La 17e rencontre tripartite Gouvernement-UGTA-patronat sera-t-elle la bonne pour éliminer les barrières qui freinent la croissance de l'économie. C'est le souhait de la tripartite. La 17e rencontre tripartite Gouvernement-UGTA-patronat sera-t-elle la bonne pour éliminer les barrières qui freinent la croissance de l'économie. C'est le souhait de la tripartite. Les participants à la tripartite présidée par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, ont convenu de "tout mettre en oeuvre" pour atteindre un taux de croissance économique de 7 % en 2019 conformément aux objectifs et projections établis par le gouvernement. Pour cela, les patrons ont souligné la "nécessité d'améliorer le climat des affaires par une simplification des procédures pour la création d'entreprises à travers notamment la disponibilité du foncier ainsi que l'accès au crédit et aux services publics de qualité". En outre, le patronat souhaite vivement et dans les plus brefs délais, la "modernisation de l'administration économique et la lutte contre les lenteurs et comportements bureaucratiques et la décentralisation de la décision pour garantir un meilleur service public". Le gouvernement, de son côté, s'est engagé à poursuivre la politique sociale à travers la rationalisation des transferts sociaux et le soutien aux couches défavorisées. Les couches défavorisées parmi les travailleurs qui verront leurs fiches de paie prendre des couleurs dès janvier 2015. "La décision d'abroger l'article 87 bis de la loi 90-11 relative aux relations de travail sera appliquée à partir du 1er janvier 2015 et concernera en premier lieu la classe défavorisée", a indiqué le Premier ministre dans son intervention. Ensemble, gouvernement-UGTA-patronat ont convenu d'accélérer la cadence de la mise en oeuvre des engagements du pacte national économique et social de croissance et d'assurer le suivi de leur application à travers le comité tripartite mis en place à cet effet. Auparavant, le Premier ministre, dans son allocution d'ouverture, a présenté le contexte et l'enjeu de cette rencontre qui intervient à la veille du lancement du plan quinquennal 2015-2019 et la loi de finances pour 2015 qui consacrent la poursuite de l'effort du développement national entamé en 2000. Ces enjeux appellent, selon Sellal, "à un engagement et une mobilisation de tous les acteurs économiques et sociaux, pour bâtir une économie compétitive, émergente et diversifiée, apte à faire sortir définitivement le pays de la dépendance aux hydrocarbures". Le Premier ministre a rappelé également les principaux objectifs de la loi de finances pour 2015 et du plan quinquennal 2015-2019 qui s'articule sur un programme d'investissements publics de 22.100 milliards DA, soit 280 milliards de dollars. En outre, il a rappelé les principales dispositions contenues dans le projet de loi de finances pour 2015 en faveur de l'entreprise et l'investissement et notamment ; notamment, l'harmonisation et la simplification des procédures administratives en faveur des entreprises et des ménages. De nombreuses recommandations ont couronné les travaux de cette tripartite, notamment, la promotion de partenariats public-privé national et étranger conformément à la législation nationale en vigueur et la mise en place du dispositif de mise en oeuvre pour une application de l'abrogation de l'article 87bis et ce dès le 1er janvier 2015. Une satisfaction pour les patrons qui se sont félicités du rétablissement du crédit à la consommation et la protection et promotion de la production nationale qui appellent cependant à la mise en oeuvre du dispositif réglementaire régissant le crédit à la consommation pour le début de l'année 2015. Les participants à la tripartite présidée par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, ont convenu de "tout mettre en oeuvre" pour atteindre un taux de croissance économique de 7 % en 2019 conformément aux objectifs et projections établis par le gouvernement. Pour cela, les patrons ont souligné la "nécessité d'améliorer le climat des affaires par une simplification des procédures pour la création d'entreprises à travers notamment la disponibilité du foncier ainsi que l'accès au crédit et aux services publics de qualité". En outre, le patronat souhaite vivement et dans les plus brefs délais, la "modernisation de l'administration économique et la lutte contre les lenteurs et comportements bureaucratiques et la décentralisation de la décision pour garantir un meilleur service public". Le gouvernement, de son côté, s'est engagé à poursuivre la politique sociale à travers la rationalisation des transferts sociaux et le soutien aux couches défavorisées. Les couches défavorisées parmi les travailleurs qui verront leurs fiches de paie prendre des couleurs dès janvier 2015. "La décision d'abroger l'article 87 bis de la loi 90-11 relative aux relations de travail sera appliquée à partir du 1er janvier 2015 et concernera en premier lieu la classe défavorisée", a indiqué le Premier ministre dans son intervention. Ensemble, gouvernement-UGTA-patronat ont convenu d'accélérer la cadence de la mise en oeuvre des engagements du pacte national économique et social de croissance et d'assurer le suivi de leur application à travers le comité tripartite mis en place à cet effet. Auparavant, le Premier ministre, dans son allocution d'ouverture, a présenté le contexte et l'enjeu de cette rencontre qui intervient à la veille du lancement du plan quinquennal 2015-2019 et la loi de finances pour 2015 qui consacrent la poursuite de l'effort du développement national entamé en 2000. Ces enjeux appellent, selon Sellal, "à un engagement et une mobilisation de tous les acteurs économiques et sociaux, pour bâtir une économie compétitive, émergente et diversifiée, apte à faire sortir définitivement le pays de la dépendance aux hydrocarbures". Le Premier ministre a rappelé également les principaux objectifs de la loi de finances pour 2015 et du plan quinquennal 2015-2019 qui s'articule sur un programme d'investissements publics de 22.100 milliards DA, soit 280 milliards de dollars. En outre, il a rappelé les principales dispositions contenues dans le projet de loi de finances pour 2015 en faveur de l'entreprise et l'investissement et notamment ; notamment, l'harmonisation et la simplification des procédures administratives en faveur des entreprises et des ménages. De nombreuses recommandations ont couronné les travaux de cette tripartite, notamment, la promotion de partenariats public-privé national et étranger conformément à la législation nationale en vigueur et la mise en place du dispositif de mise en oeuvre pour une application de l'abrogation de l'article 87bis et ce dès le 1er janvier 2015. Une satisfaction pour les patrons qui se sont félicités du rétablissement du crédit à la consommation et la protection et promotion de la production nationale qui appellent cependant à la mise en oeuvre du dispositif réglementaire régissant le crédit à la consommation pour le début de l'année 2015.