Des mesures de prévention contre l'épidémie de fièvre Ebola ont été prises par les services sanitaires de la wilaya de Tamanrasset, notamment au niveau des régions frontalières, selon les responsables de la santé. Des mesures de prévention contre l'épidémie de fièvre Ebola ont été prises par les services sanitaires de la wilaya de Tamanrasset, notamment au niveau des régions frontalières, selon les responsables de la santé. Ces mesures préventives s'inscrivent dans le cadre de la mise en oeuvre du dispositif de dépistage et de diagnostic précoce élaboré par le ministère de la Santé, de la Population et la Réforme hospitalière, selon la même source. Le dispositif de prévention contre cette maladie a été réanimé immédiatement après sa propagation dans certains pays africains, par la mobilisation des staffs médicaux au niveau des régions frontalières, a précisé le directeur par intérim du secteur Mohamed Bika. Ces équipes médicales sont composées de quatre médecins exerçant à Tin-Zaouatine, et trois autres à In-Guezzam, pour assurer la couverture sanitaire dans ces localités frontaliers, outre la mise en place d'un poste de control sanitaire à l'aéroport de Tamanrasset, a-t-il ajouté. L'opération de prévention consiste également en la sensibilisation des habitants issus des localités frontalières et des voyageurs vers des pays africains sur les risques de cette maladie contagieuse, a encore fait savoir ce responsable. Aucun cas de fièvre Ebola n'a été enregistré à ce jour à travers le territoire de la wilaya de Tamanrasset, a assuré la même source. Ces mesures prises par l'Algérie au moment où à L'OMS un vaccin préventif contre le virus mis au point par le laboratoire britannique GSK pourrait faire l'objet d'essais cliniques dès le mois prochain, et si ceux-ci sont concluants, être disponible courant 2015, a indiqué le directeur du département des vaccins et immunisation de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) à la radio française RFI. "On cible le mois de septembre pour commencer les essais cliniques, d'abord aux Etats-Unis et certainement dans un pays africain, car c'est là que nous avons les cas", a précisé Jean-Marie Okwo Bélé dans une interview dont des extraits ont été diffusés sur le site internet de la radio RFI samedi. Interrogé sur les perspectives de commercialisation du vaccin, il s'est montré optimiste: "Nous pensons que si on commence au mois de septembre, vers la fin de l'année on peut déjà avoir des résultats". "Et comme il s'agit d'une urgence, on peut mettre en place des procédures d'urgence (...) pour que courant 2015 on puisse disposer d'un vaccin", a-t-il ajouté. Il n'existe pour l'instant aucun traitement spécifique sur le marché permettant de traiter ou de prévenir la fièvre hémorragique Ebola provoquée par un virus très virulent qui peut tuer en quelques jours. Le taux de létalité (rapport entre le nombre de cas et le nombre de décès) est supérieur à 50%. Plusieurs vaccins en sont au stade des essais tandis qu'un traitement prometteur, le ZMapp, vient pour la première fois d'être testé sur des Américains infectés en Afrique après avoir donné d'excellents résultats sur des singes. Le virus Ebola qui se propage rapidement en Afrique de l'Ouest, constitue une urgence de santé publique de portée internationale, selon l'OMS qui a appelé, vendredi, à une mobilisation mondiale contre l'épidémie de fièvre hémorragique qui a fait près de 1.000 morts. Le virus Ebola qui sévit actuellement en Afrique de l'ouest est "un événement exceptionnel et constitue désormais une urgence de santé publique de portée internationale", a annoncé l'organisation à l'issue d'une réunion de deux jours de son comité d'urgence à Genève. Devant l'aggravation de la situation, il faut une "réponse internationale coordonnée" pour "arrêter et faire reculer la propagation internationale d'Ebola", a estimé le comité. Le Dr Keiji Fukuda, adjoint de la directrice générale en charge de l'épidémie à l'OMS, a précisé que compte tenu d'un temps d'incubation de 21 jours, une quarantaine de 31 jours devait être imposée aux personnes affectées. En plus des cas avérés recensés en Guinée, Libéria, Sierra Leone et Nigeria, plusieurs pays ont signalé des cas suspects. Le Bénin attendait les résultats des tests de dépistages du virus Ebola sur deux patients présentant les symptôme de la maladie et placés en isolation dans des hôpitaux, a annoncé vendredi un haut responsable du ministère de la Santé. En Ouganda, un homme présentant des symptômes de fièvre a été mis en quarantaine à son arrivée à l'aéroport d'Entebbe le temps de subir des tests de dépistage du virus Ebola qui se sont révélés négatifs, a indiqué le ministère ougandais de la santé. L'Europe a accueilli jeudi un premier malade d'Ebola, un missionnaire espagnol contaminé rapatrié du Liberia, peu après le rapatriement de deux patients originaires des Etats-Unis qui ont porté leur alerte sanitaire au niveau maximum. Ces mesures préventives s'inscrivent dans le cadre de la mise en oeuvre du dispositif de dépistage et de diagnostic précoce élaboré par le ministère de la Santé, de la Population et la Réforme hospitalière, selon la même source. Le dispositif de prévention contre cette maladie a été réanimé immédiatement après sa propagation dans certains pays africains, par la mobilisation des staffs médicaux au niveau des régions frontalières, a précisé le directeur par intérim du secteur Mohamed Bika. Ces équipes médicales sont composées de quatre médecins exerçant à Tin-Zaouatine, et trois autres à In-Guezzam, pour assurer la couverture sanitaire dans ces localités frontaliers, outre la mise en place d'un poste de control sanitaire à l'aéroport de Tamanrasset, a-t-il ajouté. L'opération de prévention consiste également en la sensibilisation des habitants issus des localités frontalières et des voyageurs vers des pays africains sur les risques de cette maladie contagieuse, a encore fait savoir ce responsable. Aucun cas de fièvre Ebola n'a été enregistré à ce jour à travers le territoire de la wilaya de Tamanrasset, a assuré la même source. Ces mesures prises par l'Algérie au moment où à L'OMS un vaccin préventif contre le virus mis au point par le laboratoire britannique GSK pourrait faire l'objet d'essais cliniques dès le mois prochain, et si ceux-ci sont concluants, être disponible courant 2015, a indiqué le directeur du département des vaccins et immunisation de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) à la radio française RFI. "On cible le mois de septembre pour commencer les essais cliniques, d'abord aux Etats-Unis et certainement dans un pays africain, car c'est là que nous avons les cas", a précisé Jean-Marie Okwo Bélé dans une interview dont des extraits ont été diffusés sur le site internet de la radio RFI samedi. Interrogé sur les perspectives de commercialisation du vaccin, il s'est montré optimiste: "Nous pensons que si on commence au mois de septembre, vers la fin de l'année on peut déjà avoir des résultats". "Et comme il s'agit d'une urgence, on peut mettre en place des procédures d'urgence (...) pour que courant 2015 on puisse disposer d'un vaccin", a-t-il ajouté. Il n'existe pour l'instant aucun traitement spécifique sur le marché permettant de traiter ou de prévenir la fièvre hémorragique Ebola provoquée par un virus très virulent qui peut tuer en quelques jours. Le taux de létalité (rapport entre le nombre de cas et le nombre de décès) est supérieur à 50%. Plusieurs vaccins en sont au stade des essais tandis qu'un traitement prometteur, le ZMapp, vient pour la première fois d'être testé sur des Américains infectés en Afrique après avoir donné d'excellents résultats sur des singes. Le virus Ebola qui se propage rapidement en Afrique de l'Ouest, constitue une urgence de santé publique de portée internationale, selon l'OMS qui a appelé, vendredi, à une mobilisation mondiale contre l'épidémie de fièvre hémorragique qui a fait près de 1.000 morts. Le virus Ebola qui sévit actuellement en Afrique de l'ouest est "un événement exceptionnel et constitue désormais une urgence de santé publique de portée internationale", a annoncé l'organisation à l'issue d'une réunion de deux jours de son comité d'urgence à Genève. Devant l'aggravation de la situation, il faut une "réponse internationale coordonnée" pour "arrêter et faire reculer la propagation internationale d'Ebola", a estimé le comité. Le Dr Keiji Fukuda, adjoint de la directrice générale en charge de l'épidémie à l'OMS, a précisé que compte tenu d'un temps d'incubation de 21 jours, une quarantaine de 31 jours devait être imposée aux personnes affectées. En plus des cas avérés recensés en Guinée, Libéria, Sierra Leone et Nigeria, plusieurs pays ont signalé des cas suspects. Le Bénin attendait les résultats des tests de dépistages du virus Ebola sur deux patients présentant les symptôme de la maladie et placés en isolation dans des hôpitaux, a annoncé vendredi un haut responsable du ministère de la Santé. En Ouganda, un homme présentant des symptômes de fièvre a été mis en quarantaine à son arrivée à l'aéroport d'Entebbe le temps de subir des tests de dépistage du virus Ebola qui se sont révélés négatifs, a indiqué le ministère ougandais de la santé. L'Europe a accueilli jeudi un premier malade d'Ebola, un missionnaire espagnol contaminé rapatrié du Liberia, peu après le rapatriement de deux patients originaires des Etats-Unis qui ont porté leur alerte sanitaire au niveau maximum.