Un nouveau mécanisme sera "incessamment" mis en place par le gouvernement algérien pour la prise en charge des déplacés africains "sans pour autant compromettre leur liberté, ni attenter à leur dignité", a affirmé lundi à Alger la ministre de la Solidarité nationale, de la famille et de la condition de la femme, Mounia Meslem. Un nouveau mécanisme sera "incessamment" mis en place par le gouvernement algérien pour la prise en charge des déplacés africains "sans pour autant compromettre leur liberté, ni attenter à leur dignité", a affirmé lundi à Alger la ministre de la Solidarité nationale, de la famille et de la condition de la femme, Mounia Meslem. "La mise en place de ce mécanisme participe de la volonté de l'Algérie de prendre en charge ces déplacés et d'assurer leur protection, conformément au devoir de solidarité humaine, pour lequel l'Algérie est connue en pareilles situations, comme fut le cas avec les frères syriens", a précisé Mme Meslem en marge de la célébration de la journée de l'enfant africain, coïncidant avec le 16 juin. A une question de l'APS sur le nombre des déplacés africains en Algérie, la ministre a indiqué que son département ministériel ne disposait pas de données à ce sujet, d'autant que "ces déplacés refusent de rester au niveau des tentes mises à leur disposition à travers plusieurs wilayas du pays". Elle a en outre souligné, que "ce nouveau mécanisme qui est en phase d'élaboration en collaboration avec plusieurs ministères notamment ceux de l'Intérieur, des Affaires étrangères et de la Défense, permettra de connaître le nombre exact de ces déplacés et de définir les procédés par lesquels les aides leur seront acheminées sans pour autant compromettre leur liberté ni attenter à leur dignité". "La prise en charge de ces déplacés qui ont trouvé refuge en Algérie, n'est pas chose aisée et n'implique pas uniquement le ministère de la Solidarité, mais relève plutôt d'une politique d'Etat à part entière", a-t-elle ajouté. "La mise en place de ce mécanisme participe de la volonté de l'Algérie de prendre en charge ces déplacés et d'assurer leur protection, conformément au devoir de solidarité humaine, pour lequel l'Algérie est connue en pareilles situations, comme fut le cas avec les frères syriens", a précisé Mme Meslem en marge de la célébration de la journée de l'enfant africain, coïncidant avec le 16 juin. A une question de l'APS sur le nombre des déplacés africains en Algérie, la ministre a indiqué que son département ministériel ne disposait pas de données à ce sujet, d'autant que "ces déplacés refusent de rester au niveau des tentes mises à leur disposition à travers plusieurs wilayas du pays". Elle a en outre souligné, que "ce nouveau mécanisme qui est en phase d'élaboration en collaboration avec plusieurs ministères notamment ceux de l'Intérieur, des Affaires étrangères et de la Défense, permettra de connaître le nombre exact de ces déplacés et de définir les procédés par lesquels les aides leur seront acheminées sans pour autant compromettre leur liberté ni attenter à leur dignité". "La prise en charge de ces déplacés qui ont trouvé refuge en Algérie, n'est pas chose aisée et n'implique pas uniquement le ministère de la Solidarité, mais relève plutôt d'une politique d'Etat à part entière", a-t-elle ajouté.