Le transport scolaire dans la wilaya de Boumerdès fait défaut. La wilaya compte près de 200 bus de ramassage scolaire dont une partie offerte par le ministère de la Solidarité tandis que le reste est assurée par les services de la wilaya Le transport scolaire dans la wilaya de Boumerdès fait défaut. La wilaya compte près de 200 bus de ramassage scolaire dont une partie offerte par le ministère de la Solidarité tandis que le reste est assurée par les services de la wilaya Des centaines d'élèves continuent à parcourir de longues distances pour rejoindre les bancs des écoles. Le manque est constaté particulièrement dans les zones rurales où les potaches sont durement pénalisés par ce déficit qui aurait été rattrapé par les responsables de secteur. L'année écoulée, pratiquement, toutes les communes de la wilaya se sont vu octroyer des bus de ramassage scolaire. Mais sur le terrain de la réalité, peu de bus sont affectés aux établissements éducatifs. A titre illustratif, les élèves notamment les lycéens de Haouche El Makhfi dans la commune d'Ouled Hadadj font le détour de la ville de Réghaia pour rejoindre les établissements scolaires situés à Boudouaou. Dans la localité des Issers, les écoliers habitant les villages sont e plus touchés par le manque de bus de ramassage scolaire. L'APC, selon un parent d'élève, n'a mobilisé que six bus pour tous les élèves alors que leur nombre ne cesse d'augmenter. « Certains bus tombent en panne souvent et les APC tardent à les réparer », lance un parent d'élève qui évoque également des problèmes relatifs au manque de transport public dans la région. Dans la commune voisine de Bordj Ménaïel, six bus sont mis à la disposition des élèves tous paliers confondus. Même situation à Chabet El-Ameur où l'APC n'a affecté que cinq bus qui transportent des élèves des zones rurales vers les établissements du chef-lieu communal. Les lycéens de cette région notamment eux scolarisés au nouveau lycée sont pénalisés car les bus ne les déposent pas à proximité de leur établissement. Devant l'absence d'établissements scolaires dans certaines localités à l'instar de Legata qui n'a toujours pas encore de lycée, les élèves continuent à étudier dans des établissements scolaires des autres localités. Pour cela, il leur faut des moyens de transports pour rejoindre les bancs des écoles. L'APC a mis à la disposition des élèves cinq bus pour ces élèves mais ils ne profitent pas à tout le monde. La plupart d'entre eux s'entassent dans des bus de transport public. A Timezrite, les élèves se plaignent du manque de bus de ramassage scolaire d'autant plus que la région n'est pas dotée en collèges et lycées. Pour résoudre le problème de transport scolaire et permettre aux élèves d'étudier dans de bonnes conditions, l'Etat doit faire encore des efforts et affecter d'autres bus au profit des communes. Certains P/APC ont pris même l'initiative d'établir des contrats avec des transporteurs privés pour ramasser les écoliers. Mais, dans certain cas les APC n'ont pas de ressources financières pour le faire et d'ailleurs leur existence est dépendante des aides octroyées par l'Etat. Des centaines d'élèves continuent à parcourir de longues distances pour rejoindre les bancs des écoles. Le manque est constaté particulièrement dans les zones rurales où les potaches sont durement pénalisés par ce déficit qui aurait été rattrapé par les responsables de secteur. L'année écoulée, pratiquement, toutes les communes de la wilaya se sont vu octroyer des bus de ramassage scolaire. Mais sur le terrain de la réalité, peu de bus sont affectés aux établissements éducatifs. A titre illustratif, les élèves notamment les lycéens de Haouche El Makhfi dans la commune d'Ouled Hadadj font le détour de la ville de Réghaia pour rejoindre les établissements scolaires situés à Boudouaou. Dans la localité des Issers, les écoliers habitant les villages sont e plus touchés par le manque de bus de ramassage scolaire. L'APC, selon un parent d'élève, n'a mobilisé que six bus pour tous les élèves alors que leur nombre ne cesse d'augmenter. « Certains bus tombent en panne souvent et les APC tardent à les réparer », lance un parent d'élève qui évoque également des problèmes relatifs au manque de transport public dans la région. Dans la commune voisine de Bordj Ménaïel, six bus sont mis à la disposition des élèves tous paliers confondus. Même situation à Chabet El-Ameur où l'APC n'a affecté que cinq bus qui transportent des élèves des zones rurales vers les établissements du chef-lieu communal. Les lycéens de cette région notamment eux scolarisés au nouveau lycée sont pénalisés car les bus ne les déposent pas à proximité de leur établissement. Devant l'absence d'établissements scolaires dans certaines localités à l'instar de Legata qui n'a toujours pas encore de lycée, les élèves continuent à étudier dans des établissements scolaires des autres localités. Pour cela, il leur faut des moyens de transports pour rejoindre les bancs des écoles. L'APC a mis à la disposition des élèves cinq bus pour ces élèves mais ils ne profitent pas à tout le monde. La plupart d'entre eux s'entassent dans des bus de transport public. A Timezrite, les élèves se plaignent du manque de bus de ramassage scolaire d'autant plus que la région n'est pas dotée en collèges et lycées. Pour résoudre le problème de transport scolaire et permettre aux élèves d'étudier dans de bonnes conditions, l'Etat doit faire encore des efforts et affecter d'autres bus au profit des communes. Certains P/APC ont pris même l'initiative d'établir des contrats avec des transporteurs privés pour ramasser les écoliers. Mais, dans certain cas les APC n'ont pas de ressources financières pour le faire et d'ailleurs leur existence est dépendante des aides octroyées par l'Etat.