La lutte contre les pilleurs de sable de mer constitue, à Jijel, une des priorités de la Gendarmerie nationale qui reste déterminée à lutter contre ce fléau. La lutte contre les pilleurs de sable de mer constitue, à Jijel, une des priorités de la Gendarmerie nationale qui reste déterminée à lutter contre ce fléau. C ' est en marge des journées portes ouvertes sur la Gendarmerie nationale, organisées au port de pêche et de plaisance de Boudis, que le lieutenant-colonel Achour Hamel, chef d'état-major au groupement territorial de la Gendarmerie nationale, a réitéré la volonté de la "lutte sans merci menée contre les prédateurs" du sable de la côte, cela dans le cadre de la préservation et de la protection de l'environnement. Etayant ses propos par des chiffres illustrant les diverses opérations effectuées de jour comme de nuit par les brigades de la Gendarmerie nationale, le long de la route nationale 43, notamment sur la côte Est, M. Hamel a rappelé que la "plus grande prise" a été réalisée au lieu dit Beni Mahboub à El Milia, donnant lieu à la saisie, le 13 mai dernier, de 6.400 m3 de sable de mer, soit l'équivalent de 500 camions, a indiqué l'APS. De plus en plus convoité depuis la fermeture administrative de certaines sablières de la région, ce matériau de construction très prisé est écoulé à des prix souvent prohibitifs, comme le corrobore la prolifération de parcs à matériaux créés un peu partout au mépris de la réglementation en vigueur. Selon l'APS, de nombreux usagers de la route ont d'ailleurs parfois du mal à circuler de nuit, face à des camions chargés de sable de mer et autres engins empruntant, tous feux éteints, aussi bien la route nationale 43 que d'autres itinéraires pour échapper au contrôle des services de sécurité. Depuis le début de l'année en cours, 51 affaires relatives à l'extraction illicite de sable de mer, impliquant 16 personnes ont été traitées par les services de la Gendarmerie nationale, contre 4 seulement en 2013, ce qui démontre l'ampleur prise, au fil des ans, par ce phénomène. Un volume de 7.083 m3 de sable de mer, 63 camions de différents tonnages ainsi que d'autres moyens ayant contribué à l'extraction ou au transport de ce matériau naturel ont été, à ce jour, saisis et mis en fourrière. C ' est en marge des journées portes ouvertes sur la Gendarmerie nationale, organisées au port de pêche et de plaisance de Boudis, que le lieutenant-colonel Achour Hamel, chef d'état-major au groupement territorial de la Gendarmerie nationale, a réitéré la volonté de la "lutte sans merci menée contre les prédateurs" du sable de la côte, cela dans le cadre de la préservation et de la protection de l'environnement. Etayant ses propos par des chiffres illustrant les diverses opérations effectuées de jour comme de nuit par les brigades de la Gendarmerie nationale, le long de la route nationale 43, notamment sur la côte Est, M. Hamel a rappelé que la "plus grande prise" a été réalisée au lieu dit Beni Mahboub à El Milia, donnant lieu à la saisie, le 13 mai dernier, de 6.400 m3 de sable de mer, soit l'équivalent de 500 camions, a indiqué l'APS. De plus en plus convoité depuis la fermeture administrative de certaines sablières de la région, ce matériau de construction très prisé est écoulé à des prix souvent prohibitifs, comme le corrobore la prolifération de parcs à matériaux créés un peu partout au mépris de la réglementation en vigueur. Selon l'APS, de nombreux usagers de la route ont d'ailleurs parfois du mal à circuler de nuit, face à des camions chargés de sable de mer et autres engins empruntant, tous feux éteints, aussi bien la route nationale 43 que d'autres itinéraires pour échapper au contrôle des services de sécurité. Depuis le début de l'année en cours, 51 affaires relatives à l'extraction illicite de sable de mer, impliquant 16 personnes ont été traitées par les services de la Gendarmerie nationale, contre 4 seulement en 2013, ce qui démontre l'ampleur prise, au fil des ans, par ce phénomène. Un volume de 7.083 m3 de sable de mer, 63 camions de différents tonnages ainsi que d'autres moyens ayant contribué à l'extraction ou au transport de ce matériau naturel ont été, à ce jour, saisis et mis en fourrière.