué qu'il a été procédé au "renforcement" des mécanismes de lutte contre le travail des enfants à travers le contrôle des services d'inspection du travail. Il a précisé que l'action s'est caractérisée, ces dernières années, par une "intensification" des efforts avec pour objectif, la prévention du phénomène de recours à la main d'oeuvre juvénile et à la répression des cas constatés qui sont "très rares", a-t-il dit. De son côté, la ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Mounia Meslem, a indiqué que le travail des enfants en Algérie "ne constitue pas un phénomène aux allures dramatiques et aux graves conséquences, tel que constaté dans certains pays en développement". Elle a ajouté que le mot d'ordre est d'"élargir le champ de la protection sociale pour éliminer le travail des enfants". Le représentant du Bureau international du travail (BIT) pour le Maghreb, Mohamed Ali Ould Sidi, a estimé, quant à lui, que le système algérien de sécurité sociale est "l'un de plus complets et performants en Afrique et dans le monde arabe". La création récente par le gouvernement algérien de l'Ecole supérieure de la sécurité sociale, constitue "un exemple pour affirmer encore la volonté politique d'améliorer et de diversifier l'offre nationale dans ce domaine", a-t-il souligné. C'est ce qu'a révélé le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Mohamed El Ghazi, qui a précisé qu'"aucun cas n'a été signalé en ce qui concerne l'existence des pires formes de travail des enfants selon le concept du droit international". "Toutefois, et malgré ces données qui attestent de la faiblesse du phénomène de travail des enfants en Algérie, il n'en demeure pas moins qu'un travail de veille et de prévention, qui engage l'ensemble des acteurs concernés, doit être constamment soutenu", a ajouté le ministre. Par la même occasion, il a évoqué les efforts fournis par les pouvoirs publics pour prévenir le travail des enfants, rappelant l'importance de la commission nationale de prévention et de lutte contre le travail des enfants. Dans ce sens, le ministre a indiqué qu'il a été procédé au "renforcement" des mécanismes de lutte contre le travail des enfants à travers le contrôle des services d'inspection du travail. Il a précisé que l'action s'est caractérisée, ces dernières années, par une "intensification" des efforts avec pour objectif, la prévention du phénomène de recours à la main d'oeuvre juvénile et à la répression des cas constatés qui sont "très rares", a-t-il dit. De son côté, la ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Mounia Meslem, a indiqué que le travail des enfants en Algérie "ne constitue pas un phénomène aux allures dramatiques et aux graves conséquences, tel que constaté dans certains pays en développement". Elle a ajouté que le mot d'ordre est d'"élargir le champ de la protection sociale pour éliminer le travail des enfants". Le représentant du Bureau international du travail (BIT) pour le Maghreb, Mohamed Ali Ould Sidi, a estimé, quant à lui, que le système algérien de sécurité sociale est "l'un de plus complets et performants en Afrique et dans le monde arabe". La création récente par le gouvernement algérien de l'Ecole supérieure de la sécurité sociale, constitue "un exemple pour affirmer encore la volonté politique d'améliorer et de diversifier l'offre nationale dans ce domaine", a-t-il souligné.