Le virus hémorragique Ebola a causé la mort d'au moins 887 personnes sur les 1.063 cas recensés dans les pays affectés d'Afrique de l'Ouest, a indiqué lundi l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Le bilan de l'épidémie ne cesse de s'alourdir de jour en jour, a affirmé l'OMS dont un précédent bilan faisait état, le 27 juillet, de plus de 1.300 cas et 729 morts. Le virus hémorragique Ebola a causé la mort d'au moins 887 personnes sur les 1.063 cas recensés dans les pays affectés d'Afrique de l'Ouest, a indiqué lundi l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Le bilan de l'épidémie ne cesse de s'alourdir de jour en jour, a affirmé l'OMS dont un précédent bilan faisait état, le 27 juillet, de plus de 1.300 cas et 729 morts. Selon le nouveau bilan, la Guinée a enregistré 485 cas de contamination, dont 358 décès, le Liberia 468 cas (255 morts) et le Sierra Leone 646 cas (273 morts). Au Nigéria, il y a eu 4 cas d'infection, dont un mortel. L'épidémie s'est déclarée au début de l'année en Guinée avant de gagner le Liberia puis la Sierra Leone suscitant les craintes de la communauté internationale, de plus en plus mobilisée en vue d'enrayer la maladie. Face à la propagation du virus vers de nouveaux pays de la région, l'OMS a exigé la mise en place de centres de "soins sécurisés" et annoncé un vaste programme de lutte anti-Ebola de 100 millions de dollars. "Plus vite les malades iront se faire traiter dans des centres de soins sécurisés, plus ils ont de chances de s'en sortir et de ne pas contaminer leurs proches", a déclaré son porteparole, Tarik Jasarevic. Selon le nouveau bilan, la Guinée a enregistré 485 cas de contamination, dont 358 décès, le Liberia 468 cas (255 morts) et le Sierra Leone 646 cas (273 morts). Au Nigéria, il y a eu 4 cas d'infection, dont un mortel. L'épidémie s'est déclarée au début de l'année en Guinée avant de gagner le Liberia puis la Sierra Leone suscitant les craintes de la communauté internationale, de plus en plus mobilisée en vue d'enrayer la maladie. Face à la propagation du virus vers de nouveaux pays de la région, l'OMS a exigé la mise en place de centres de "soins sécurisés" et annoncé un vaste programme de lutte anti-Ebola de 100 millions de dollars. "Plus vite les malades iront se faire traiter dans des centres de soins sécurisés, plus ils ont de chances de s'en sortir et de ne pas contaminer leurs proches", a déclaré son porteparole, Tarik Jasarevic.