Un avion civil ukrainien s'est écrasé, hier, à 2h40 (1h44 GMT) du matin au sud de l'aéroport de Tamanrasset. L'appareil de type Antonov-12 qui appartient à la compagnie aérienne «Ukraine Air Alliance», s'est écrasé dans une zone montagneuse après une escale technique à Tamanrasset. Un équipage de sept personnes était à bord de cet avion à destination de la Guinée équatoriale. Il n'y a aucun survivant. Un avion civil ukrainien s'est écrasé, hier, à 2h40 (1h44 GMT) du matin au sud de l'aéroport de Tamanrasset. L'appareil de type Antonov-12 qui appartient à la compagnie aérienne «Ukraine Air Alliance», s'est écrasé dans une zone montagneuse après une escale technique à Tamanrasset. Un équipage de sept personnes était à bord de cet avion à destination de la Guinée équatoriale. Il n'y a aucun survivant. La série noire se poursuit pour l'aviation civile. Un avion civil ukrainien s'est écrasé, hier, au sud de l'aéroport de Tamanrasset. Le crash a eu lieu à 2h40 du matin. Aussitôt, une commission d'enquête a été installée au niveau du ministère des Transports. Ele aura pour mission de déterminer les raisons du crash de l'avion cargo ukrainien survenu samedi à l'aube au sud de l'aéroport de Tamanrasset, a indiqué le ministre des Transports, Amar Ghoul. « Une cellule de crise et une commission d'enquête viennent d'être installées au niveau du ministère afin d'élucider les circonstances du crash de cet avion de type +Antonov 12+ avec 7 personnes à bord », a déclaré le ministre à des journalistes à l'Aéroport international Houari- BoumedienE d'Alger. Selon Amar Ghoul, la commission d'enquête est présidée par le directeur général de l'Aviation civile au ministère. Il a affirmé que l'appareil qui se dirigeait à Malabo (Guinée équatoriale) a effectué deux escales techniques à Ghardaïa puis à Tamanrasset avant de s'écraser peu après son décollage de l'aérodrome de Tamanrasset à 1h44 mn GMT. Une délégation du ministère des Transports, conduite par M. Ghoul, se rendra cet après-midi ( hier - NDLR) sur les lieux de l'accident. Interrogé sur les causes du crash de l'avion qui transportait du matériel pétrolier à partir de Glasgow en Ecosse, le ministre indiqué que c'est la commission d'enquête qui va déterminer les raisons de cet accident aérien. Le ministère des Transports avait affirmé dans un communiqué que l'aéronef avait été localisé à une quinzaine de kilomètres au sud de l'aérodrome de Tamanrasset. « Les équipes de secours n'ont malheureusement relevé aucun survivant sur les lieux du crash », avait-on précisé. Selon des informations préliminaires, l'appareil de type « Antonov 12 » s'est écrasé dans une zone montagneuse à une quinzaine de kilomètres au sud de l'aéroport de Tamanrasset, après une escale technique. Le site du crash se situe près de la localité de Tagrembaït, à 15 km au sud de l'aéroport de Tamanrasset, et à une distance de 25 km du chef-lieu de wilaya. Les recherches se poursuivaient hier dans l‘après-midi sur le zone du crash. Selon le ministère des Transports, l'avion qui appartient à la compagnie aérienne « Ukraine Air Alliance », « a perdu contact avec la tour de contrôle de l'aérodrome de Tamanrasset trois minutes après son décollage à partir dudit aéroport soit 1h44 GMT». L'équipage était composé de sept personnes, apparemment il n'y avait pas d'autres passagers à bord de l'appareil qui se rendait en Guinée équatoriale. « Le message de détresse a été diffusé à la minute près par le Centre de contrôle régional d'Alger (CCR) et le Service de recherche et sauvetage (SAR) a engagé aussitôt ses recherches. L'aéronef a été localisé à une quinzaine de kilomètres au sud de l'aérodrome. Les équipes de secours n'ont malheureusement relevé aucun survivant sur les lieux du crash », avait indiqué le communiqué du ministère des Transports. C'est le deuxième accident d'avion survenu en l'espace de quelques jours à la compagnie aérienne de transport de fret ukrainienne Ukraine Air Alliance. Le 9 août courant, un avion-cargo de cette compagnie avait pris feu au moment de la mise en route sur l'aéroport international de Leipzig (Allemagne). L'appareil avait été totalement détruit par l'incendie. L'avion de même que celui qui s'est écrasé hier à Tamanrasset, un Antonov AN 12BP devait effectuer la liaison entre Leipzig et Mineralnye Vody (Russie). Il avait aussi 7 membres d'équipage. L'équipage a été évacué rapidement. Aucune victime n'a été enregistrée à l'issue du sauvetage. Avec quatre catastrophes en un mois et plus de 700 victimes au cours des sept premiers mois, 2014 s'annonce déjà comme une année noire pour le transport aérien civil dans le monde. L'année 2013 avait, par contre, établi un record en matière de sûreté. Le 8 mars, un Boeing 777 assurant le vol MH 370 de la Malaysia Airlines décolle de Kuala Lumpur à destination de Pékin. A son bord, 239 personnes, dont 227 passagers, majoritairement chinois (153 personnes). Cinquante minutes après, l'appareil disparaît des écrans radars A ce jour, aucun débris n'a été retrouvé, malgré d'intenses recherches menées à l'Ouest de l'Australie. C'est à ce jour l'un des plus grands mystères de l'aviation civile. Le 17 juillet, un nouveau Boeing 777 de la Malaysia Airlines s'écrase près de Donetsk, dans l'est de l'Ukraine, région déchirée depuis plus de trois mois par un conflit armé entre le pouvoir de Kiev et les séparatistes pro-russes. A bord de l'appareil, 298 personnes, dont 193 ressortissants néerlandais. Le vol MH17 assurait la liaison Amsterdam-Kuala Lumpur. Un avion ATR 72-500 de la compagnie taïwanaise TransAsia Aiways ,s'écrase le 23 juillet, par gros temps sur l'île de Penghu au larges des côtes occidentales de Taiwan. Quarante-huit personnes, dont deux Françaises, sont tuées dans l'accident et dix ont survécu. Le 24 juillet, un avion affrété par la compagnie Air Algérie auprès de la compagnie espagnole Swiftair, parti de Ouagadougou avec 116 passagers à bord, dont 50 Français, disparaît des écrans radars alors qu'il survole le nord du Mali à destination d'Alger L'épave a été retrouvée dans le nord du Mali, près de la frontière avec le Burkina Faso. L'appareil, un MD-83 de l'avionneur américain McDonnell Douglas. Il n'y a eu aucun survivant. L'aviation civile se trouve dans une zone de turbulence La série noire se poursuit pour l'aviation civile. Un avion civil ukrainien s'est écrasé, hier, au sud de l'aéroport de Tamanrasset. Le crash a eu lieu à 2h40 du matin. Aussitôt, une commission d'enquête a été installée au niveau du ministère des Transports. Ele aura pour mission de déterminer les raisons du crash de l'avion cargo ukrainien survenu samedi à l'aube au sud de l'aéroport de Tamanrasset, a indiqué le ministre des Transports, Amar Ghoul. « Une cellule de crise et une commission d'enquête viennent d'être installées au niveau du ministère afin d'élucider les circonstances du crash de cet avion de type +Antonov 12+ avec 7 personnes à bord », a déclaré le ministre à des journalistes à l'Aéroport international Houari- BoumedienE d'Alger. Selon Amar Ghoul, la commission d'enquête est présidée par le directeur général de l'Aviation civile au ministère. Il a affirmé que l'appareil qui se dirigeait à Malabo (Guinée équatoriale) a effectué deux escales techniques à Ghardaïa puis à Tamanrasset avant de s'écraser peu après son décollage de l'aérodrome de Tamanrasset à 1h44 mn GMT. Une délégation du ministère des Transports, conduite par M. Ghoul, se rendra cet après-midi ( hier - NDLR) sur les lieux de l'accident. Interrogé sur les causes du crash de l'avion qui transportait du matériel pétrolier à partir de Glasgow en Ecosse, le ministre indiqué que c'est la commission d'enquête qui va déterminer les raisons de cet accident aérien. Le ministère des Transports avait affirmé dans un communiqué que l'aéronef avait été localisé à une quinzaine de kilomètres au sud de l'aérodrome de Tamanrasset. « Les équipes de secours n'ont malheureusement relevé aucun survivant sur les lieux du crash », avait-on précisé. Selon des informations préliminaires, l'appareil de type « Antonov 12 » s'est écrasé dans une zone montagneuse à une quinzaine de kilomètres au sud de l'aéroport de Tamanrasset, après une escale technique. Le site du crash se situe près de la localité de Tagrembaït, à 15 km au sud de l'aéroport de Tamanrasset, et à une distance de 25 km du chef-lieu de wilaya. Les recherches se poursuivaient hier dans l‘après-midi sur le zone du crash. Selon le ministère des Transports, l'avion qui appartient à la compagnie aérienne « Ukraine Air Alliance », « a perdu contact avec la tour de contrôle de l'aérodrome de Tamanrasset trois minutes après son décollage à partir dudit aéroport soit 1h44 GMT». L'équipage était composé de sept personnes, apparemment il n'y avait pas d'autres passagers à bord de l'appareil qui se rendait en Guinée équatoriale. « Le message de détresse a été diffusé à la minute près par le Centre de contrôle régional d'Alger (CCR) et le Service de recherche et sauvetage (SAR) a engagé aussitôt ses recherches. L'aéronef a été localisé à une quinzaine de kilomètres au sud de l'aérodrome. Les équipes de secours n'ont malheureusement relevé aucun survivant sur les lieux du crash », avait indiqué le communiqué du ministère des Transports. C'est le deuxième accident d'avion survenu en l'espace de quelques jours à la compagnie aérienne de transport de fret ukrainienne Ukraine Air Alliance. Le 9 août courant, un avion-cargo de cette compagnie avait pris feu au moment de la mise en route sur l'aéroport international de Leipzig (Allemagne). L'appareil avait été totalement détruit par l'incendie. L'avion de même que celui qui s'est écrasé hier à Tamanrasset, un Antonov AN 12BP devait effectuer la liaison entre Leipzig et Mineralnye Vody (Russie). Il avait aussi 7 membres d'équipage. L'équipage a été évacué rapidement. Aucune victime n'a été enregistrée à l'issue du sauvetage. Avec quatre catastrophes en un mois et plus de 700 victimes au cours des sept premiers mois, 2014 s'annonce déjà comme une année noire pour le transport aérien civil dans le monde. L'année 2013 avait, par contre, établi un record en matière de sûreté. Le 8 mars, un Boeing 777 assurant le vol MH 370 de la Malaysia Airlines décolle de Kuala Lumpur à destination de Pékin. A son bord, 239 personnes, dont 227 passagers, majoritairement chinois (153 personnes). Cinquante minutes après, l'appareil disparaît des écrans radars A ce jour, aucun débris n'a été retrouvé, malgré d'intenses recherches menées à l'Ouest de l'Australie. C'est à ce jour l'un des plus grands mystères de l'aviation civile. Le 17 juillet, un nouveau Boeing 777 de la Malaysia Airlines s'écrase près de Donetsk, dans l'est de l'Ukraine, région déchirée depuis plus de trois mois par un conflit armé entre le pouvoir de Kiev et les séparatistes pro-russes. A bord de l'appareil, 298 personnes, dont 193 ressortissants néerlandais. Le vol MH17 assurait la liaison Amsterdam-Kuala Lumpur. Un avion ATR 72-500 de la compagnie taïwanaise TransAsia Aiways ,s'écrase le 23 juillet, par gros temps sur l'île de Penghu au larges des côtes occidentales de Taiwan. Quarante-huit personnes, dont deux Françaises, sont tuées dans l'accident et dix ont survécu. Le 24 juillet, un avion affrété par la compagnie Air Algérie auprès de la compagnie espagnole Swiftair, parti de Ouagadougou avec 116 passagers à bord, dont 50 Français, disparaît des écrans radars alors qu'il survole le nord du Mali à destination d'Alger L'épave a été retrouvée dans le nord du Mali, près de la frontière avec le Burkina Faso. L'appareil, un MD-83 de l'avionneur américain McDonnell Douglas. Il n'y a eu aucun survivant. L'aviation civile se trouve dans une zone de turbulence