Les pays du Groupe des Vingt (G20) conviennent que chaque membre de l'organisation doit poursuivre une politique de réformes structurelles et de mesures monétaires et budgétaires pour relancer la croissance mondiale, qui demeure très inégale suivant les régions, a déclaré vendredi le ministre des Finances japonais Taro Aso. Les pays du Groupe des Vingt (G20) conviennent que chaque membre de l'organisation doit poursuivre une politique de réformes structurelles et de mesures monétaires et budgétaires pour relancer la croissance mondiale, qui demeure très inégale suivant les régions, a déclaré vendredi le ministre des Finances japonais Taro Aso. "L'économie mondiale poursuit une reprise modérée, à un rythme qui varie sensiblement d'un pays à l'autre", a dit le= ministre à la presse, à l'occasion d'un dîner des grands argentiers du G20 organisé en marge des assemblées générales du Fonds monétaire international (FMI) de la Banque mondiale. "Je pense qu'il existe une position commune parmi les pays (du G20) suivant laquelle il devient de plus en plus important d'opérer des réformes accompagnées d'initiatives monétaires et budgétaires, en prenant en compte la situation économique de chaque pays et ses marges de manoeuvre", at- il ajouté. Aso a dit aussi que le Japon soutenait une proposition de l'Australie, qui préside actuellement le G20, visant à créer un nouveau centre de promotion des investissements dans les grands travaux et qu'il en dirait plus à ce sujet ce vendredi, deuxième journée des discussions au sein de l'organisation. Il n'y a eu aucune discussion sur l'économie mondiale ou les taux de change durant le dîner du G20 et le débat sur l'économie mondiale se déploiera surtout à l'occasion de l'assemblée générale du GMI vendredi et samedi, a poursuivi le ministre. "L'économie mondiale poursuit une reprise modérée, à un rythme qui varie sensiblement d'un pays à l'autre", a dit le= ministre à la presse, à l'occasion d'un dîner des grands argentiers du G20 organisé en marge des assemblées générales du Fonds monétaire international (FMI) de la Banque mondiale. "Je pense qu'il existe une position commune parmi les pays (du G20) suivant laquelle il devient de plus en plus important d'opérer des réformes accompagnées d'initiatives monétaires et budgétaires, en prenant en compte la situation économique de chaque pays et ses marges de manoeuvre", at- il ajouté. Aso a dit aussi que le Japon soutenait une proposition de l'Australie, qui préside actuellement le G20, visant à créer un nouveau centre de promotion des investissements dans les grands travaux et qu'il en dirait plus à ce sujet ce vendredi, deuxième journée des discussions au sein de l'organisation. Il n'y a eu aucune discussion sur l'économie mondiale ou les taux de change durant le dîner du G20 et le débat sur l'économie mondiale se déploiera surtout à l'occasion de l'assemblée générale du GMI vendredi et samedi, a poursuivi le ministre.