L ' Assemblée générale a instauré la Journée mondiale du souvenir des victimes des accidents de la route en 2005. Depuis, cette journée est commémorée dans de plus en plus de pays, sur tous les continents. Elle est devenue un outil important dans le cadre des efforts mondiaux pour améliorer la sécurité routière. L ' Assemblée générale a instauré la Journée mondiale du souvenir des victimes des accidents de la route en 2005. Depuis, cette journée est commémorée dans de plus en plus de pays, sur tous les continents. Elle est devenue un outil important dans le cadre des efforts mondiaux pour améliorer la sécurité routière. C'est l'occasion d'attirer l'attention sur l'ampleur des dégâts émotionnels et économiques, causés par les accidents de la route, et de rendre hommage aux victimes de la route et aux services de secours et de soutien. 69 personnes ont péri et 703 autres ont été blessées dans des accidents de la route survenus durant la période s'étalant du 7 au 13 octobre, signale un bilan publié par les services de la Gendarmerie nationale. La wilaya de M'sila vient en tête de liste en termes de nombre d'accidents (23), suivie de Béjaïa (16) et Médéa (15). Les dépassements dangereux, l'insouciance des piétons et l'excès de vitesse demeurent, selon ces services, les principales causes des accidents observés. Les accidents sont des événements soudains, violents et traumatisants et leurs conséquences sont durables, souvent permanentes. Chaque année, des millions de personnes sont blessées ou plongées dans le deuil dans tous les coins du monde. Le chagrin et la détresse de ces gens est d'autant plus intense que de nombreuses victimes sont jeunes et que beaucoup de ces accidents auraient pu être évités. De plus, les accidentés ont souvent le sentiment qu'ils ne reçoivent pas un soutien approprié aux circonstances. Cette journée du souvenir répond donc à un grand besoin des victimes de voir leur perte et leur douleur entendues et reconnues. Les unités de la Protection civile ont effectué 53.397 interventions, tous types confondus, depuis le début de l'année 2014, selon un bilan rendu public par cette institution, à l'occasion de 23 ans d'activité de son secours médicalisé. Sur les 53.397 interventions, 37.963 ont concerné les urgences médicales, 15.434 les accidents divers et 1.793 les dispositifs de couverture médicale, a-t-on précisé. Le téléphone portable est directement responsable de 79 accidents de la circulation en milieu urbain entre janvier et septembre derniers, a indiqué la DGSN dans un communiqué publié ce jeudi 9 octobre. « Une étude détaillée a montré que l'utilisation du téléphone portable au volant est responsable de 79 accidents de la route sur un total de 13 228 accidents enregistrés entre le 1er janvier et le 30 septembre 2014 en milieu urbain », a précisé la DGSN. Téléphoner au volant est passible d'une amende variable entre 2 000 DA et 4 000 DA et d'un retrait du permis de conduire pour une période de trois mois, rappelle la DGSN. Les sanctions peuvent être plus sévères dans le cas d'accidents graves provoqués par l'utilisation du mobile au volant, selon la même source. Les accidents de la route coûtent également la vie à nombre d'enfants encore plus jeunes. Chaque jour, 500 enfants dans le monde trouvent la mort sur le chemin de l'école, en revenant du square ou en se rendant chez des parents ou des amis. Des millions de personnes de tous âges sont grièvement blessées. Le choix du thème de la Journée mondiale 2014, « La vitesse tue », montre la voie à suivre. Plusieurs Etats ont pris des mesures pour lutter contre les excès de vitesse dans le cadre de la Décennie d'action des Nations unies pour la sécurité routière, qui se poursuivra jusqu'en 2020. La Chine, la Fédération de Russie, la France, le Kenya et la Turquie font partie du nombre croissant des pays qui adoptent de nouvelles lois, renforcent la répression et équipent leurs routes de ralentisseurs, de bandes rugueuses et d'autres dispositifs de ralentissement de la circulation. Si les véhicules doivent ralentir, la lutte mondiale contre les accidents de la route doit, elle, s'accélérer. En collaboration avec ses partenaires, l'Organisation des Nations unies met en oeuvre plusieurs initiatives, et prépare notamment la deuxième Conférence ministérielle mondiale sur la sécurité routière, qui doit se tenir au Brésil en novembre 2015. C'est l'occasion d'attirer l'attention sur l'ampleur des dégâts émotionnels et économiques, causés par les accidents de la route, et de rendre hommage aux victimes de la route et aux services de secours et de soutien. 69 personnes ont péri et 703 autres ont été blessées dans des accidents de la route survenus durant la période s'étalant du 7 au 13 octobre, signale un bilan publié par les services de la Gendarmerie nationale. La wilaya de M'sila vient en tête de liste en termes de nombre d'accidents (23), suivie de Béjaïa (16) et Médéa (15). Les dépassements dangereux, l'insouciance des piétons et l'excès de vitesse demeurent, selon ces services, les principales causes des accidents observés. Les accidents sont des événements soudains, violents et traumatisants et leurs conséquences sont durables, souvent permanentes. Chaque année, des millions de personnes sont blessées ou plongées dans le deuil dans tous les coins du monde. Le chagrin et la détresse de ces gens est d'autant plus intense que de nombreuses victimes sont jeunes et que beaucoup de ces accidents auraient pu être évités. De plus, les accidentés ont souvent le sentiment qu'ils ne reçoivent pas un soutien approprié aux circonstances. Cette journée du souvenir répond donc à un grand besoin des victimes de voir leur perte et leur douleur entendues et reconnues. Les unités de la Protection civile ont effectué 53.397 interventions, tous types confondus, depuis le début de l'année 2014, selon un bilan rendu public par cette institution, à l'occasion de 23 ans d'activité de son secours médicalisé. Sur les 53.397 interventions, 37.963 ont concerné les urgences médicales, 15.434 les accidents divers et 1.793 les dispositifs de couverture médicale, a-t-on précisé. Le téléphone portable est directement responsable de 79 accidents de la circulation en milieu urbain entre janvier et septembre derniers, a indiqué la DGSN dans un communiqué publié ce jeudi 9 octobre. « Une étude détaillée a montré que l'utilisation du téléphone portable au volant est responsable de 79 accidents de la route sur un total de 13 228 accidents enregistrés entre le 1er janvier et le 30 septembre 2014 en milieu urbain », a précisé la DGSN. Téléphoner au volant est passible d'une amende variable entre 2 000 DA et 4 000 DA et d'un retrait du permis de conduire pour une période de trois mois, rappelle la DGSN. Les sanctions peuvent être plus sévères dans le cas d'accidents graves provoqués par l'utilisation du mobile au volant, selon la même source. Les accidents de la route coûtent également la vie à nombre d'enfants encore plus jeunes. Chaque jour, 500 enfants dans le monde trouvent la mort sur le chemin de l'école, en revenant du square ou en se rendant chez des parents ou des amis. Des millions de personnes de tous âges sont grièvement blessées. Le choix du thème de la Journée mondiale 2014, « La vitesse tue », montre la voie à suivre. Plusieurs Etats ont pris des mesures pour lutter contre les excès de vitesse dans le cadre de la Décennie d'action des Nations unies pour la sécurité routière, qui se poursuivra jusqu'en 2020. La Chine, la Fédération de Russie, la France, le Kenya et la Turquie font partie du nombre croissant des pays qui adoptent de nouvelles lois, renforcent la répression et équipent leurs routes de ralentisseurs, de bandes rugueuses et d'autres dispositifs de ralentissement de la circulation. Si les véhicules doivent ralentir, la lutte mondiale contre les accidents de la route doit, elle, s'accélérer. En collaboration avec ses partenaires, l'Organisation des Nations unies met en oeuvre plusieurs initiatives, et prépare notamment la deuxième Conférence ministérielle mondiale sur la sécurité routière, qui doit se tenir au Brésil en novembre 2015.