Les festivités ont eu lieu au CEM Larbi-Mezani, en présence de Aïcha Khelout, directrice centrale, chargée de l'artisanat au ministère du Tourisme, accompagnée de plusieurs cadres de son secteur. Les festivités ont eu lieu au CEM Larbi-Mezani, en présence de Aïcha Khelout, directrice centrale, chargée de l'artisanat au ministère du Tourisme, accompagnée de plusieurs cadres de son secteur. C ' était jeudi dernier en milieu de matinée que les Ath Yenni ont renoué avec « leur » Fête du bijou en accueillant sa onzième édition dans une ambiance relativement festive, puisque la traditionnelle exhibition d'Idhaballène a été annulée pour cause d'un décès d'une jeune fille du village Aït Lahcene survenu le jour même de l'ouverture de cet événement. Les organisateurs se sont contenté du protocolaire. Les festivités ont eu lieu au CEM Larbi-Mezani, en présence de Aïcha Khelout, directrice centrale, chargée de l'artisanat au ministère du Tourisme et de l'Artisanat, accompagnée de plusieurs cadres de son secteur, le directeur de la culture, Ould Ali El Hadi, ainsi que l'ensemble des autorités locales. Il y avait foule aussi d'artisans et d'anonymes de la localité mais aussi de visiteurs venus assister à l'événement. Plus de 87 artisans bijoutiers prennent part à cet événement. 80 % d'entre eux sont d'Ath Yenni et les autres viennent des autres régions. Certains exposants sont venus également des autres wilayas, comme Tamanrasset, El Oued, Ouargla et Oran. Par ailleurs, d'autres sites ont également été réquisitionnés pour la manifestation. La maison de jeunes Keddache-Ali a abrité les expositions d'autres métiers artisanaux comme la poterie, la vannerie et la tapisserie, entre autres. En marge des expositions, un programme d'animation est prévu. Le premier jour de cette nouvelle édition, marqué par une affluence appréciable de visiteurs. Les organisateurs de cette fête ambitionnent d'atteindre le nombre de 17 wilayas participantes, puisque des artisans d'autres circonscriptions, étaient attendus, vendredi, a indiqué Mokrane Aouiche, chargé de communication du comité communal des fêtes d'Ath Yenni, organisateur de cet évènement. Dans son allocution d'ouverture, prononcée au CEM Larbi- Mezani, Mme Khelout a rappelé les moyens mis en place par l'Etat pour promouvoir les métiers de l'artisanat, et ce, par l'institution de plus d'une centaine de manifestations organisées à l'échelle nationale, dédiées à ces métiers traditionnels, et dont 13 sont des événements spécialisés, à l'instar de la fête du bijou d'Ath Yenni. "Ces manifestations sont parmi les solutions engagées par l'Etat pour prendre en charge le problème de commercialisation des produits de l'artisanat auquel font face les artisans, puisqu'elles offrent aux artisans un espace de vente et de promotion de leurs produits." Des membres de la commission nationale des prix, rattachés au ministère du Tourisme et de l'Artisanat, étaient présents, jeudi, à Ath Yenni, aux fins de désigner les trois meilleurs bijoux réalisés dans le strict respect de la tradition et récompenser leurs fabricants. Les membres de cette commission ont commencé leur mission en faisant le tour des stands et en interrogeant les artisans qui auront à remplir des fiches de participation. Le P/APW, quant à lui s'engagera ensuite, publiquement, à accorder tous les moyens nécessaires à la commune, « afin qu'elle puisse réussir toute les prochaines éditions... ». Les artisans bijoutiers que nous avons approchés, à l'occasion de cette manifestation, furent unanimes à dire que la cherté des bijoux exposés incombait à la rareté et à la cherté des matières premières, à savoir l'argent et le corail. Ils affirment néanmoins ne jamais s'avouer vaincus face aux difficultés, car cet art est un héritage ancestral, une partie intégrante de leur identité. La fête du bijou se poursuit jusqu'au 15 de ce mois d'août et Ath Yenni lance une invitation aux citoyens pour se rendre nombreux dans cette localité, située au pied du Djurdjura, pour apprécier les bijoux et les acheter directement auprès des artisans, mais aussi pour profiter des beaux paysages et de l'air frais de cette localité. C ' était jeudi dernier en milieu de matinée que les Ath Yenni ont renoué avec « leur » Fête du bijou en accueillant sa onzième édition dans une ambiance relativement festive, puisque la traditionnelle exhibition d'Idhaballène a été annulée pour cause d'un décès d'une jeune fille du village Aït Lahcene survenu le jour même de l'ouverture de cet événement. Les organisateurs se sont contenté du protocolaire. Les festivités ont eu lieu au CEM Larbi-Mezani, en présence de Aïcha Khelout, directrice centrale, chargée de l'artisanat au ministère du Tourisme et de l'Artisanat, accompagnée de plusieurs cadres de son secteur, le directeur de la culture, Ould Ali El Hadi, ainsi que l'ensemble des autorités locales. Il y avait foule aussi d'artisans et d'anonymes de la localité mais aussi de visiteurs venus assister à l'événement. Plus de 87 artisans bijoutiers prennent part à cet événement. 80 % d'entre eux sont d'Ath Yenni et les autres viennent des autres régions. Certains exposants sont venus également des autres wilayas, comme Tamanrasset, El Oued, Ouargla et Oran. Par ailleurs, d'autres sites ont également été réquisitionnés pour la manifestation. La maison de jeunes Keddache-Ali a abrité les expositions d'autres métiers artisanaux comme la poterie, la vannerie et la tapisserie, entre autres. En marge des expositions, un programme d'animation est prévu. Le premier jour de cette nouvelle édition, marqué par une affluence appréciable de visiteurs. Les organisateurs de cette fête ambitionnent d'atteindre le nombre de 17 wilayas participantes, puisque des artisans d'autres circonscriptions, étaient attendus, vendredi, a indiqué Mokrane Aouiche, chargé de communication du comité communal des fêtes d'Ath Yenni, organisateur de cet évènement. Dans son allocution d'ouverture, prononcée au CEM Larbi- Mezani, Mme Khelout a rappelé les moyens mis en place par l'Etat pour promouvoir les métiers de l'artisanat, et ce, par l'institution de plus d'une centaine de manifestations organisées à l'échelle nationale, dédiées à ces métiers traditionnels, et dont 13 sont des événements spécialisés, à l'instar de la fête du bijou d'Ath Yenni. "Ces manifestations sont parmi les solutions engagées par l'Etat pour prendre en charge le problème de commercialisation des produits de l'artisanat auquel font face les artisans, puisqu'elles offrent aux artisans un espace de vente et de promotion de leurs produits." Des membres de la commission nationale des prix, rattachés au ministère du Tourisme et de l'Artisanat, étaient présents, jeudi, à Ath Yenni, aux fins de désigner les trois meilleurs bijoux réalisés dans le strict respect de la tradition et récompenser leurs fabricants. Les membres de cette commission ont commencé leur mission en faisant le tour des stands et en interrogeant les artisans qui auront à remplir des fiches de participation. Le P/APW, quant à lui s'engagera ensuite, publiquement, à accorder tous les moyens nécessaires à la commune, « afin qu'elle puisse réussir toute les prochaines éditions... ». Les artisans bijoutiers que nous avons approchés, à l'occasion de cette manifestation, furent unanimes à dire que la cherté des bijoux exposés incombait à la rareté et à la cherté des matières premières, à savoir l'argent et le corail. Ils affirment néanmoins ne jamais s'avouer vaincus face aux difficultés, car cet art est un héritage ancestral, une partie intégrante de leur identité. La fête du bijou se poursuit jusqu'au 15 de ce mois d'août et Ath Yenni lance une invitation aux citoyens pour se rendre nombreux dans cette localité, située au pied du Djurdjura, pour apprécier les bijoux et les acheter directement auprès des artisans, mais aussi pour profiter des beaux paysages et de l'air frais de cette localité.