À l'issue de près d'une semaine de joutes vocales et lyriques, de compétitions musicales entre les candidats venus de differentes regions du pays, le rideau est tombé sur la 7e édition du Festival national de la chanson chaâbie, version 2014 dédiée au regretté chanteur de châabi Omar Mekraza, décédé le 6 mars 1986 Alger. À l'issue de près d'une semaine de joutes vocales et lyriques, de compétitions musicales entre les candidats venus de differentes regions du pays, le rideau est tombé sur la 7e édition du Festival national de la chanson chaâbie, version 2014 dédiée au regretté chanteur de châabi Omar Mekraza, décédé le 6 mars 1986 Alger. Elle s'est achevée avant-hier, dans la soirée de jeudi, au Théâtre national algérien. Le jury a rendu son verdict et désigné les heureux lauréats de cette édition dont le premier prix a été remporté haut la main par Abdelwaheb Ben Sâadi d'Alger. Le protocolaire n'est pas en reste puisque, un représentant du ministère de la Culture, à savoir le directeur Nourreddine Lardjane a remis au gagnant un chèque d'une valeur de 500.000 DA, un trophée, un diplôme honorifique et un bouquet de fleurs. Abdelwaheb Ben SâadI qui pour rappel a décroché l'année dernier le cinquième prix, s'est distingué pour cette édition 2014d par la belle interprétation de la qacida de cheikh El Laghraibi intitulée Ya Lotfi El Allah El Ghafi. En marge de cette cérémonie, l'heureux élu, nous a déclaré qu'il était heureux de recevoir un tel prix encourageant. «Je remercie l'ensemble des organisateurs ainsi que tous les maitres qui m'ont enseigné les rudiments de ce métier» lance-t-il. De son côté, le représentant du ministère de la Culture, Nourreddine Lardjane, s'est félicité de la présence du public magnifique qui était au rendez-vous. « Le public est le parfait baromètre. Il a é également ajouté que le ministère s'engage à faire bénéficier aux trois premiers lauréats d'une tournée artistique nationale. Le deuxième prix a été attribué à Waali de Tizi Ouzou, en interprétant en langue berbère un istikhbar et une des qacida de Allaoua Zerrouk. La valeur du prix en question est de l'ordre de 300.000 DA. La troisième place est revenue à Tarik Ayad de Béjaia. Ce fervente admirateur d'El Hachemi Guerrouabi a chanté un titre célèbre du défunt à savoir Mali yesdar henine. Lui aussi s'est dit ravi d'avoir décroché un tel prix, évalué à 150.000 DA. Il estime que cette distinction est méritée d'autant plus qu'il a travaillé avec acharnement. « Je dédie ce prix à la wilaya de Bejaia, notamment de Gouraya. Enfin le prix du public estimé à 100.000 DA a été remis à la belle voix féminine Aicha Taher Mensor de Ténés. Elève de l'association El Athmania de Blida, cette dernière un istikbar Grib sallaallah âal ya imam et Ya illah rachi adrouka bihi. Elle n'a pas manqué de révéler qu'elle dédie ce prix à sa famille, à son association ainsi qu'à son maître Mohamed Allel Tahmidi . Au tombé de rideau de cette neuvième édition, un membre du jury, Mustapha Bouafia s'est félicité de la tenue d'une telle manifestation. « De prime abord, le festival s'est déroulé dans de bonnes conditions. Le public a fortement applaudi l'ensemble des candidats. J'espère que nous avons été à la hauteur». Dans une brève déclaration à la presse, cheikh Boudjemâa El Ankis a indiqué qu'il était solidaire avec le peuple de la bande de Ghaza. Selon lui, "la musique châabie ne mourra jamais. La relève existe. Elle est là présente pour ranimer le flambeau. Le châabi ne mourra pas car il a de solides bases. Je suis émerveillé par ces jeunes voix. Le châabi est basé sur l'amour, la fraternité et la persévérance. Ce festival est une excellente chose. J'espère qu'il se pérennisera dans le temps ". Elle s'est achevée avant-hier, dans la soirée de jeudi, au Théâtre national algérien. Le jury a rendu son verdict et désigné les heureux lauréats de cette édition dont le premier prix a été remporté haut la main par Abdelwaheb Ben Sâadi d'Alger. Le protocolaire n'est pas en reste puisque, un représentant du ministère de la Culture, à savoir le directeur Nourreddine Lardjane a remis au gagnant un chèque d'une valeur de 500.000 DA, un trophée, un diplôme honorifique et un bouquet de fleurs. Abdelwaheb Ben SâadI qui pour rappel a décroché l'année dernier le cinquième prix, s'est distingué pour cette édition 2014d par la belle interprétation de la qacida de cheikh El Laghraibi intitulée Ya Lotfi El Allah El Ghafi. En marge de cette cérémonie, l'heureux élu, nous a déclaré qu'il était heureux de recevoir un tel prix encourageant. «Je remercie l'ensemble des organisateurs ainsi que tous les maitres qui m'ont enseigné les rudiments de ce métier» lance-t-il. De son côté, le représentant du ministère de la Culture, Nourreddine Lardjane, s'est félicité de la présence du public magnifique qui était au rendez-vous. « Le public est le parfait baromètre. Il a é également ajouté que le ministère s'engage à faire bénéficier aux trois premiers lauréats d'une tournée artistique nationale. Le deuxième prix a été attribué à Waali de Tizi Ouzou, en interprétant en langue berbère un istikhbar et une des qacida de Allaoua Zerrouk. La valeur du prix en question est de l'ordre de 300.000 DA. La troisième place est revenue à Tarik Ayad de Béjaia. Ce fervente admirateur d'El Hachemi Guerrouabi a chanté un titre célèbre du défunt à savoir Mali yesdar henine. Lui aussi s'est dit ravi d'avoir décroché un tel prix, évalué à 150.000 DA. Il estime que cette distinction est méritée d'autant plus qu'il a travaillé avec acharnement. « Je dédie ce prix à la wilaya de Bejaia, notamment de Gouraya. Enfin le prix du public estimé à 100.000 DA a été remis à la belle voix féminine Aicha Taher Mensor de Ténés. Elève de l'association El Athmania de Blida, cette dernière un istikbar Grib sallaallah âal ya imam et Ya illah rachi adrouka bihi. Elle n'a pas manqué de révéler qu'elle dédie ce prix à sa famille, à son association ainsi qu'à son maître Mohamed Allel Tahmidi . Au tombé de rideau de cette neuvième édition, un membre du jury, Mustapha Bouafia s'est félicité de la tenue d'une telle manifestation. « De prime abord, le festival s'est déroulé dans de bonnes conditions. Le public a fortement applaudi l'ensemble des candidats. J'espère que nous avons été à la hauteur». Dans une brève déclaration à la presse, cheikh Boudjemâa El Ankis a indiqué qu'il était solidaire avec le peuple de la bande de Ghaza. Selon lui, "la musique châabie ne mourra jamais. La relève existe. Elle est là présente pour ranimer le flambeau. Le châabi ne mourra pas car il a de solides bases. Je suis émerveillé par ces jeunes voix. Le châabi est basé sur l'amour, la fraternité et la persévérance. Ce festival est une excellente chose. J'espère qu'il se pérennisera dans le temps ".