Dans l'assistance médicale à la procréation, il ne doit être recouru qu'aux spermatozoïdes de l'époux et à l'ovule de l'épouse à l'exclusion de toute autre personne, suggère le nouveau projet de la loi relative à la santé. Dans l'assistance médicale à la procréation, il ne doit être recouru qu'aux spermatozoïdes de l'époux et à l'ovule de l'épouse à l'exclusion de toute autre personne, suggère le nouveau projet de la loi relative à la santé. Ledit projet, dont l'APS a reçu une copie, propose également, dans ses dispositions relatives à l'assistance médicale à la procréation, d'interdire le don, le prêt, la vente et toutes autres formes de transactions de spermatozoïdes, d'ovocytes, même entre coépouses, d'embryons surnuméraires ou non à une mère porteuse ou une autre femme, soeur ou mère ou fille, ainsi que le cytoplasme. Le texte en question, définit l'assistance médicale à la procréation comme "une procréation destinée exclusivement à répondre à la demande exprimée par un homme et une femme en âge de procréer, vivants, formant un couple légalement marié, souffrant d'infertilité avérée médicalement et consentant au transfert ou à l'implantation artificielle". Par ailleurs, l'article 389 interdit "toute reproduction d'organismes vivants génétiquement identiques, concernant l'être humain et toute sélection de texte". Ledit projet, dont l'APS a reçu une copie, propose également, dans ses dispositions relatives à l'assistance médicale à la procréation, d'interdire le don, le prêt, la vente et toutes autres formes de transactions de spermatozoïdes, d'ovocytes, même entre coépouses, d'embryons surnuméraires ou non à une mère porteuse ou une autre femme, soeur ou mère ou fille, ainsi que le cytoplasme. Le texte en question, définit l'assistance médicale à la procréation comme "une procréation destinée exclusivement à répondre à la demande exprimée par un homme et une femme en âge de procréer, vivants, formant un couple légalement marié, souffrant d'infertilité avérée médicalement et consentant au transfert ou à l'implantation artificielle". Par ailleurs, l'article 389 interdit "toute reproduction d'organismes vivants génétiquement identiques, concernant l'être humain et toute sélection de texte".