La menace du retour de la lutte armée au Sahara Occidental plane toujours au moment où le statu quo est total avec les manoeuvres du Maroc qui fait tout pour que les choses restent en l'état. La menace du retour de la lutte armée au Sahara Occidental plane toujours au moment où le statu quo est total avec les manoeuvres du Maroc qui fait tout pour que les choses restent en l'état. "L'option armée est en tous cas toujours d'actualité et l'armée sahraouie est tout le temps en état d'alerte", a assuré le Front Polisario, par la voix d'Ahmed Kheddad, membre du secrétariat général et coordonnateur de la Minurso, la mission de l'Onu pour le référendum au Sahara occidental qui s'exprimait à l'occasion des travaux du 2e congrès de l'Union des étudiants de Seguia El-Hamra et Rio de Oro, tenus dans les camps de réfugiés sahraouis Aousserd. Il a affirmé que "les mouvements de libération n'abandonnent jamais leur lutte armée. Le jour où vous entendez parler que le Polisario ait mi fin à la lutte armé, ce serait alors la fin de l'histoire de notre révolution". Néanmoins, ces déclarations et ces menaces ne veulent pas dire que le Polisario refuse toute solution de paix. Kheddad a tenu à le souligner en indiquant que "les responsables sahraouis étudient toutes les options pouvant déboucher sur une solution juste et équitable, notamment l'autodétermination qui reste, a-t-il rappelé, l'option la plus indiquée". En attendant, les observateurs espèrent un autre round de négociations entre les parties concernées par le conflit, à savoir le Maroc et le Sahara occidental mais cette rencontre dépend, en grande partien de la prochaine visite qu'aura à effectuer dans la région Christopher Ross, l'envoyé spécial du secrétaire général de l'Onu. "On verra ce que va donner cette visite. L'ONU doit assumer ses responsabilités et permettre au peuple sahraoui de vivre librement. Il faut que le Conseil de sécurité tranche une fois pour toutes quant à notre droit d'autodétermination, que le veuille le Maroc ou pas. Si nous ne décelons pas des résultats palpables de cette visite, ça ne vaut alors pas la peine d'aller à un autre round de négociations", a avertit Kheddad qui a appelé à élargir le mandat de la Minurso pour toucher les droits de l'homme dont la situation, selon lui, est catastrophique dans les territoires occupés. Le coordinateur de la Minurso a réitéré, encore une fois, la détermination du Front Polisario et de tout le peuple sahraoui à aspirer à l'indépendance du Sahara occidental et à la liberté. Il a rappelé à ce sujet que "le problème sahraoui est un problème de décolonisation, non un problème racial ou religieux » et indiqué que « le peuple sahraoui demande une solution juste et conforme à la légalité internationale", contrairement, a-t-il ajouté, du Maroc qui "commet dans les territoires sahraouis occupés violations sur violations des droits de l'homme devant la communauté internationale qui doit bouger et faire quelques choses en obligeant le Maroc à cesser ses exactions". "L'option armée est en tous cas toujours d'actualité et l'armée sahraouie est tout le temps en état d'alerte", a assuré le Front Polisario, par la voix d'Ahmed Kheddad, membre du secrétariat général et coordonnateur de la Minurso, la mission de l'Onu pour le référendum au Sahara occidental qui s'exprimait à l'occasion des travaux du 2e congrès de l'Union des étudiants de Seguia El-Hamra et Rio de Oro, tenus dans les camps de réfugiés sahraouis Aousserd. Il a affirmé que "les mouvements de libération n'abandonnent jamais leur lutte armée. Le jour où vous entendez parler que le Polisario ait mi fin à la lutte armé, ce serait alors la fin de l'histoire de notre révolution". Néanmoins, ces déclarations et ces menaces ne veulent pas dire que le Polisario refuse toute solution de paix. Kheddad a tenu à le souligner en indiquant que "les responsables sahraouis étudient toutes les options pouvant déboucher sur une solution juste et équitable, notamment l'autodétermination qui reste, a-t-il rappelé, l'option la plus indiquée". En attendant, les observateurs espèrent un autre round de négociations entre les parties concernées par le conflit, à savoir le Maroc et le Sahara occidental mais cette rencontre dépend, en grande partien de la prochaine visite qu'aura à effectuer dans la région Christopher Ross, l'envoyé spécial du secrétaire général de l'Onu. "On verra ce que va donner cette visite. L'ONU doit assumer ses responsabilités et permettre au peuple sahraoui de vivre librement. Il faut que le Conseil de sécurité tranche une fois pour toutes quant à notre droit d'autodétermination, que le veuille le Maroc ou pas. Si nous ne décelons pas des résultats palpables de cette visite, ça ne vaut alors pas la peine d'aller à un autre round de négociations", a avertit Kheddad qui a appelé à élargir le mandat de la Minurso pour toucher les droits de l'homme dont la situation, selon lui, est catastrophique dans les territoires occupés. Le coordinateur de la Minurso a réitéré, encore une fois, la détermination du Front Polisario et de tout le peuple sahraoui à aspirer à l'indépendance du Sahara occidental et à la liberté. Il a rappelé à ce sujet que "le problème sahraoui est un problème de décolonisation, non un problème racial ou religieux » et indiqué que « le peuple sahraoui demande une solution juste et conforme à la légalité internationale", contrairement, a-t-il ajouté, du Maroc qui "commet dans les territoires sahraouis occupés violations sur violations des droits de l'homme devant la communauté internationale qui doit bouger et faire quelques choses en obligeant le Maroc à cesser ses exactions".