Le trafic de carburant à la frontière ouest du pays continue d'enregistrer des dégâts. Les dommages pour Naftal se chiffrent en milliards de dinars. Les Douanes ont fait le bilan d'une année où 660.000 litres d'essence ont été saisis. Mais les services de sécurité ont mis en place un système électronique performant afin de traquer les trafiquants où qu'ils soient. Le trafic de carburant à la frontière ouest du pays continue d'enregistrer des dégâts. Les dommages pour Naftal se chiffrent en milliards de dinars. Les Douanes ont fait le bilan d'une année où 660.000 litres d'essence ont été saisis. Mais les services de sécurité ont mis en place un système électronique performant afin de traquer les trafiquants où qu'ils soient. Depuis août 2013, les autorités sont sur le qui-vive. Le trafic du carburant n'a pas cessé depuis avec une courbe ascendante. Les Douanes en coordination avec les services de sécurité sont en état d'alerte et chaque jour procèdent à des saisies et des arrestations de trafiquants qui tentent de redoubler de férocité. Rien que pour le premier semestre 2014 les douaniers ont saisi près de 200.000 litres de carburant à travers la wilaya de Tlemcen. C'est dire la dangerosité de la situation du côté de nos frontières Ouest et Est qui pullulent de bandes bien organisées pour écouler le précieux liquide chez les voisins. Selon une source bien informée, les trafiquants misent sur le prix du litre d'essence qui coûte 10 fois moins cher qu'en Tunisie et au Maroc. Récemment, le résultat d'une enquête de services de surveillance de la frontière algérotunisienne a conclu à l'existence d'un parc de 3.000 camions citernes aménagés pour la circonstance qui renferment le gas-oil algérien sans autorisation. Ce qui s'ajoute aux autres trafics de cannabis et éventuellement des armes qui font que les autorités des deux pays sont obligés de procéder à des ratissages et à un contrôle minutieux de toutes sortes de marchandises. Toutefois, les douaniers notent que depuis l'entrée en vigueur de l'instruction d'août 2013, un fléchissement a été constaté pour ce qui est du passage illicite du carburant en dehors des frontières. Eventuellement, le rationnement de la demande ne s'est pas estompé et a permis d'identifier beaucoup de malfaiteurs selon différentes sources. La direction chargée de la lutte contre la contrebande à la direction générale des Douanes (DGD), coordonne ses efforts avec les autres services de sécurité qui doivent arrêter systématiquement tout véhicule disposant d'un double réservoir ou de cachettes aménagées pour contenir les litres supplémentaires de gas-oil. Une autre technique a été mise en service récemment où il s'agit d'un système électronique performant relié à un ensemble de capteurs, grâce au haut débit sans fil permettant la transmission des données en temps réel aux commandements mobiles devant intervenir rapidement pour traquer les trafiquants et autres criminels. Depuis août 2013, les autorités sont sur le qui-vive. Le trafic du carburant n'a pas cessé depuis avec une courbe ascendante. Les Douanes en coordination avec les services de sécurité sont en état d'alerte et chaque jour procèdent à des saisies et des arrestations de trafiquants qui tentent de redoubler de férocité. Rien que pour le premier semestre 2014 les douaniers ont saisi près de 200.000 litres de carburant à travers la wilaya de Tlemcen. C'est dire la dangerosité de la situation du côté de nos frontières Ouest et Est qui pullulent de bandes bien organisées pour écouler le précieux liquide chez les voisins. Selon une source bien informée, les trafiquants misent sur le prix du litre d'essence qui coûte 10 fois moins cher qu'en Tunisie et au Maroc. Récemment, le résultat d'une enquête de services de surveillance de la frontière algérotunisienne a conclu à l'existence d'un parc de 3.000 camions citernes aménagés pour la circonstance qui renferment le gas-oil algérien sans autorisation. Ce qui s'ajoute aux autres trafics de cannabis et éventuellement des armes qui font que les autorités des deux pays sont obligés de procéder à des ratissages et à un contrôle minutieux de toutes sortes de marchandises. Toutefois, les douaniers notent que depuis l'entrée en vigueur de l'instruction d'août 2013, un fléchissement a été constaté pour ce qui est du passage illicite du carburant en dehors des frontières. Eventuellement, le rationnement de la demande ne s'est pas estompé et a permis d'identifier beaucoup de malfaiteurs selon différentes sources. La direction chargée de la lutte contre la contrebande à la direction générale des Douanes (DGD), coordonne ses efforts avec les autres services de sécurité qui doivent arrêter systématiquement tout véhicule disposant d'un double réservoir ou de cachettes aménagées pour contenir les litres supplémentaires de gas-oil. Une autre technique a été mise en service récemment où il s'agit d'un système électronique performant relié à un ensemble de capteurs, grâce au haut débit sans fil permettant la transmission des données en temps réel aux commandements mobiles devant intervenir rapidement pour traquer les trafiquants et autres criminels.