Comme promis, Abdelmalek Sellal est retourné à Ghardaïa pour trouver une solution définitive aux embrasements récurrents qui secouent la vallée du Mzab. Il prendra le temps qu'il faut, a-t-il également promis lors d'une de ses sorties de campagne électorale. Comme promis, Abdelmalek Sellal est retourné à Ghardaïa pour trouver une solution définitive aux embrasements récurrents qui secouent la vallée du Mzab. Il prendra le temps qu'il faut, a-t-il également promis lors d'une de ses sorties de campagne électorale. Le Premier ministre en appelle à tout le monde pour se joindre aux efforts de l'Etat pour dépasser cette situation qui ne sert ni les intérêts des Ghardaouis, notamment sa jeunesse, ni les intérêts suprêmes du pays. Une situation qui n'a que trop duré, mettant les nerfs des deux communautés à fleur de peau «Le gouvernement est déterminé à poursuivre ses efforts pour développer la région de Ghardaïa, apporter des solutions et aider l'ensemble des citoyens», a assuré, le Premier ministre Abdelmalek Sellal, lors de sa visite à Ghardaïa, la première dans le pays après la réélection du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, pour un quatrième mandat. Abdelmalek Sellal était accompagné par une délégation composée notament du ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités Locales, Tayeb Belaïz, du ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh et du commandant de la 4ème Région Militaire (RM) le généralmajor, Chérif Abderrezak. Le Premier ministre n'a pas manqué d'interpeller les notables, les élus et les représentants de la société civile « à apporter leur concours et de mobiliser les jeunes de la région en faveur des intérêts suprêmes du pays, de ceux de la région et de ceux des jeunes qui portent l'avenir ». Il a affirmé que sa visite « intervenait en application des promesses du chef de l'Etat faites durant la campagne électorale en vue de trouver une solution définitive à ce problème par la voie du dialogue et de la concertation continue ainsi qu'à travers l'application rigoureuse des lois de la République ». La feuille de route de Sellal pour une énième visite dans la capitale du Mzab est toute tracée : trouver une solution définitive aux problèmes de la vallée du Mzab et une menace aux récalcitrants et fauteurs de troubles que l'Etat ne sera plus tolérant envers ceux qui perturbent la quiétude la la cité. La méthode suivie par le représentant de l'Etat : le dialogue et la concertation avec tous les représentants des différentes couches de la population de Ghardaïa. L'initiative du Premier ministre pourra- t-elle amener la solution tant recherchée pour apaiser une région en proie à des soubresauts violents et récurrents. Abdelmalek Sellal s'est rendu plusieurs fois «en pompier» dans la vallée du Mzab. Des solutions ont été «essayées» pour régler le problème qui résulte selon certaines sources «du vivre ensemble» de deux communautés (arabe et mozabite), alors que pour d'autres, il est "politique" et pour d'autres, il est question de «positions et intérêts» à défendre pour tout un réseau de mafieux qui se disputent un «territoire » stratégique pour leurs bisness. Au milieu de tout cet enchevêtrement de fils, Sellal n'est pas à sa première tentative d'éteindre le feu qui commence à consumer la mythique vallée du Mzab. A l'occasion d'une fête religieuse, le Mawlid Enabaoui, le Premier a tenté de sceller la paix entre les deux communautés. Mais l'oeuvre s'est avérée être beaucoup plus ardue que ne le pensaient les autorités. Une accalmie a été observée par les «frères ennemis » qui ont décrété un cessez-le-feu qui malheureusement n'a pas tenu longtemps. Les démons de la violence ont vite repris le dessus en l'absence d'une riposte énergique de l'Etat pour dissuader les adeptes du chaos. Le scénario est devenu classique : des jeunes qui se jettent des pierres, des blessés et ce qui devait arriver, arriva, des morts d'homme et une haine qui s'est enracinée dans le tissu social des deux communautés. Le Premier ministre est appelé à développer des trésors d'ingéniosité pour ramener le calme dans la cité de la vallée du Mzab, réconcilier les deux communautés qui ont perdu la confiance, l'une envers l'autre. Une marge de manoeuvre étroite pour Sellal qui s'est engagé lors de la campagne électorale à rester le temps qu'il faut à Ghardaïa pour trouver une solution définitive aux évènements qui secouent toute la vallée du Mzab. Et ce n'est pas la permutation, annoncée alors que Sellal avait entamé sa visite à Ghardaïa, entre les walis de Ghardaïa, Mahmoud Djemaa, nommé dans le même poste dans la capitale du Hoggar, Tamanrasset et le wali de cette capitale de l'extrême- Sud, Abdelhakim Chater, qui pourra changer la donne du problème. La situation est beaucoup plus grave et son enlisement fait craindre le pire pour cette région stratégique située au carrefour de la porte du Sud, zone des richesses en hydrocarbures du pays et une voie qui donne sur le Nord du pays, centre de décision qui engage l'avenir de l'Algérie. Le Premier ministre en appelle à tout le monde pour se joindre aux efforts de l'Etat pour dépasser cette situation qui ne sert ni les intérêts des Ghardaouis, notamment sa jeunesse, ni les intérêts suprêmes du pays. Une situation qui n'a que trop duré, mettant les nerfs des deux communautés à fleur de peau «Le gouvernement est déterminé à poursuivre ses efforts pour développer la région de Ghardaïa, apporter des solutions et aider l'ensemble des citoyens», a assuré, le Premier ministre Abdelmalek Sellal, lors de sa visite à Ghardaïa, la première dans le pays après la réélection du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, pour un quatrième mandat. Abdelmalek Sellal était accompagné par une délégation composée notament du ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités Locales, Tayeb Belaïz, du ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh et du commandant de la 4ème Région Militaire (RM) le généralmajor, Chérif Abderrezak. Le Premier ministre n'a pas manqué d'interpeller les notables, les élus et les représentants de la société civile « à apporter leur concours et de mobiliser les jeunes de la région en faveur des intérêts suprêmes du pays, de ceux de la région et de ceux des jeunes qui portent l'avenir ». Il a affirmé que sa visite « intervenait en application des promesses du chef de l'Etat faites durant la campagne électorale en vue de trouver une solution définitive à ce problème par la voie du dialogue et de la concertation continue ainsi qu'à travers l'application rigoureuse des lois de la République ». La feuille de route de Sellal pour une énième visite dans la capitale du Mzab est toute tracée : trouver une solution définitive aux problèmes de la vallée du Mzab et une menace aux récalcitrants et fauteurs de troubles que l'Etat ne sera plus tolérant envers ceux qui perturbent la quiétude la la cité. La méthode suivie par le représentant de l'Etat : le dialogue et la concertation avec tous les représentants des différentes couches de la population de Ghardaïa. L'initiative du Premier ministre pourra- t-elle amener la solution tant recherchée pour apaiser une région en proie à des soubresauts violents et récurrents. Abdelmalek Sellal s'est rendu plusieurs fois «en pompier» dans la vallée du Mzab. Des solutions ont été «essayées» pour régler le problème qui résulte selon certaines sources «du vivre ensemble» de deux communautés (arabe et mozabite), alors que pour d'autres, il est "politique" et pour d'autres, il est question de «positions et intérêts» à défendre pour tout un réseau de mafieux qui se disputent un «territoire » stratégique pour leurs bisness. Au milieu de tout cet enchevêtrement de fils, Sellal n'est pas à sa première tentative d'éteindre le feu qui commence à consumer la mythique vallée du Mzab. A l'occasion d'une fête religieuse, le Mawlid Enabaoui, le Premier a tenté de sceller la paix entre les deux communautés. Mais l'oeuvre s'est avérée être beaucoup plus ardue que ne le pensaient les autorités. Une accalmie a été observée par les «frères ennemis » qui ont décrété un cessez-le-feu qui malheureusement n'a pas tenu longtemps. Les démons de la violence ont vite repris le dessus en l'absence d'une riposte énergique de l'Etat pour dissuader les adeptes du chaos. Le scénario est devenu classique : des jeunes qui se jettent des pierres, des blessés et ce qui devait arriver, arriva, des morts d'homme et une haine qui s'est enracinée dans le tissu social des deux communautés. Le Premier ministre est appelé à développer des trésors d'ingéniosité pour ramener le calme dans la cité de la vallée du Mzab, réconcilier les deux communautés qui ont perdu la confiance, l'une envers l'autre. Une marge de manoeuvre étroite pour Sellal qui s'est engagé lors de la campagne électorale à rester le temps qu'il faut à Ghardaïa pour trouver une solution définitive aux évènements qui secouent toute la vallée du Mzab. Et ce n'est pas la permutation, annoncée alors que Sellal avait entamé sa visite à Ghardaïa, entre les walis de Ghardaïa, Mahmoud Djemaa, nommé dans le même poste dans la capitale du Hoggar, Tamanrasset et le wali de cette capitale de l'extrême- Sud, Abdelhakim Chater, qui pourra changer la donne du problème. La situation est beaucoup plus grave et son enlisement fait craindre le pire pour cette région stratégique située au carrefour de la porte du Sud, zone des richesses en hydrocarbures du pays et une voie qui donne sur le Nord du pays, centre de décision qui engage l'avenir de l'Algérie.