Les jeune de moins de 15 ans d'âge et exclus du système éducatif national pourraient bénéficier de cycles d'apprentissages dans le cadre de classes spéciales. Le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Nourdine Bedoui, a annoncé dans ce sens un projet de création de "classes préparatoires à l'apprentissage" au profit des jeunes de moins de 15 ans. Les jeune de moins de 15 ans d'âge et exclus du système éducatif national pourraient bénéficier de cycles d'apprentissages dans le cadre de classes spéciales. Le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Nourdine Bedoui, a annoncé dans ce sens un projet de création de "classes préparatoires à l'apprentissage" au profit des jeunes de moins de 15 ans. Dans une déclaration à la presse à l'issue de sa présentation du projet de loi relatif à l'apprentissage devant les membres du Conseil de la nation, le ministre a indiqué que les participants aux assises nationales de la formation professionnelle qui se tiendront à la fin de l'année en cours, examineront le projet de création des "classes préparatoires à l'apprentissage" dédié aux jeunes de moins de 15 ans qui n'ont pas eu la chance de poursuivre leur cursus scolaire. M. Bedoui a souligné à ce propos que des "centaines de milliers" parmi ces jeunes ont besoin d'être pris en charge dans le cadre de ces "classes préparatoires" comme il est d'usage dans certains pays, afin qu'ils puissent "poursuivre normalement leur formation" dans les centres nationaux de formation professionnelle. Les participants examineront par ailleurs, a indiqué M. Bedoui, le projet d'annulation de la taxe sur l'apprentissage dont doit s'acquitter l'employeur lorsqu'il n'assure pas la formation pratique aux apprentis, estimée à 1% de la masse salariale de l'entreprise. M. Bedoui a annoncé que la taxe sera annulée, précisant que d'autres mesures seront mises en place qui imposeront à l'employeur d'assurer une formation pratique aux apprentis. Le ministre avait annoncé auparavant la tenue des assises nationales de la formation et de l'enseignement professionnels pour évaluer les résultats du secteur et examiner les projets proposés, et ce avec la participation de représentants des différents départements ministériels concernés, des spécialistes, des experts et des chercheurs algériens et étrangers. Sur un autres chapitre, les membres du Conseil de la nation ont mis l'accent sur la nécessité de mettre en place des "mécanismes efficaces" susceptibles de drainer le maximum de demandeurs de formation dans les métiers du bâtiment afin de palier le déficit en main-d'oeuvre qualifiée dans ce domaine. En dépit des moyens "colossaux" mis par l'Etat à la disposition de ce secteur clef, les objectifs attendus de la relance de la formation par apprentissage n'ont pas été "atteints" en matière de formation d'une main d'oeuvre qualifiée dans ces spécialités, a-t-il ajouté. Il a, dans ce sens, insisté sur l'importance de revoir les métiers notamment la construction à travers "l'augmentation à 10.000 DA au minimum, de la prime du demandeur de formation dans ces spécialités tout en fixant des mesures à même de faire changer les mentalités". Ces mesures, a-t-il expliqué, nous éviterons de recourir à la main-d'oeuvre étrangère pour la réalisation des projets de construction et pour la relance du développement. Il a, ainsi, mis en avant l'importance du projet de loi et les amendements prévus eu égard aux "mutations enregistrées dans le monde du travail à tous les niveaux visant à adapter la formation aux besoins et exigences de l'économie nationale". D'autres sénateurs ont mis l'accent sur la nécessité de mettre en place de "nouvelles mesures afin de promouvoir les compétences de l'individu et améliorer son niveau professionnel notamment dans les métiers manuels comme le bâtiment". Ils ont en outre déploré " le recul enregistré" en ce qui concerne le nombre des demandeurs de formation,tous modes confondus, notamment la formation par apprentissage dans les métiers du bâtiment et des travaux publics, appelant à mettre en place des mécanismes et des dispositifs pour y remédier. Dans une déclaration à la presse à l'issue de sa présentation du projet de loi relatif à l'apprentissage devant les membres du Conseil de la nation, le ministre a indiqué que les participants aux assises nationales de la formation professionnelle qui se tiendront à la fin de l'année en cours, examineront le projet de création des "classes préparatoires à l'apprentissage" dédié aux jeunes de moins de 15 ans qui n'ont pas eu la chance de poursuivre leur cursus scolaire. M. Bedoui a souligné à ce propos que des "centaines de milliers" parmi ces jeunes ont besoin d'être pris en charge dans le cadre de ces "classes préparatoires" comme il est d'usage dans certains pays, afin qu'ils puissent "poursuivre normalement leur formation" dans les centres nationaux de formation professionnelle. Les participants examineront par ailleurs, a indiqué M. Bedoui, le projet d'annulation de la taxe sur l'apprentissage dont doit s'acquitter l'employeur lorsqu'il n'assure pas la formation pratique aux apprentis, estimée à 1% de la masse salariale de l'entreprise. M. Bedoui a annoncé que la taxe sera annulée, précisant que d'autres mesures seront mises en place qui imposeront à l'employeur d'assurer une formation pratique aux apprentis. Le ministre avait annoncé auparavant la tenue des assises nationales de la formation et de l'enseignement professionnels pour évaluer les résultats du secteur et examiner les projets proposés, et ce avec la participation de représentants des différents départements ministériels concernés, des spécialistes, des experts et des chercheurs algériens et étrangers. Sur un autres chapitre, les membres du Conseil de la nation ont mis l'accent sur la nécessité de mettre en place des "mécanismes efficaces" susceptibles de drainer le maximum de demandeurs de formation dans les métiers du bâtiment afin de palier le déficit en main-d'oeuvre qualifiée dans ce domaine. En dépit des moyens "colossaux" mis par l'Etat à la disposition de ce secteur clef, les objectifs attendus de la relance de la formation par apprentissage n'ont pas été "atteints" en matière de formation d'une main d'oeuvre qualifiée dans ces spécialités, a-t-il ajouté. Il a, dans ce sens, insisté sur l'importance de revoir les métiers notamment la construction à travers "l'augmentation à 10.000 DA au minimum, de la prime du demandeur de formation dans ces spécialités tout en fixant des mesures à même de faire changer les mentalités". Ces mesures, a-t-il expliqué, nous éviterons de recourir à la main-d'oeuvre étrangère pour la réalisation des projets de construction et pour la relance du développement. Il a, ainsi, mis en avant l'importance du projet de loi et les amendements prévus eu égard aux "mutations enregistrées dans le monde du travail à tous les niveaux visant à adapter la formation aux besoins et exigences de l'économie nationale". D'autres sénateurs ont mis l'accent sur la nécessité de mettre en place de "nouvelles mesures afin de promouvoir les compétences de l'individu et améliorer son niveau professionnel notamment dans les métiers manuels comme le bâtiment". Ils ont en outre déploré " le recul enregistré" en ce qui concerne le nombre des demandeurs de formation,tous modes confondus, notamment la formation par apprentissage dans les métiers du bâtiment et des travaux publics, appelant à mettre en place des mécanismes et des dispositifs pour y remédier.