Les contestations des non bénéficiaires des aides relatives à l'opération Solidaritéramadhan enregistrées dans une dizaine de communes, ont été réglées, a-t-on appris auprès du ministère de la Solidarité nationale. Les contestations des non bénéficiaires des aides relatives à l'opération Solidaritéramadhan enregistrées dans une dizaine de communes, ont été réglées, a-t-on appris auprès du ministère de la Solidarité nationale. Des personnes s'estimant en droit de bénéficier de l'aide dans le cadre de l'opération de solidarité- Ramadhan, se sont déplacées aux assemblées populaires communales pour "contester" de ne pas voir leur nom figurer sur la liste des bénéficiaires, a indiqué à l'APS le directeur chargé de l'insertion et du développement social au ministère, Abdelaziz Lahlou. Les responsables du ministère et des collectivités locales concernées ont "réagi très vite" pour régler la situation et intégrer quelques personnes, parmi les contestataires, dans les listes de bénéficiaires après avoir confirmé leur situation précaire, a-t-il souligné. Toutefois, il a estimé que "globalement", l'opération de solidarité se déroule "très bien" dans les 1.541 communes, à l'exception de "quelques-unes" qui enregistrent des cas de contestations qui sont "gérées au quotidien" par le ministère et les communes. M. Lahlou a également souligné que le ministère suit minutieusement le déroulement de l'opération de solidarité au niveau local par les rapports qu'il reçoit quotidiennement. Les listes de bénéficiaires des aides dans le cadre de l'opération solidarité-Ramadhan, compte 1.651.000 personnes, notamment des démunis non assurés sociaux, des personnes bénéficiaires des allocations forfaitaires de solidarité (AFS), et du dispositif d'aide à l'insertion sociale (DAIS) ainsi que des bénéficiaires des allocations de handicap à 100 %. " Dans le cadre du suivi de la mise en oeuvre, il est demandé aux directeurs de l'action sociale et de solidarité de wilaya, coordinateurs des comités de wilaya chargés de cette opération, d'assurer la supervision des opérations menées sur le terrain et de transmettre des bulletins sur les actions de solidarité entreprises au niveau de leurs wilayas", selon le guide d'orientation de l'opération solidarité- Ramadhan. Des personnes s'estimant en droit de bénéficier de l'aide dans le cadre de l'opération de solidarité- Ramadhan, se sont déplacées aux assemblées populaires communales pour "contester" de ne pas voir leur nom figurer sur la liste des bénéficiaires, a indiqué à l'APS le directeur chargé de l'insertion et du développement social au ministère, Abdelaziz Lahlou. Les responsables du ministère et des collectivités locales concernées ont "réagi très vite" pour régler la situation et intégrer quelques personnes, parmi les contestataires, dans les listes de bénéficiaires après avoir confirmé leur situation précaire, a-t-il souligné. Toutefois, il a estimé que "globalement", l'opération de solidarité se déroule "très bien" dans les 1.541 communes, à l'exception de "quelques-unes" qui enregistrent des cas de contestations qui sont "gérées au quotidien" par le ministère et les communes. M. Lahlou a également souligné que le ministère suit minutieusement le déroulement de l'opération de solidarité au niveau local par les rapports qu'il reçoit quotidiennement. Les listes de bénéficiaires des aides dans le cadre de l'opération solidarité-Ramadhan, compte 1.651.000 personnes, notamment des démunis non assurés sociaux, des personnes bénéficiaires des allocations forfaitaires de solidarité (AFS), et du dispositif d'aide à l'insertion sociale (DAIS) ainsi que des bénéficiaires des allocations de handicap à 100 %. " Dans le cadre du suivi de la mise en oeuvre, il est demandé aux directeurs de l'action sociale et de solidarité de wilaya, coordinateurs des comités de wilaya chargés de cette opération, d'assurer la supervision des opérations menées sur le terrain et de transmettre des bulletins sur les actions de solidarité entreprises au niveau de leurs wilayas", selon le guide d'orientation de l'opération solidarité- Ramadhan.