Fragilisé par le temps, le laisseraller et par les différents séismes enregistrés à Alger, le vieux bati de la capitale nécessite plus que jamais des travaux de réhabilitation. L'opération, entamée au début de l'année, ''est une urgence pour sauver le vieux bâti d'Alger après le séisme du 1er août 2014'', estiment des experts. Fragilisé par le temps, le laisseraller et par les différents séismes enregistrés à Alger, le vieux bati de la capitale nécessite plus que jamais des travaux de réhabilitation. L'opération, entamée au début de l'année, ''est une urgence pour sauver le vieux bâti d'Alger après le séisme du 1er août 2014'', estiment des experts. Lancée en février dernier, cette opération de réhabilitation ou de rénovation urbaine du vieux bâti d'Alger a permis déjà de réhabiliter plusieurs immeubles d'Alger- Centre, dont ceux de la rue Larbi-Ben- M'hidi. Cette opération pour laquelle une enveloppe financière de cinq milliards de dinars a été consacrée, se poursuit et devrait connaître une accélération de la cadence des travaux pour rénover rapidement les immeubles les plus touchés par ''l'âge et le temps'', selon des urbanistes. Le projet de réhabilitation du vieux bâti du centre historique de la capitale doit, à terme, concerner des centaines d'immeubles de plusieurs rues et avenues, mais l'opération se concentre pour le moment sur ceux de la rue Larbi-Ben- M'hidi. Les échafaudages métalliques, qui gênent quelque peu la circulation piétonne, sont présents en permanence sur le chantier, notamment dans la partie des immeubles se trouvant entre la Grande- Poste et la place Emir-Abdelkader. Le chantier consiste, en fonction de l'état de chaque immeuble, à ravaler les façades, à réfectionner l'étanchéité et la toiture, à consolider les cages d'escaliers et les balcons et à restaurer le plancher. Les travaux à la rue Larbi-Ben- M'hidi font partie d'un programme global devant rénover des immeubles de 55.302 logements, qui ont été identifiés par une étude de diagnostic technique et socio-économique réalisée en 2006 sur un parc de 13.690 immeubles (78.445 logements) répartis sur les 14 communes du centre-ville d'Alger. Dans une première phase, il est retenu la rénovation d'immeubles de 7.200 logements se trouvant sur les grands boulevards à Alger-Centre, sur le budget du ministère de l'Habitat qui a dégagé, à la demande de la wilaya, une première enveloppe de cinq milliards DA. Comme ce programme bénéficie uniquement aux habitants d'immeubles vétustes des grandes artères d'Alger dont celles de Ben-M'hidi, Didouche-Mourad ou l'avenue Colonel- Amirouche', l'APC d'Alger-Centre a proposé de faire réhabiliter les bâtisses des quartiers sur son propre budget. L'APC a ainsi dressé une liste de 557 immeubles, propriété de l'OPGI ou de copropriétaires, qui nécessitent des travaux d'entretien et de rénovation dans les principaux quartiers de la commune à l'instar de Debbih-Cherif (Soustara), Ahmed-Chaïb (ex-rue Tanger), Abane-Ramdane, Krim- Belkacem, les Frères-Bellili ou Docteur- Sadane. Ce programme de participation de l'APC à la réhabilitation du vieux bâti dans la wilaya d'Alger est financé sur le budget communal à hauteur de 3,617 milliards DA, dont 1 milliard DA a été déjà dégagé au profit de la wilaya, à travers la Direction de l'aménagement et de la restructuration des quartiers (DARQ), chargée de sa mise en oeuvre. A la demande des élus locaux, le wali avait instruit la DARQ d'associer les communes qui le souhaitent à l'opération de réhabilitation du vieux bâti se trouvant sur leur territoire. Plusieurs communes ont répondu favorablement à l'appel de la DARQ, comme Alger-Centre, Oued-Smar, Bir- Mourad-Raïs, Hydra, Dar-El-Beïda, Bab-Ezzouar, Rouiba, Hussein-Dey, Kouba et Chéraga. Lancée en février dernier, cette opération de réhabilitation ou de rénovation urbaine du vieux bâti d'Alger a permis déjà de réhabiliter plusieurs immeubles d'Alger- Centre, dont ceux de la rue Larbi-Ben- M'hidi. Cette opération pour laquelle une enveloppe financière de cinq milliards de dinars a été consacrée, se poursuit et devrait connaître une accélération de la cadence des travaux pour rénover rapidement les immeubles les plus touchés par ''l'âge et le temps'', selon des urbanistes. Le projet de réhabilitation du vieux bâti du centre historique de la capitale doit, à terme, concerner des centaines d'immeubles de plusieurs rues et avenues, mais l'opération se concentre pour le moment sur ceux de la rue Larbi-Ben- M'hidi. Les échafaudages métalliques, qui gênent quelque peu la circulation piétonne, sont présents en permanence sur le chantier, notamment dans la partie des immeubles se trouvant entre la Grande- Poste et la place Emir-Abdelkader. Le chantier consiste, en fonction de l'état de chaque immeuble, à ravaler les façades, à réfectionner l'étanchéité et la toiture, à consolider les cages d'escaliers et les balcons et à restaurer le plancher. Les travaux à la rue Larbi-Ben- M'hidi font partie d'un programme global devant rénover des immeubles de 55.302 logements, qui ont été identifiés par une étude de diagnostic technique et socio-économique réalisée en 2006 sur un parc de 13.690 immeubles (78.445 logements) répartis sur les 14 communes du centre-ville d'Alger. Dans une première phase, il est retenu la rénovation d'immeubles de 7.200 logements se trouvant sur les grands boulevards à Alger-Centre, sur le budget du ministère de l'Habitat qui a dégagé, à la demande de la wilaya, une première enveloppe de cinq milliards DA. Comme ce programme bénéficie uniquement aux habitants d'immeubles vétustes des grandes artères d'Alger dont celles de Ben-M'hidi, Didouche-Mourad ou l'avenue Colonel- Amirouche', l'APC d'Alger-Centre a proposé de faire réhabiliter les bâtisses des quartiers sur son propre budget. L'APC a ainsi dressé une liste de 557 immeubles, propriété de l'OPGI ou de copropriétaires, qui nécessitent des travaux d'entretien et de rénovation dans les principaux quartiers de la commune à l'instar de Debbih-Cherif (Soustara), Ahmed-Chaïb (ex-rue Tanger), Abane-Ramdane, Krim- Belkacem, les Frères-Bellili ou Docteur- Sadane. Ce programme de participation de l'APC à la réhabilitation du vieux bâti dans la wilaya d'Alger est financé sur le budget communal à hauteur de 3,617 milliards DA, dont 1 milliard DA a été déjà dégagé au profit de la wilaya, à travers la Direction de l'aménagement et de la restructuration des quartiers (DARQ), chargée de sa mise en oeuvre. A la demande des élus locaux, le wali avait instruit la DARQ d'associer les communes qui le souhaitent à l'opération de réhabilitation du vieux bâti se trouvant sur leur territoire. Plusieurs communes ont répondu favorablement à l'appel de la DARQ, comme Alger-Centre, Oued-Smar, Bir- Mourad-Raïs, Hydra, Dar-El-Beïda, Bab-Ezzouar, Rouiba, Hussein-Dey, Kouba et Chéraga.