Comme prévu, l'appel lancé, il y a trois jours, par la coordination des comités de villages de la région d'Azazga a obtenu un écho favorable de la part des habitants de cette commune. Hier, ils étaient des centaines à avoir bravé la canicule en prenant part à la marche dont le point de départ a été le siège de la mairie d'Azazga. Comme prévu, l'appel lancé, il y a trois jours, par la coordination des comités de villages de la région d'Azazga a obtenu un écho favorable de la part des habitants de cette commune. Hier, ils étaient des centaines à avoir bravé la canicule en prenant part à la marche dont le point de départ a été le siège de la mairie d'Azazga. La manifestation a eu lieu entre onze heures et midi et à l'instant où les manifestants parcouraient la ville, une grève générale a paralysé la totalité de la région d'Azazga. Rappelons que cette marche a pour but de manifester un soutien avec la famille et les proches du jeune étudiant, Said Djennad, âgé de vingt trois ans. Ce dernier n'a pas donné signe de vie depuis le 13 juillet passé. Depuis, des appels n'ont pas cessé d'être lancés pour retrouver le jeune disparu. Des affiches avec la photo de Said Djennad ont été placardées un peu partout notamment dans les communes d'Azazga et Tizi Ouzou. Mais aucune piste pouvant éclairer les proches de Said ne s'est précisée. C'est pourquoi, les comités de villages ont décidé de s'impliquer. La marche d'hier s'est terminée devant le siège de la daïra où un rassemblement a eu lieu. Après quoi, la foule s'est dispersée. Notons que depuis l'annonce de la nouvelle de la disparition du jeune en question, un climat de consternation règne dans toute la localité d'Azazga qui a passé les premières semaines du mois de jeûne dans un climat de sérénité totale et où les fêtes animées par des chanteursconnus ont ponctué les soirées du Ramadhan. Mais cette ambiance festive a été stoppée nette par cette mystérieuse disparition et d'ailleurs, les comités de villages ont décidé à l'unanimité de suspendre toutes les activités artistiques programmées au sein du centre culturel d'Azazga. De l'autre côté de la wilaya, à Ath Zmenzer, l'ex-émigré, Gada Amar, disparu le 14 juillet passé après avoir été la cible d'un kidnapping, n'a toujours pas réapparu. Un sit-in et une grève ont eu lieu au niveau du chef lieu communal mais depuis, aucune évolution n'a été enregistrée par la cellule de crise mise en place par la coordinationdes comités de villages de la commune d'Ath Zmenzer où une solidarité sansfaille est manifestée à l'égard des proches et la famille de Gada Amar, âgé de soixante-dix ans. La manifestation a eu lieu entre onze heures et midi et à l'instant où les manifestants parcouraient la ville, une grève générale a paralysé la totalité de la région d'Azazga. Rappelons que cette marche a pour but de manifester un soutien avec la famille et les proches du jeune étudiant, Said Djennad, âgé de vingt trois ans. Ce dernier n'a pas donné signe de vie depuis le 13 juillet passé. Depuis, des appels n'ont pas cessé d'être lancés pour retrouver le jeune disparu. Des affiches avec la photo de Said Djennad ont été placardées un peu partout notamment dans les communes d'Azazga et Tizi Ouzou. Mais aucune piste pouvant éclairer les proches de Said ne s'est précisée. C'est pourquoi, les comités de villages ont décidé de s'impliquer. La marche d'hier s'est terminée devant le siège de la daïra où un rassemblement a eu lieu. Après quoi, la foule s'est dispersée. Notons que depuis l'annonce de la nouvelle de la disparition du jeune en question, un climat de consternation règne dans toute la localité d'Azazga qui a passé les premières semaines du mois de jeûne dans un climat de sérénité totale et où les fêtes animées par des chanteursconnus ont ponctué les soirées du Ramadhan. Mais cette ambiance festive a été stoppée nette par cette mystérieuse disparition et d'ailleurs, les comités de villages ont décidé à l'unanimité de suspendre toutes les activités artistiques programmées au sein du centre culturel d'Azazga. De l'autre côté de la wilaya, à Ath Zmenzer, l'ex-émigré, Gada Amar, disparu le 14 juillet passé après avoir été la cible d'un kidnapping, n'a toujours pas réapparu. Un sit-in et une grève ont eu lieu au niveau du chef lieu communal mais depuis, aucune évolution n'a été enregistrée par la cellule de crise mise en place par la coordinationdes comités de villages de la commune d'Ath Zmenzer où une solidarité sansfaille est manifestée à l'égard des proches et la famille de Gada Amar, âgé de soixante-dix ans.