Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a présenté lundi, au nom du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, ses condoléances aux familles des victimes algériennes du crash de l'avion de la compagnie espagnole "Swift Air" affrété par Air Algérie. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a présenté lundi, au nom du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, ses condoléances aux familles des victimes algériennes du crash de l'avion de la compagnie espagnole "Swift Air" affrété par Air Algérie. Le cadre : le salon d'honneur de l'aéroport international d'Alger Houari Boumediene dans lequel se sont retrouvées une trentaine de familles des victimes de la tragédie aérienne. D'emblée, Abdelmalek Sellal a tenu à souligner que «conformément à la tradition musulmane, notre communication a été empreinte de compassion et de respect aux victimes. C'est dans ce sens que le président de la République décrète un deuil de trois jours dès que le crash a été connu». Et de préciser : « Je suis ici au nom du président de la République et au nom du gouvernement algérien pour présenter mes condoléances aux familles des victimes », a dit Sellal après s'être recueilli à la mémoire des victimes, appelant les familles à s' « armer de patience face à la volonté de Dieu ». Rappelant que l'Etat algérien, « a accompli son devoir et suit de près l'affaire dès la première information sur le crash à ce jour » et qu' « il a assumé et assume ses responsabilités », précisant que « des instructions ont été données au Président directeur général de la compagnie algérienne même si l'avion a été affrété ». Abdelmalek Sellal a, indiqué dans ce contexte, que « les familles des victimes seront indemnisées bientôt ». Au cours de cette rencontre avec les familles des victimes, le Premier ministre a révélé que l'enquête pour déterminer les causes du crash de l'avion de la compagnie espagnole "Swift air" affrété par Air Algérie pour assurer le vol Ouagadougou- Alger, « se déroule en coordination et en étroite collaboration entre l'Algérie, le Mali et la France ». Il a affirmé que « l'Etat algérien a accompli son devoir et une enquête est menée pour déterminer les causes de ce tragique accident en coordination et en étroite collaboration entre l'Algérie, le Mali et la France ». Répondant aux critiques sur l' « effacement» des autorités algériennes dans ce drame, Abdelmalek Sellal a affirmé que « l'Etat algérien suit l'affaire du crash depuis la première information parvenue à ce jour», rappelant le déplacement du ministre des Tansports, Amar Ghoul, au Bukina Faso et au Mali. Il a confirmé que que Amar Ghoul « a remis les deux boîtes noires de l'avion au Bureau français d'enquêtes et d'analyses (BEA) », se disant « ignorer les causes de ce tragique accident » et que « l'enquête nécessite du temps ». Sur l'enquête d'identification des corps des victimes et de leurs nationalités, le Premier ministre a indiqué qu' « une délégation d'experts et de la police scientifique algérienne compétente qui a accompagné Amar Ghoul travaille en coordination avec le Mali et la France à cet effet », soulignant toutefois que « la remise des corps des victimes aux familles se fera après les résultats de l'enquête menée par les experts et la police scientifique ». Dans ce sens, il demande aux familles des victimes du crash de « faire preuve de patience ». Par ailleurs, selon l'Aps qui cite la cellule de communication du Premier ministre ,une série de mesures a été prise par le Gouvernement pour l'accompagnement des familles victimes du crash, afin de leur « permettre de surmonter cette épreuve ». Outre les instructions données aux responsables de la compagnie nationale Air Algérie de prendre en charge les indemnisations des ayants droits, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a instruit les autorités locales d'accompagner les familles touchées par ce drame, a précisé la même source. Pour sa part, la ministre de la Solidarité nationale, de la famille et de la condition de la femme, Mounia Meslem, a donné instruction aux différentes structures d'assurer « un accompagnement psychologique aux familles endeuillées ». En outre, pour permettre aux proches des victimes de faire leur deuil, il a été décidé également par les autorités religieuses, en accord avec ces familles d' « effectuer la prière de l'absent », et ce, « à travers toutes les mosquées du pays vendredi prochain ». Pour ce qui est des dépouilles des victimes, il est assuré que le « rapatriement se fera dès que l'opération d'indentification sera achevée », et pour laquelle « une équipe de la police scientifique algérienne est à pied d'oeuvre sur les lieux du crash et travaille en collaboration avec les experts et spécialistes français ainsi que les autorités maliennes compétentes ». Par ailleurs, la même source a indiqué que la partie malienne, de laquelle relève l'enquête, travaille en « étroite collaboration avec les Algériens et les Français ». Il est mentionné que « l'aviation civile algérienne a procédé à la remise des boîtes noires au Bureau d'études et d'analyse français (BEA), spécialisé en matière d'accidents ». Un bureau qui, rappelons-le, « a toujours été sollicité par l'Algérie pour ce genre de situations ». Pour rappel, l'avion de la compagnie espagnole "Swift Air" affrété par Air Algérie pour assurer la liaison Ouagadougou-Alger s'est écrasé jeudi dernier au nord du Mali. Les débris de l'avion ont été retrouvés vendredi dernier. Aucun des 116 passagers de différentes nationalités dont 6 Algériens et 54 Français n'a survécu. Le cadre : le salon d'honneur de l'aéroport international d'Alger Houari Boumediene dans lequel se sont retrouvées une trentaine de familles des victimes de la tragédie aérienne. D'emblée, Abdelmalek Sellal a tenu à souligner que «conformément à la tradition musulmane, notre communication a été empreinte de compassion et de respect aux victimes. C'est dans ce sens que le président de la République décrète un deuil de trois jours dès que le crash a été connu». Et de préciser : « Je suis ici au nom du président de la République et au nom du gouvernement algérien pour présenter mes condoléances aux familles des victimes », a dit Sellal après s'être recueilli à la mémoire des victimes, appelant les familles à s' « armer de patience face à la volonté de Dieu ». Rappelant que l'Etat algérien, « a accompli son devoir et suit de près l'affaire dès la première information sur le crash à ce jour » et qu' « il a assumé et assume ses responsabilités », précisant que « des instructions ont été données au Président directeur général de la compagnie algérienne même si l'avion a été affrété ». Abdelmalek Sellal a, indiqué dans ce contexte, que « les familles des victimes seront indemnisées bientôt ». Au cours de cette rencontre avec les familles des victimes, le Premier ministre a révélé que l'enquête pour déterminer les causes du crash de l'avion de la compagnie espagnole "Swift air" affrété par Air Algérie pour assurer le vol Ouagadougou- Alger, « se déroule en coordination et en étroite collaboration entre l'Algérie, le Mali et la France ». Il a affirmé que « l'Etat algérien a accompli son devoir et une enquête est menée pour déterminer les causes de ce tragique accident en coordination et en étroite collaboration entre l'Algérie, le Mali et la France ». Répondant aux critiques sur l' « effacement» des autorités algériennes dans ce drame, Abdelmalek Sellal a affirmé que « l'Etat algérien suit l'affaire du crash depuis la première information parvenue à ce jour», rappelant le déplacement du ministre des Tansports, Amar Ghoul, au Bukina Faso et au Mali. Il a confirmé que que Amar Ghoul « a remis les deux boîtes noires de l'avion au Bureau français d'enquêtes et d'analyses (BEA) », se disant « ignorer les causes de ce tragique accident » et que « l'enquête nécessite du temps ». Sur l'enquête d'identification des corps des victimes et de leurs nationalités, le Premier ministre a indiqué qu' « une délégation d'experts et de la police scientifique algérienne compétente qui a accompagné Amar Ghoul travaille en coordination avec le Mali et la France à cet effet », soulignant toutefois que « la remise des corps des victimes aux familles se fera après les résultats de l'enquête menée par les experts et la police scientifique ». Dans ce sens, il demande aux familles des victimes du crash de « faire preuve de patience ». Par ailleurs, selon l'Aps qui cite la cellule de communication du Premier ministre ,une série de mesures a été prise par le Gouvernement pour l'accompagnement des familles victimes du crash, afin de leur « permettre de surmonter cette épreuve ». Outre les instructions données aux responsables de la compagnie nationale Air Algérie de prendre en charge les indemnisations des ayants droits, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a instruit les autorités locales d'accompagner les familles touchées par ce drame, a précisé la même source. Pour sa part, la ministre de la Solidarité nationale, de la famille et de la condition de la femme, Mounia Meslem, a donné instruction aux différentes structures d'assurer « un accompagnement psychologique aux familles endeuillées ». En outre, pour permettre aux proches des victimes de faire leur deuil, il a été décidé également par les autorités religieuses, en accord avec ces familles d' « effectuer la prière de l'absent », et ce, « à travers toutes les mosquées du pays vendredi prochain ». Pour ce qui est des dépouilles des victimes, il est assuré que le « rapatriement se fera dès que l'opération d'indentification sera achevée », et pour laquelle « une équipe de la police scientifique algérienne est à pied d'oeuvre sur les lieux du crash et travaille en collaboration avec les experts et spécialistes français ainsi que les autorités maliennes compétentes ». Par ailleurs, la même source a indiqué que la partie malienne, de laquelle relève l'enquête, travaille en « étroite collaboration avec les Algériens et les Français ». Il est mentionné que « l'aviation civile algérienne a procédé à la remise des boîtes noires au Bureau d'études et d'analyse français (BEA), spécialisé en matière d'accidents ». Un bureau qui, rappelons-le, « a toujours été sollicité par l'Algérie pour ce genre de situations ». Pour rappel, l'avion de la compagnie espagnole "Swift Air" affrété par Air Algérie pour assurer la liaison Ouagadougou-Alger s'est écrasé jeudi dernier au nord du Mali. Les débris de l'avion ont été retrouvés vendredi dernier. Aucun des 116 passagers de différentes nationalités dont 6 Algériens et 54 Français n'a survécu.