Les familles des sept victimes du crash de l'avion ukrainien arriveront prochainement en Algérie pour parachever les opérations d'analyse de l'ADN des victimes. Une difficile et douloureuse épreuve pour ces familles pour reconnaître avec des lambeaux de chair un des leurs disparus dans le tragique accident. Les familles des sept victimes du crash de l'avion ukrainien arriveront prochainement en Algérie pour parachever les opérations d'analyse de l'ADN des victimes. Une difficile et douloureuse épreuve pour ces familles pour reconnaître avec des lambeaux de chair un des leurs disparus dans le tragique accident. Le ministre des Transports, Amar Ghoul, a annoncé samedi soir à Tamanrasset le début de l'opération d'identification des victimes du crash de l'avion cargo ukrainien, survenu dans la nuit de vendredi à samedi près de l'aéroport de Tamanrasset, ajoutant que les recherches se poursuivaient pour trouver les deux boîtes noires. Parallèlement à cette opération, se déroulent aussi, des investigations préliminaires sur les circonstances du crash de l'avion de type "Antonov 12" appartenant à la compagnie aérienne "Ukrain Air Alliance" avec 7 personnes à bord, tous membres de l'équipage ordonnées par la cour de Tamanrasset. Pour l'identification des victimes, le ministre des Transports a précisé que les familles des sept (07) victimes du crash de l'avion ukrainien arriveront prochainement en Algérie pour parachever les opérations d'analyse de l'ADN des victimes prévues au niveau des laboratoires du commandement de la Gendarmerie nationale à l'Institut de Bouchaoui. Trois corps du personnel de bord sont complètement calcinés, tandis que les restes des corps des quatre autres victimes se sont éparpillés sur le lieu du crash, localisé à une quinzaine de kilomètres au sud-ouest de la ville de Tamanrasset, a indiqué le ministre. Il a ajouté qu'un cordon de sécurité avait été établi autour du lieu du crash pour faciliter les opérations de recherche et d'investigation qui se déroulent, en coordination avec l'Armée nationale populaire, le commandement de la Gendarmerie nationale et la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN). Pour la seconde opération, recherche et investigations concernant le crash, Amar Ghoul a souligné qu'elles se déroulaient sous la supervision des autorités algériennes, conformément aux normes en vigueur de l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI), selon lesquelles l'enquête menée en de pareils cas doit être supervisée par le pays où le crash a eu lieu, précisant également que "les opérations de recherche des deux boîtes noires se poursuivent avec la coopération de tous les services et secteurs concernés" pour déterminer les circonstances réelles de cette catastrophe aérienne. Des boites noires qui seront sans doute expédiées vers un organisme spécialisé pour la lecture des enregistrements. Le Bureau d'enquêtes et d'analyses, un organisme public français dont le rôle est de mener les enquêtes techniques pour déterminer les causes d'un accident d'avion est tout indiqué pour ce genre de mission. Les boites noires du vol Ouagadougou-Alger qui s'est écrasé le 24 juillet dernier ont pris ce chemin. "L'avion relevant de la compagnie aérienne +Ukraine Air Alliance+, a perdu le contact avec la tour de contrôle de l'aérodrome de Tamanrasset trois minutes après son décollage à partir du dit aéroport, soit à 1h44 mn GMT (2:44mn heure locale)", a dit Amar Ghoul, précisant qu'au moment de la perte de contact, l'avion volait à plus de 300 m de hauteur. L'aéronef de type "Antonov 12" assurait un vol cargo à partir de l'aéroport Prestwick (Glasgow-UK) vers Malabo (Guinée Equatoriale), avec plusieurs escales techniques, respectivement à Santiago (Espagne) et aux aéroports de Ghardaïa et Tamanrasset. Une autre escale technique était également prévue à Bamako (Mali). Quelques détails sur ce vol qui n'est jamais arrivé à destination. L'aéronef en question qui transportait des équipements pétroliers de 30 tonnes, s'était ravitaillé en 13 tonnes de carburant à l'aéroport de Tamanrasset. L'aéronef, qui transportait des équipements pétroliers, assurait un vol cargo à partir de l'aéroport de Glasgow vers Malabo (Guinée Equatoriale), avec plusieurs escales techniques dont les aéroports de Ghardaïa et Tamanrasset. Il s'est écrasé trois minutes après son décollage de l'aéroport de Tamanrasset soit à 1h44 mn GMT. Des opérations de recherches ont été aussitôt lancées sur le site du crash situé dans une zone montagneuse, près de la localité de Tagrembaït, à 15 km au sud de l'aéroport de Tamanrasset, et à une distance de 25 km du chef lieu de wilaya. Aucun survivant n'a été retrouvé sur les lieux du crash qui sont difficiles d'accès. L'opération d'identification des victimes va prendre du temps. Il faut passer chaque mètre carré au peigne fin pour ramasser», chaque lambeau de chair et des effets personnels des 7 membres de l'équipage. Aucun corps des victimes n'est intègre. Trois corps du personnel de bord sont complètement calcinés, tandis que les restes des corps des quatre autres victimes qui se sont éparpillés sur le lieu du crash requièrent des analyses ADN pour être identifiés. Tout un plateau technique est nécessaire pour déterminer les corps. Le ministre des Transports, Amar Ghoul, a annoncé samedi soir à Tamanrasset le début de l'opération d'identification des victimes du crash de l'avion cargo ukrainien, survenu dans la nuit de vendredi à samedi près de l'aéroport de Tamanrasset, ajoutant que les recherches se poursuivaient pour trouver les deux boîtes noires. Parallèlement à cette opération, se déroulent aussi, des investigations préliminaires sur les circonstances du crash de l'avion de type "Antonov 12" appartenant à la compagnie aérienne "Ukrain Air Alliance" avec 7 personnes à bord, tous membres de l'équipage ordonnées par la cour de Tamanrasset. Pour l'identification des victimes, le ministre des Transports a précisé que les familles des sept (07) victimes du crash de l'avion ukrainien arriveront prochainement en Algérie pour parachever les opérations d'analyse de l'ADN des victimes prévues au niveau des laboratoires du commandement de la Gendarmerie nationale à l'Institut de Bouchaoui. Trois corps du personnel de bord sont complètement calcinés, tandis que les restes des corps des quatre autres victimes se sont éparpillés sur le lieu du crash, localisé à une quinzaine de kilomètres au sud-ouest de la ville de Tamanrasset, a indiqué le ministre. Il a ajouté qu'un cordon de sécurité avait été établi autour du lieu du crash pour faciliter les opérations de recherche et d'investigation qui se déroulent, en coordination avec l'Armée nationale populaire, le commandement de la Gendarmerie nationale et la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN). Pour la seconde opération, recherche et investigations concernant le crash, Amar Ghoul a souligné qu'elles se déroulaient sous la supervision des autorités algériennes, conformément aux normes en vigueur de l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI), selon lesquelles l'enquête menée en de pareils cas doit être supervisée par le pays où le crash a eu lieu, précisant également que "les opérations de recherche des deux boîtes noires se poursuivent avec la coopération de tous les services et secteurs concernés" pour déterminer les circonstances réelles de cette catastrophe aérienne. Des boites noires qui seront sans doute expédiées vers un organisme spécialisé pour la lecture des enregistrements. Le Bureau d'enquêtes et d'analyses, un organisme public français dont le rôle est de mener les enquêtes techniques pour déterminer les causes d'un accident d'avion est tout indiqué pour ce genre de mission. Les boites noires du vol Ouagadougou-Alger qui s'est écrasé le 24 juillet dernier ont pris ce chemin. "L'avion relevant de la compagnie aérienne +Ukraine Air Alliance+, a perdu le contact avec la tour de contrôle de l'aérodrome de Tamanrasset trois minutes après son décollage à partir du dit aéroport, soit à 1h44 mn GMT (2:44mn heure locale)", a dit Amar Ghoul, précisant qu'au moment de la perte de contact, l'avion volait à plus de 300 m de hauteur. L'aéronef de type "Antonov 12" assurait un vol cargo à partir de l'aéroport Prestwick (Glasgow-UK) vers Malabo (Guinée Equatoriale), avec plusieurs escales techniques, respectivement à Santiago (Espagne) et aux aéroports de Ghardaïa et Tamanrasset. Une autre escale technique était également prévue à Bamako (Mali). Quelques détails sur ce vol qui n'est jamais arrivé à destination. L'aéronef en question qui transportait des équipements pétroliers de 30 tonnes, s'était ravitaillé en 13 tonnes de carburant à l'aéroport de Tamanrasset. L'aéronef, qui transportait des équipements pétroliers, assurait un vol cargo à partir de l'aéroport de Glasgow vers Malabo (Guinée Equatoriale), avec plusieurs escales techniques dont les aéroports de Ghardaïa et Tamanrasset. Il s'est écrasé trois minutes après son décollage de l'aéroport de Tamanrasset soit à 1h44 mn GMT. Des opérations de recherches ont été aussitôt lancées sur le site du crash situé dans une zone montagneuse, près de la localité de Tagrembaït, à 15 km au sud de l'aéroport de Tamanrasset, et à une distance de 25 km du chef lieu de wilaya. Aucun survivant n'a été retrouvé sur les lieux du crash qui sont difficiles d'accès. L'opération d'identification des victimes va prendre du temps. Il faut passer chaque mètre carré au peigne fin pour ramasser», chaque lambeau de chair et des effets personnels des 7 membres de l'équipage. Aucun corps des victimes n'est intègre. Trois corps du personnel de bord sont complètement calcinés, tandis que les restes des corps des quatre autres victimes qui se sont éparpillés sur le lieu du crash requièrent des analyses ADN pour être identifiés. Tout un plateau technique est nécessaire pour déterminer les corps.