La libération des ressortissants algériens détenus en Irak, constitue une priorité pour la diplomatie algérienne et figure en bonne place à l'ordre du jour des discussions algéro-irakiennes à différents niveaux... La libération des ressortissants algériens détenus en Irak, constitue une priorité pour la diplomatie algérienne et figure en bonne place à l'ordre du jour des discussions algéro-irakiennes à différents niveaux... Il aura fallu une attaque verbale marocaine pour que la diplomatie nationale s'exprime sur les algériens détenus en Irak. Leur libération constitue une priorité selon le département des Affaires étranngères. La libération des ressortissants algériens détenus en Irak, constitue une "priorité" pour la diplomatie algérienne et figure "en bonne place" à l'ordre du jour des discussions algéro-irakiennes à "différents niveaux", a affirmé samedi le porte-parole du ministère des Affaires étrangères. Interrogé au sujet des détenus algériens en Irak, Abdelaziz Benali Cherif a indiqué que conformément à la mission de la diplomatie algérienne qui consiste à veiller à la protection des ressortissants algériens, ce dossier constitue pour elle "une priorité et a toujours figuré en bonne place à l'ordre du jour des discussions à différents niveaux avec le partenaire irakien". Les allégations selon lesquelles les autorités algériennes "tournent le dos et sont inertes devant la situation de ces ressortissants", sont "dénuées de tout fondement et je les démens d'une façon catégorique et les considère comme injustes et inutilement alarmistes", a précisé le porte-parole, soulignant que "grâce aux efforts constants auprès des autorités irakiennes, quatre des onze détenus ont été libérés, les deux derniers l'ont été à l'occasion de la visite du ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, à Baghdad, en janvier 2014, et sont rentrés avec lui en Algérie". "Les démarches se poursuivent avec la même détermination pour la libération rapide des détenus restants. L'ambassadeur d'Algérie à Baghdad et des personnalités gouvernementales et diplomatiques irakiennes travaillent patiemment à rendre possible le retour en Algérie des ressortissants en question, en frayant à cette solution un chemin dans la situation juridique complexe qui est la leur, en raison notamment des peines prononcées pour des chefs d'accusation liés ou assimilés au terrorisme", a ajouté la même source. "Les efforts diplomatiques, toujours en cours, nécessitant pour ce type d'affaires délicates, la discrétion et la persévérance pour des remises de peine ou une grâce présidentielle, sont entrepris dans le cadre du respect de la souveraineté de l'Irak et de la fraternité algéro-irakienne", a-t-il conclu. Il aura fallu une attaque verbale marocaine pour que la diplomatie nationale s'exprime sur les algériens détenus en Irak. Leur libération constitue une priorité selon le département des Affaires étranngères. La libération des ressortissants algériens détenus en Irak, constitue une "priorité" pour la diplomatie algérienne et figure "en bonne place" à l'ordre du jour des discussions algéro-irakiennes à "différents niveaux", a affirmé samedi le porte-parole du ministère des Affaires étrangères. Interrogé au sujet des détenus algériens en Irak, Abdelaziz Benali Cherif a indiqué que conformément à la mission de la diplomatie algérienne qui consiste à veiller à la protection des ressortissants algériens, ce dossier constitue pour elle "une priorité et a toujours figuré en bonne place à l'ordre du jour des discussions à différents niveaux avec le partenaire irakien". Les allégations selon lesquelles les autorités algériennes "tournent le dos et sont inertes devant la situation de ces ressortissants", sont "dénuées de tout fondement et je les démens d'une façon catégorique et les considère comme injustes et inutilement alarmistes", a précisé le porte-parole, soulignant que "grâce aux efforts constants auprès des autorités irakiennes, quatre des onze détenus ont été libérés, les deux derniers l'ont été à l'occasion de la visite du ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, à Baghdad, en janvier 2014, et sont rentrés avec lui en Algérie". "Les démarches se poursuivent avec la même détermination pour la libération rapide des détenus restants. L'ambassadeur d'Algérie à Baghdad et des personnalités gouvernementales et diplomatiques irakiennes travaillent patiemment à rendre possible le retour en Algérie des ressortissants en question, en frayant à cette solution un chemin dans la situation juridique complexe qui est la leur, en raison notamment des peines prononcées pour des chefs d'accusation liés ou assimilés au terrorisme", a ajouté la même source. "Les efforts diplomatiques, toujours en cours, nécessitant pour ce type d'affaires délicates, la discrétion et la persévérance pour des remises de peine ou une grâce présidentielle, sont entrepris dans le cadre du respect de la souveraineté de l'Irak et de la fraternité algéro-irakienne", a-t-il conclu.