les combattants de l'EI se sont rendus quasiment maîtres du "quartier de sécurité" où se trouvent les bâtiments de l'administration locale. les combattants de l'EI se sont rendus quasiment maîtres du "quartier de sécurité" où se trouvent les bâtiments de l'administration locale. Les combattants de l'Etat islamique continuent de progresser dans Kobani, ville du nord de la Syrie proche de la frontière turque, et contrôlent désormais presque intégralement le secteur où se trouve le siège de l'administration kurde, rapporte vendredi l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). Un responsable militaire kurde, joint par téléphone à Kobani, a minimisé ces propos, assurant que les djihadistes ne contrôlaient que 20 % de la ville. Selon Rami Abdelrahman, directeur de l'OSDH, les combattants de l'EI se sont rendus quasiment maîtres du "quartier de sécurité" où se trouvent les bâtiments de l'administration locale. "Ils se sont emparés d'au moins 40 % (de la ville)", at- il dit à Londres, où son organisation est basée. Les hommes de l'EI cherchent également à prendre le contrôle de la route qui mène de Kobani à la frontière turque, afin d'isoler totalement les défenseurs kurdes. "Ils tentent d'avancer à partir de l'Est mais les combattants kurdes résistent", a déclaré à Reuters Öcalan Iso, numéro 2 des forces kurdes dans la ville, affirmant que l'EI, qui bombarde au mortier le centre- ville, ne contrôle pas plus de 20 % de Kobani. Pour éviter les frappes de la coalition, les djihadistes laissent désormais de côté leurs voitures et leurs camions et privilégient les déplacements à moto, a-t-il ajouté. Vendredi des avions de combat ont mené une frappe aérienne à l'ouest de la localité, ont constaté les journalistes présents du côté turc de la frontière. Le Commandement central américain a indiqué dans un communiqué que l'US Air Force avait lancé neuf raids en Syrie entre jeudi et vendredi, dont sept près de Kobani. Ces frappes ont permis de détruire deux centres d'entraînement au sud-est de la ville, ainsi que des véhicules, un char et deux petits groupes de combattants de l'EI au sud de Kobani. Öcalan Iso s'est réjoui de ces raids aériens mais il en a réclamé encore plus pour desserrer l'étau des islamistes. Les combattants de l'Etat islamique continuent de progresser dans Kobani, ville du nord de la Syrie proche de la frontière turque, et contrôlent désormais presque intégralement le secteur où se trouve le siège de l'administration kurde, rapporte vendredi l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). Un responsable militaire kurde, joint par téléphone à Kobani, a minimisé ces propos, assurant que les djihadistes ne contrôlaient que 20 % de la ville. Selon Rami Abdelrahman, directeur de l'OSDH, les combattants de l'EI se sont rendus quasiment maîtres du "quartier de sécurité" où se trouvent les bâtiments de l'administration locale. "Ils se sont emparés d'au moins 40 % (de la ville)", at- il dit à Londres, où son organisation est basée. Les hommes de l'EI cherchent également à prendre le contrôle de la route qui mène de Kobani à la frontière turque, afin d'isoler totalement les défenseurs kurdes. "Ils tentent d'avancer à partir de l'Est mais les combattants kurdes résistent", a déclaré à Reuters Öcalan Iso, numéro 2 des forces kurdes dans la ville, affirmant que l'EI, qui bombarde au mortier le centre- ville, ne contrôle pas plus de 20 % de Kobani. Pour éviter les frappes de la coalition, les djihadistes laissent désormais de côté leurs voitures et leurs camions et privilégient les déplacements à moto, a-t-il ajouté. Vendredi des avions de combat ont mené une frappe aérienne à l'ouest de la localité, ont constaté les journalistes présents du côté turc de la frontière. Le Commandement central américain a indiqué dans un communiqué que l'US Air Force avait lancé neuf raids en Syrie entre jeudi et vendredi, dont sept près de Kobani. Ces frappes ont permis de détruire deux centres d'entraînement au sud-est de la ville, ainsi que des véhicules, un char et deux petits groupes de combattants de l'EI au sud de Kobani. Öcalan Iso s'est réjoui de ces raids aériens mais il en a réclamé encore plus pour desserrer l'étau des islamistes.