Le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur, Tayeb Belaïz, a annoncé la mise en place d'un plan d'action pour le rétablissement de la sécurité dans la wilaya de Ghardaïa. Tayeb Belaïz, qui s'exprimait hier en marge d'une séance plénière à l'APN consacrée à l'adoption de quatre projets de loi, a en effet annoncé que « le gouvernement a mis en place un plan bien étudié qui vise au maintien de la sécurité et le rétablissement de l'ordre public dans cette wilaya qui nous est chère ». Le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur, Tayeb Belaïz, a annoncé la mise en place d'un plan d'action pour le rétablissement de la sécurité dans la wilaya de Ghardaïa. Tayeb Belaïz, qui s'exprimait hier en marge d'une séance plénière à l'APN consacrée à l'adoption de quatre projets de loi, a en effet annoncé que « le gouvernement a mis en place un plan bien étudié qui vise au maintien de la sécurité et le rétablissement de l'ordre public dans cette wilaya qui nous est chère ». Le ministre de l'Intérieur n'a pas donné plus de précisions sur le contenu de ce plan et on ignore ainsi s'il s'agit d'un nouveau dispositif tendant à mettre fin à la crise qui secoue cette wilaya depuis des mois maintenant ou, en revanche, s'il est question d'un ancien programme. « Ce plan comprend des mesures sécuritaires ainsi que d'autres dispositions. Les autorités exécutives dans cette wilaya, le wali en tête, sont chargées de l'application graduelle de ce plan afin de favoriser le rétablissement de la sécurité et de revenir à la situation d'avant les événements » a tout simplement précisé le ministre de l'Intérieur. La wilaya de Ghardaïa est toujours en proie des affrontements entre les jeunes des deux communautés, mozabite et chaâmbie et ce, malgré les efforts du gouvernement et le déploiement d'importantes forces de sécurité pour garantir la paix et la sécurité. Durant ce mois sacré de Ramadhan il y a eu de nouvelles échauffourées et les Mozabites ont organisé plusieurs rassemblements à Ghardaïa et dans d'autre villes, comme à Alger, pour interpeller les autorités sur cette déplorable situation. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a pourtant effectué une visite de travail dans cette wilaya le 14 juin dernier, mais la situation reste toujours tendue. Par ailleurs le ministre de l'Intérieur, qui a été interpellé hier dans l'hémicycle par trois députés, dont Karim Tabou, sur la position du gouvernement vis-à-vis du parti de l'Union démocratique et sociale (UDS), a indiqué que « je leur ai dit que j'ai lu, j'ai compris et j'ai pris acte ». Il faut dire que dès le début de l'examen du projet de loi sur l'état civil, Karim Tabou et deux autres députés affiliés à ce nouveau parti qui n'a pas d'agrément, ont exhibé une pancarte portant : « A monsieur le ministre de l'Intérieur, nous revendiquons notre droit constitutionnel pour la tenue du congrès constitutif de l'UDS ». Dans une déclaration à la presse Karim Tabou, transfuge du FFS et président de ce nouveau parti a dénoncé le refus du ministère de leur accorder l'autorisation pour organiser le congrès constitutif. Le ministre de l'Intérieur s'est montré satisfait après l'adoption du projet de loi sur l'état civil. Ce dernier permet désormais la prorogation à 10 ans de la validité des actes de naissance sauf changement du statut de l'état civil ou conclusion de mariage, l'annulation de la validité pour les actes de décès et l'augmentation de l'âge de majorité à 19 ans et la prorogation des délais de déclaration des naissances au profit des citoyens du Sud du fait de l'éloignement. D'autre part, le texte permet au président de l'Assemblée populaire communale d'attribuer la qualité de greffe d'état civil à ses adjoints et délégués communaux chargés de la gestion des annexes administratives de la commune. Le texte énonce également l'attribution de la qualité de greffe de l'état civil au secrétaire général de la commune à titre provisoire en cas de vacance du poste de président de l'APC. Les députés ont également adoptéle projet de loi sur le service national. Un projet qui réduit la durée du service national à 12 mois seulement alors qu'elle est de 18 mois actuellement. Deux autres projets de loi ont aussi eu l'aval de l'APN. Il s'agit du projet de loi portant sur les ressources biologiques et le projet de loi sur la formation professionnelle. Le ministre de l'Intérieur n'a pas donné plus de précisions sur le contenu de ce plan et on ignore ainsi s'il s'agit d'un nouveau dispositif tendant à mettre fin à la crise qui secoue cette wilaya depuis des mois maintenant ou, en revanche, s'il est question d'un ancien programme. « Ce plan comprend des mesures sécuritaires ainsi que d'autres dispositions. Les autorités exécutives dans cette wilaya, le wali en tête, sont chargées de l'application graduelle de ce plan afin de favoriser le rétablissement de la sécurité et de revenir à la situation d'avant les événements » a tout simplement précisé le ministre de l'Intérieur. La wilaya de Ghardaïa est toujours en proie des affrontements entre les jeunes des deux communautés, mozabite et chaâmbie et ce, malgré les efforts du gouvernement et le déploiement d'importantes forces de sécurité pour garantir la paix et la sécurité. Durant ce mois sacré de Ramadhan il y a eu de nouvelles échauffourées et les Mozabites ont organisé plusieurs rassemblements à Ghardaïa et dans d'autre villes, comme à Alger, pour interpeller les autorités sur cette déplorable situation. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a pourtant effectué une visite de travail dans cette wilaya le 14 juin dernier, mais la situation reste toujours tendue. Par ailleurs le ministre de l'Intérieur, qui a été interpellé hier dans l'hémicycle par trois députés, dont Karim Tabou, sur la position du gouvernement vis-à-vis du parti de l'Union démocratique et sociale (UDS), a indiqué que « je leur ai dit que j'ai lu, j'ai compris et j'ai pris acte ». Il faut dire que dès le début de l'examen du projet de loi sur l'état civil, Karim Tabou et deux autres députés affiliés à ce nouveau parti qui n'a pas d'agrément, ont exhibé une pancarte portant : « A monsieur le ministre de l'Intérieur, nous revendiquons notre droit constitutionnel pour la tenue du congrès constitutif de l'UDS ». Dans une déclaration à la presse Karim Tabou, transfuge du FFS et président de ce nouveau parti a dénoncé le refus du ministère de leur accorder l'autorisation pour organiser le congrès constitutif. Le ministre de l'Intérieur s'est montré satisfait après l'adoption du projet de loi sur l'état civil. Ce dernier permet désormais la prorogation à 10 ans de la validité des actes de naissance sauf changement du statut de l'état civil ou conclusion de mariage, l'annulation de la validité pour les actes de décès et l'augmentation de l'âge de majorité à 19 ans et la prorogation des délais de déclaration des naissances au profit des citoyens du Sud du fait de l'éloignement. D'autre part, le texte permet au président de l'Assemblée populaire communale d'attribuer la qualité de greffe d'état civil à ses adjoints et délégués communaux chargés de la gestion des annexes administratives de la commune. Le texte énonce également l'attribution de la qualité de greffe de l'état civil au secrétaire général de la commune à titre provisoire en cas de vacance du poste de président de l'APC. Les députés ont également adoptéle projet de loi sur le service national. Un projet qui réduit la durée du service national à 12 mois seulement alors qu'elle est de 18 mois actuellement. Deux autres projets de loi ont aussi eu l'aval de l'APN. Il s'agit du projet de loi portant sur les ressources biologiques et le projet de loi sur la formation professionnelle.