Le commandant de bord, qui a relevé un problème technique après le décollage de l'avion, a décidé de faire demi-tour vers Constantine. Le commandant de bord, qui a relevé un problème technique après le décollage de l'avion, a décidé de faire demi-tour vers Constantine. La série d'incidents, qui ébranlent depuis quelques temps Air Algérie, ne semble plus avoir de fin. Hier encore un avion de la compagnie nationale Air Algérie, un ATR 72-500, devant assurer le vol AH 6027 Constantine-Alger à 8h00, a fait demi-tour 10 minutes après son décollage de l'aéroport Mohamed-Boudiaf suite à un problème technique, indique la compagnie, relayée par la Radio nationale. Le commandant de bord, qui a relevé un problème technique après le décollage de l'avion a décidé de faire demi-tour vers Constantine, a-t-on précisé auprès de la cellule de communication de la compagnie. Les 61 passagers, qui étaient à bord, ont tous pu embarquer sur le vol suivant qui a décollé à 9h15, ajoute-t-on de même source. Il y'a une semaine soit le 1er septembre dernier, deux avions d'Air Algérie se sont "légèrement" télescopés à l'aéroport d'Alger. Avant cela, le 24 juillet, un avion affrété auprès de la compagnie espagnole Swiftair s'était écrasé au nord du Mali, causant la mort de 116 passagers. Aussi le 30 août dernier, un avion d'Air Algérie, qui s'apprêtait à décoller de l'aéroport de Lille, avait effectué une sortie de piste. Autant d'incidents qui n'ont pas laissé indifférente la tutelle qui a décidé d'engager un audit afin d'établir un diagnostic sur la situation de l'entreprise et concevoir ensuite un programme pour la mettre à niveau. Dans une déclaration à la presse, mardi passé en marge de l'ouverture de la cession d'automne du Parlement, le ministres des Transports a affirmé que cet audit "approfondi et détaillé" décidé à la suite des incidents enregistrés récemment par la compagnie devra aboutir à l'établissement d'"un programme de mise à niveau de l'entreprise pour améliorer la qualité de ses services". Ce programme, devant être conçu à moyen terme, touchera les niveaux organisationnel, managérial, de formation et celui relatif à la qualification à la qualité des prestations, a ajouté Ghoul. Dans ce cadre, des mesures "très importantes devront être prises par l'Etat pour que la compagnie retrouve le niveau de prestation dont elle est censée assurer à ses clients", a insisté le ministre. Revenant à l'incident sans gravité qui s'est produit lundi suite à un "frottement léger" entre deux aéronefs d'Air Algérie à l'aéroport Houari-Boumediène d'Alger, Ghoul a indiqué qu'une enquête a été ouverte pour définir ses circonstances. "Bien que cet incident soit léger et sans gravité, une enquête a été ouverte immédiatement pour définir ses causes", a précisé Ghoul. "L'Etat ne va pas tolérer ce type d'accidents et d'incidents et chacun doit assumer ses responsabilités" a-t-il affirmé en appelant la compagnie à consentir plus d'efforts pour s'améliorer dans l'avenir. "Nous refusons tout dénigrement, pression et dénaturalisation de l'image d'Air Algérie. Mais au même temps, nous refusons aussi qu'elle reste dans son état actuel", a-t-il martelé. La série d'incidents, qui ébranlent depuis quelques temps Air Algérie, ne semble plus avoir de fin. Hier encore un avion de la compagnie nationale Air Algérie, un ATR 72-500, devant assurer le vol AH 6027 Constantine-Alger à 8h00, a fait demi-tour 10 minutes après son décollage de l'aéroport Mohamed-Boudiaf suite à un problème technique, indique la compagnie, relayée par la Radio nationale. Le commandant de bord, qui a relevé un problème technique après le décollage de l'avion a décidé de faire demi-tour vers Constantine, a-t-on précisé auprès de la cellule de communication de la compagnie. Les 61 passagers, qui étaient à bord, ont tous pu embarquer sur le vol suivant qui a décollé à 9h15, ajoute-t-on de même source. Il y'a une semaine soit le 1er septembre dernier, deux avions d'Air Algérie se sont "légèrement" télescopés à l'aéroport d'Alger. Avant cela, le 24 juillet, un avion affrété auprès de la compagnie espagnole Swiftair s'était écrasé au nord du Mali, causant la mort de 116 passagers. Aussi le 30 août dernier, un avion d'Air Algérie, qui s'apprêtait à décoller de l'aéroport de Lille, avait effectué une sortie de piste. Autant d'incidents qui n'ont pas laissé indifférente la tutelle qui a décidé d'engager un audit afin d'établir un diagnostic sur la situation de l'entreprise et concevoir ensuite un programme pour la mettre à niveau. Dans une déclaration à la presse, mardi passé en marge de l'ouverture de la cession d'automne du Parlement, le ministres des Transports a affirmé que cet audit "approfondi et détaillé" décidé à la suite des incidents enregistrés récemment par la compagnie devra aboutir à l'établissement d'"un programme de mise à niveau de l'entreprise pour améliorer la qualité de ses services". Ce programme, devant être conçu à moyen terme, touchera les niveaux organisationnel, managérial, de formation et celui relatif à la qualification à la qualité des prestations, a ajouté Ghoul. Dans ce cadre, des mesures "très importantes devront être prises par l'Etat pour que la compagnie retrouve le niveau de prestation dont elle est censée assurer à ses clients", a insisté le ministre. Revenant à l'incident sans gravité qui s'est produit lundi suite à un "frottement léger" entre deux aéronefs d'Air Algérie à l'aéroport Houari-Boumediène d'Alger, Ghoul a indiqué qu'une enquête a été ouverte pour définir ses circonstances. "Bien que cet incident soit léger et sans gravité, une enquête a été ouverte immédiatement pour définir ses causes", a précisé Ghoul. "L'Etat ne va pas tolérer ce type d'accidents et d'incidents et chacun doit assumer ses responsabilités" a-t-il affirmé en appelant la compagnie à consentir plus d'efforts pour s'améliorer dans l'avenir. "Nous refusons tout dénigrement, pression et dénaturalisation de l'image d'Air Algérie. Mais au même temps, nous refusons aussi qu'elle reste dans son état actuel", a-t-il martelé.