Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a inauguré hier à Oran l'usine de fabrication de véhicules Renault, située dans la zone d'Oued Tlelat, au sud de la wilaya. Accompagné d'une forte délégation ministérielle, le Premier ministre a assisté, à cette occasion, à la sortie de la première voiture de marque Symbol, des chaînes de montage de cette usine, réalisée dans le cadre de l'investissement national et en partenariat avec le constructeur automobile français. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a inauguré hier à Oran l'usine de fabrication de véhicules Renault, située dans la zone d'Oued Tlelat, au sud de la wilaya. Accompagné d'une forte délégation ministérielle, le Premier ministre a assisté, à cette occasion, à la sortie de la première voiture de marque Symbol, des chaînes de montage de cette usine, réalisée dans le cadre de l'investissement national et en partenariat avec le constructeur automobile français. La cérémonie d'inauguration s'est déroulée en présence de deux ministres français, celui des Affaires étrangères et du Développement international, Laurent Fabius, et de l'Economie, de l'Industrie et du Numérique, Emmanuel Macron, ainsi que du P.-DG du groupe Renault, Carlos Ghosn. Après la visite le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a affirmé dans son discours que l'usine de fabrication de véhicules "Renault" d'Oued Tlelat "est le fruit d'un partenariat gagnant-gagnant". La feuille de route tracée par le Président consiste à mettre tous les moyens en disposition pour diversifier l'économie. "J'invite les responsables à atteindre 75.000 véhicules par an", a-t-il dit. "On vous encourage à développer d'autres modèles", a ajouté le Premier ministre qui s'est également exprimé sur les relations algéro-françaises. "La prochaine réunion, le 4 décembre prochain à Paris, va renforcer les relation algéro-françaises. Nous n'avons aucun complexe à aller chercher l'expérience et l'expertise et nous allons profiter de ces partenariats pour développer notre économie", a-t-il dit. "Des partenariats seront opérés dans l'agriculture, l'industrie... Nos partenaires devront faire preuve d'audace et de créativité et ils trouveront un pays jeune et stable politiquement", a conclu le Premier ministre. Il a également rappelé que "la construction de l'usine et son entrée en production se sont faites dans les délais impartis", signalant que "350 salariés ont été recrutés et formés sans compter les nombreux autres emplois indirects générés par l'externalisation de certaines activités connexes". "Il faut aller de l'avant et passer à d'autres étapes", a ajouté le Premier ministre. Sellal avait pris place, accompagné des ministres français des Affaires étrangères et du Développement international, Laurent Fabius, et de l'Economie, de l'Industrie et du Numérique, Emmanuel Macron, à bord d'une "Nouvelle Symbol", fabriquée sur le site d'Oued Tlelat. L'Algérie a lancé le processus de concrétisation de ce projet, le 19 décembre 2012, avec la signature d'un protocole d'accord avec la partie française, annonçant la création d'une usine de voitures de marque "Renault", au cours de la visite en Algérie, du président français François Hollande. Le 31 janvier 2013, la signature de l'acte de création de la SPA "Renault Algérie Production" (RAP spa) a été faite devant le notaire. Conformément à la loi et à la règle 51/49, la partie algérienne est représentée dans ce projet par le Conseil national d'investissement "CNI" (17 %) et la Société nationale des véhicules industrielles (SNVI) (34 %). Six mois plus tard, le projet a commencé à prendre sa forme physique avec le début des travaux d'aménagement d'une ancienne structure industrielle, située à Oued Tlélat, s'étalant sur une superficie de plus de 150 hectares. Les travaux d'aménagement ont commencé, en juillet 2013, en vue de la réhabilitation de cette structure pour qu'elle réponde aux exigences de ce type de projets. Par ailleurs, la direction de la RAP, dont le staff est composé de cadres des deux parties, a élaboré une feuille de route afin de doter l'usine d'une ressource humaine de qualité. Les plans ont visé les recrutements de près de 350 employés, couvrant le besoin de la première étape de l'entrée en production avec une moyenne de 25.000 voitures par an. A long terme, il est prévu une production de 75.000 voitures à l'horizon 2019. Une date qui verra un renforcement de la maind'oeuvre et une augmentation du taux de l'intégration nationale dans la production de véhicules à 42 %. Une augmentation de la production est prévue pour atteindre le nombre de 150.000 véhicules à long terme. Pour atteindre ces objectifs, la RAP a organisé, en septembre 2013 des "Portes ouvertes" sur l'usine. Cette initiative avait pour but d'attirer les compétences, notamment les jeunes universitaires diplômés et présenter les conditions du recrutement. La société avait procédé également à l'aménagement d'un atelier au sein du centre de la formation professionnelle d'Oued Tlélat, près de l'usine, qui est dédié à la formation de ces jeunes recrutés, dans les métiers de l'industrie automobile. Inauguré le 8 avril 2014, cet atelier qui avait bénéficié d'importants moyens techniques et pédagogiques adaptés aux besoins de la formation en industrie mécanique et d'automobiles, conformément aux standards internationaux. Le 20 mai dernier, la visite à l'usine du ministre de l'Industrie et Mines, Abdeslam Bouchouareb, a été l'occasion de présenter les premiers prototypes de voitures en cours de montage. Il s'agit de "la Nouvelle Symbol" qui disposera de meilleures options par rapport aux autres modèles "Symbol 1 et 2 ", selon les propos du DG de la RAP, Bernard Sonilhac. Cette visite a été également une opportunité pour signer un accord de sous-traitance entre la RAP et une société locale à Oran, spécialisée dans la fabrication des pièces en plastique. Cette action était inscrite dans le cadre de la démarche de la RAP pour assurer un accompagnement du projet par un tissu de sous-traitance. Les pouvoirs publics ont accordé un important soutien à travers de multiples dispositifs incitant le développement de la sous-traitance autour du pôle de l'industrie mécanique. En début de juillet dernier, les premiers prototypes de voitures fabriquées par l'usine d'Oued Tlelat ont été acheminés vers l'usine homologue en Roumanie, pour qu'ils subissent les essais techniques et de qualité, selon les normes internationales de la marque Renault. Ces prototypes ont été soumis aux circuits de référentiels, assurant les différentes conditions météorologiques et géographiques du roulage sur une distance de 40.000 km. Le projet "Renault Algérie" avait bénéficié de diverses formules de soutien et des procédures de facilitation, notamment administratives et douanières ainsi que le réseau routier, l'approvisionnement en énergie et autres ressources. La cérémonie d'inauguration s'est déroulée en présence de deux ministres français, celui des Affaires étrangères et du Développement international, Laurent Fabius, et de l'Economie, de l'Industrie et du Numérique, Emmanuel Macron, ainsi que du P.-DG du groupe Renault, Carlos Ghosn. Après la visite le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a affirmé dans son discours que l'usine de fabrication de véhicules "Renault" d'Oued Tlelat "est le fruit d'un partenariat gagnant-gagnant". La feuille de route tracée par le Président consiste à mettre tous les moyens en disposition pour diversifier l'économie. "J'invite les responsables à atteindre 75.000 véhicules par an", a-t-il dit. "On vous encourage à développer d'autres modèles", a ajouté le Premier ministre qui s'est également exprimé sur les relations algéro-françaises. "La prochaine réunion, le 4 décembre prochain à Paris, va renforcer les relation algéro-françaises. Nous n'avons aucun complexe à aller chercher l'expérience et l'expertise et nous allons profiter de ces partenariats pour développer notre économie", a-t-il dit. "Des partenariats seront opérés dans l'agriculture, l'industrie... Nos partenaires devront faire preuve d'audace et de créativité et ils trouveront un pays jeune et stable politiquement", a conclu le Premier ministre. Il a également rappelé que "la construction de l'usine et son entrée en production se sont faites dans les délais impartis", signalant que "350 salariés ont été recrutés et formés sans compter les nombreux autres emplois indirects générés par l'externalisation de certaines activités connexes". "Il faut aller de l'avant et passer à d'autres étapes", a ajouté le Premier ministre. Sellal avait pris place, accompagné des ministres français des Affaires étrangères et du Développement international, Laurent Fabius, et de l'Economie, de l'Industrie et du Numérique, Emmanuel Macron, à bord d'une "Nouvelle Symbol", fabriquée sur le site d'Oued Tlelat. L'Algérie a lancé le processus de concrétisation de ce projet, le 19 décembre 2012, avec la signature d'un protocole d'accord avec la partie française, annonçant la création d'une usine de voitures de marque "Renault", au cours de la visite en Algérie, du président français François Hollande. Le 31 janvier 2013, la signature de l'acte de création de la SPA "Renault Algérie Production" (RAP spa) a été faite devant le notaire. Conformément à la loi et à la règle 51/49, la partie algérienne est représentée dans ce projet par le Conseil national d'investissement "CNI" (17 %) et la Société nationale des véhicules industrielles (SNVI) (34 %). Six mois plus tard, le projet a commencé à prendre sa forme physique avec le début des travaux d'aménagement d'une ancienne structure industrielle, située à Oued Tlélat, s'étalant sur une superficie de plus de 150 hectares. Les travaux d'aménagement ont commencé, en juillet 2013, en vue de la réhabilitation de cette structure pour qu'elle réponde aux exigences de ce type de projets. Par ailleurs, la direction de la RAP, dont le staff est composé de cadres des deux parties, a élaboré une feuille de route afin de doter l'usine d'une ressource humaine de qualité. Les plans ont visé les recrutements de près de 350 employés, couvrant le besoin de la première étape de l'entrée en production avec une moyenne de 25.000 voitures par an. A long terme, il est prévu une production de 75.000 voitures à l'horizon 2019. Une date qui verra un renforcement de la maind'oeuvre et une augmentation du taux de l'intégration nationale dans la production de véhicules à 42 %. Une augmentation de la production est prévue pour atteindre le nombre de 150.000 véhicules à long terme. Pour atteindre ces objectifs, la RAP a organisé, en septembre 2013 des "Portes ouvertes" sur l'usine. Cette initiative avait pour but d'attirer les compétences, notamment les jeunes universitaires diplômés et présenter les conditions du recrutement. La société avait procédé également à l'aménagement d'un atelier au sein du centre de la formation professionnelle d'Oued Tlélat, près de l'usine, qui est dédié à la formation de ces jeunes recrutés, dans les métiers de l'industrie automobile. Inauguré le 8 avril 2014, cet atelier qui avait bénéficié d'importants moyens techniques et pédagogiques adaptés aux besoins de la formation en industrie mécanique et d'automobiles, conformément aux standards internationaux. Le 20 mai dernier, la visite à l'usine du ministre de l'Industrie et Mines, Abdeslam Bouchouareb, a été l'occasion de présenter les premiers prototypes de voitures en cours de montage. Il s'agit de "la Nouvelle Symbol" qui disposera de meilleures options par rapport aux autres modèles "Symbol 1 et 2 ", selon les propos du DG de la RAP, Bernard Sonilhac. Cette visite a été également une opportunité pour signer un accord de sous-traitance entre la RAP et une société locale à Oran, spécialisée dans la fabrication des pièces en plastique. Cette action était inscrite dans le cadre de la démarche de la RAP pour assurer un accompagnement du projet par un tissu de sous-traitance. Les pouvoirs publics ont accordé un important soutien à travers de multiples dispositifs incitant le développement de la sous-traitance autour du pôle de l'industrie mécanique. En début de juillet dernier, les premiers prototypes de voitures fabriquées par l'usine d'Oued Tlelat ont été acheminés vers l'usine homologue en Roumanie, pour qu'ils subissent les essais techniques et de qualité, selon les normes internationales de la marque Renault. Ces prototypes ont été soumis aux circuits de référentiels, assurant les différentes conditions météorologiques et géographiques du roulage sur une distance de 40.000 km. Le projet "Renault Algérie" avait bénéficié de diverses formules de soutien et des procédures de facilitation, notamment administratives et douanières ainsi que le réseau routier, l'approvisionnement en énergie et autres ressources.