Un soulagement pour le service de pédiatrie de l'hôpital de Bab El- Oued. Une unité médicale des urgences pédiatriques d'une capacité d'accueil de 450 malades par jour a été inaugurée mercredi au Centre hospitalo- universitaire (CHU) Lamine-Debaghine à Alger. Un soulagement pour le service de pédiatrie de l'hôpital de Bab El- Oued. Une unité médicale des urgences pédiatriques d'une capacité d'accueil de 450 malades par jour a été inaugurée mercredi au Centre hospitalo- universitaire (CHU) Lamine-Debaghine à Alger. L'unité de pédiatrie est opérationnelle et fonctionnera 24/24h pour accueillir les patients d'Alger et éventuellement des quatre coins du pays, a indiqué le directeur général du CHU, Rabah Barr, en marge de l'inauguration. Il a rappelé, à cette occasion, que la prise en charge de l'enfant est l'une des "priorités" du ministère de la Santé, de la Population et de la Reforme hospitalière, précisant que des "moyens importants" ont été dégagés pour "améliorer les conditions d'accueil des malades". Le nouveau service de pédiatrie est doté de toutes les commodités nécessaires, tels le scanner, l'IRM et l'échographe. Le même responsable a fait remarquer que d'autres unités pédiatriques dans les spécialités d'oncologie, chirurgie, cardiologie, hématologie, maladies respiratoires et neurologie, seront prochainement réceptionnées dans le même hôpital. En plus des services médicaux, ces unités seront dotées d'un plateau technique sophistiqué et d'un laboratoire médical. S'agissant des pathologies traitées, M. Barr a indiqué que l'unité de soins emploie un personnel médical "compétent" pouvant assurer des consultations dans diverses branches médicales comme la diabétologie, la néphrologie, la cardiologie, la neurologie et la gastro-entérologie. Pour sa part, le chef de service pédiatrie, Abdennour Laraba, a indiqué que l'unité dispose d'un box de huit lits pour les hospitalisations de courte durée, d'un espace de consultation pour les aérosols, de six places destinés aux enfants atteints de maladies respiratoires et un espace de kinésithérapie. Les capacités d'accueil du nouveau service permettront d'exercer dans de meilleures conditions et de répondre à la demande des patients, notamment en cas d'épidémie, a expliqué le Pr Laraba. Pour ce même spécialiste, le système national de santé "doit consacrer une place importante aux urgences". L'unité de pédiatrie est opérationnelle et fonctionnera 24/24h pour accueillir les patients d'Alger et éventuellement des quatre coins du pays, a indiqué le directeur général du CHU, Rabah Barr, en marge de l'inauguration. Il a rappelé, à cette occasion, que la prise en charge de l'enfant est l'une des "priorités" du ministère de la Santé, de la Population et de la Reforme hospitalière, précisant que des "moyens importants" ont été dégagés pour "améliorer les conditions d'accueil des malades". Le nouveau service de pédiatrie est doté de toutes les commodités nécessaires, tels le scanner, l'IRM et l'échographe. Le même responsable a fait remarquer que d'autres unités pédiatriques dans les spécialités d'oncologie, chirurgie, cardiologie, hématologie, maladies respiratoires et neurologie, seront prochainement réceptionnées dans le même hôpital. En plus des services médicaux, ces unités seront dotées d'un plateau technique sophistiqué et d'un laboratoire médical. S'agissant des pathologies traitées, M. Barr a indiqué que l'unité de soins emploie un personnel médical "compétent" pouvant assurer des consultations dans diverses branches médicales comme la diabétologie, la néphrologie, la cardiologie, la neurologie et la gastro-entérologie. Pour sa part, le chef de service pédiatrie, Abdennour Laraba, a indiqué que l'unité dispose d'un box de huit lits pour les hospitalisations de courte durée, d'un espace de consultation pour les aérosols, de six places destinés aux enfants atteints de maladies respiratoires et un espace de kinésithérapie. Les capacités d'accueil du nouveau service permettront d'exercer dans de meilleures conditions et de répondre à la demande des patients, notamment en cas d'épidémie, a expliqué le Pr Laraba. Pour ce même spécialiste, le système national de santé "doit consacrer une place importante aux urgences".