Le dossier, ô combien chaud de la police algérienne, n'en finit pas de faire jaser, et ces dernières heures, les choses se sont accélérées. Loin en effet des bruits de la rue et des manifestations des éléments de la Sûreté nationale, des décisions d'une grande importance auraient été prises par la Direction générale de la Sûreté nationale. Le dossier, ô combien chaud de la police algérienne, n'en finit pas de faire jaser, et ces dernières heures, les choses se sont accélérées. Loin en effet des bruits de la rue et des manifestations des éléments de la Sûreté nationale, des décisions d'une grande importance auraient été prises par la Direction générale de la Sûreté nationale. La DGSN vient en effet de mettre en congé spécial deux de ses cadres et hauts responsables, à savoir le chef de sûreté de la wilaya d'Alger, Noureddine Boufelaga, et un inspecteur général de la DGSN, Mohamed Houalef. Du moins ce que croit savoir le site d'information électronique TSA. Une information qui, si elle s'avère vraie, ne manquera sans doute pas de charrier moult interrogations dans une conjoncture pas du tout favorable à de telles mesures. S'agit-il d'une sanction ? Les concernés sont-ils les boucs émissaires idéaux et seront-ils donc sacrifiés ? Le chef de la SWAet l'inspecteur général de la DGSN fontils partie d'un clan qui serait derrière l'agitation que connait ces jours-ci la Police algérienne ? Autant de questions qui restent en suspens, faute d'une stratégie de communication claire. L'opinion publique et surtout les policiers sont à ce sujet dans leur droit de savoir ce qui se trame dans leur institution et des explications sur cette décision ne seront certainement pas de trop si elles sortent de la bouche du général-major Hamel. Selon TSA, la décision prise à l'encontre de ces deux hauts responsables de la Police nationale a été prise après « les premiers éléments de l'enquête sur la manifestation de policiers la semaine dernière devant le palais du Gouvernement et la présidence de la République ». Les deux hommes sont « soupçonnés d'avoir été parmi les instigateurs de la manifestation des agents d l'ordre » qui a constitué un précédent dans notre pays car de mémoire d'Algérien, jamais des policiers n'ont marché sur Alger pour revendiquer quoi que ce soit. L'issue de l'enquête risque de mettre une croix sur la carrière des deux hommes puisqu'on laisse entendre que la DGSN n'hésitera pas à radier définitivement Boufelaga et Houalef du corps de la police et les traîner devant les tribunaux s'ils s'avèrent avoir été des acteurs dans la « conspiration » contre Hamel. Parallèlement à cette purge, qui s'annonce au sein du corps de la police, on annonce le retour dans les prochains jours dans les tribunaux de l'affaire de malversations pour laquelle est impliqué Oultache, l'auteur présumé du meurtre de l'ancien DGSN, Ali Tounsi, assassiné dans son bureau en février 2010. Le procès devra être reprogrammé pour la 3e fois suite à l'acceptation, par la Cour suprême, du pourvoi en cassation introduit par la défense. Il est à noter qu'Oultache, qui exerçait la fonction du chef de l'unité aérienne de la DGSN, a écopé de 5 ans pour malversations dans l'affaire qui concerne la passation de marchés douteux portant sur l'acquisition auprès de la société ABM, « Algerian Business Multimedia », de plus de 10.000 onduleurs électriques, 300 ordinateurs, 500 PC portables et 9.000 imprimantes. Les accusés, parmi lesquels figurent également l'ex-directeur de l'administration générale de la DGSN et les responsables de la société ABM dont l'un d'entre eux est le gendre d'Oultache, ont été inculpés pour passation de marchés publics en violation de la législation, dilapidation de deniers publics et trafic d'influence. Les observateurs n'hésitent pas à faire le lien entre la reprogrammation de ce procès et l'évolution de la situation qui prévaut actuellement au sein du corps de la Police. Serait-ce un avertissement pour tous ceux qui s'aventureraient à remettre en cause l'ordre établi ? La DGSN vient en effet de mettre en congé spécial deux de ses cadres et hauts responsables, à savoir le chef de sûreté de la wilaya d'Alger, Noureddine Boufelaga, et un inspecteur général de la DGSN, Mohamed Houalef. Du moins ce que croit savoir le site d'information électronique TSA. Une information qui, si elle s'avère vraie, ne manquera sans doute pas de charrier moult interrogations dans une conjoncture pas du tout favorable à de telles mesures. S'agit-il d'une sanction ? Les concernés sont-ils les boucs émissaires idéaux et seront-ils donc sacrifiés ? Le chef de la SWAet l'inspecteur général de la DGSN fontils partie d'un clan qui serait derrière l'agitation que connait ces jours-ci la Police algérienne ? Autant de questions qui restent en suspens, faute d'une stratégie de communication claire. L'opinion publique et surtout les policiers sont à ce sujet dans leur droit de savoir ce qui se trame dans leur institution et des explications sur cette décision ne seront certainement pas de trop si elles sortent de la bouche du général-major Hamel. Selon TSA, la décision prise à l'encontre de ces deux hauts responsables de la Police nationale a été prise après « les premiers éléments de l'enquête sur la manifestation de policiers la semaine dernière devant le palais du Gouvernement et la présidence de la République ». Les deux hommes sont « soupçonnés d'avoir été parmi les instigateurs de la manifestation des agents d l'ordre » qui a constitué un précédent dans notre pays car de mémoire d'Algérien, jamais des policiers n'ont marché sur Alger pour revendiquer quoi que ce soit. L'issue de l'enquête risque de mettre une croix sur la carrière des deux hommes puisqu'on laisse entendre que la DGSN n'hésitera pas à radier définitivement Boufelaga et Houalef du corps de la police et les traîner devant les tribunaux s'ils s'avèrent avoir été des acteurs dans la « conspiration » contre Hamel. Parallèlement à cette purge, qui s'annonce au sein du corps de la police, on annonce le retour dans les prochains jours dans les tribunaux de l'affaire de malversations pour laquelle est impliqué Oultache, l'auteur présumé du meurtre de l'ancien DGSN, Ali Tounsi, assassiné dans son bureau en février 2010. Le procès devra être reprogrammé pour la 3e fois suite à l'acceptation, par la Cour suprême, du pourvoi en cassation introduit par la défense. Il est à noter qu'Oultache, qui exerçait la fonction du chef de l'unité aérienne de la DGSN, a écopé de 5 ans pour malversations dans l'affaire qui concerne la passation de marchés douteux portant sur l'acquisition auprès de la société ABM, « Algerian Business Multimedia », de plus de 10.000 onduleurs électriques, 300 ordinateurs, 500 PC portables et 9.000 imprimantes. Les accusés, parmi lesquels figurent également l'ex-directeur de l'administration générale de la DGSN et les responsables de la société ABM dont l'un d'entre eux est le gendre d'Oultache, ont été inculpés pour passation de marchés publics en violation de la législation, dilapidation de deniers publics et trafic d'influence. Les observateurs n'hésitent pas à faire le lien entre la reprogrammation de ce procès et l'évolution de la situation qui prévaut actuellement au sein du corps de la Police. Serait-ce un avertissement pour tous ceux qui s'aventureraient à remettre en cause l'ordre établi ?