La philosophie de "déconstruction", un terme ayant fait la renommée du penseur Jacques Derrida, a été décortiquée, lors d'un colloque international de deux jours, qui a été organisé au palais de la culture Abdelkrim-Dali de Tlemcen, à l'occasion de la commémoration du 10e anniversaire de la mort de ce philosophe né en Algérie. La philosophie de "déconstruction", un terme ayant fait la renommée du penseur Jacques Derrida, a été décortiquée, lors d'un colloque international de deux jours, qui a été organisé au palais de la culture Abdelkrim-Dali de Tlemcen, à l'occasion de la commémoration du 10e anniversaire de la mort de ce philosophe né en Algérie. Les participants ont débattu de grands thèmes qu'a traité ce penseur né en Algérie en 1930, comme la question de l'origine, du langage, du signe et du symbole. Ils ont également abordé les derniers travaux du philosophe sur l'hospitalité et l'amitié et ses dialogues avec les différents courants philosophiques et littéraires du 20e siècle traitant, entre autres, de la phénoménologie, du structuralisme et de l'herméneutique (interprétation des textes). Les intervenants ont souligné "l'impact des dialogues du penseur Jacques Derrida dans l'enrichissement du débat et son empreinte indélébile dans la marche des idées contemporaines". Les conférenciers ont, en outre, traité de "la vision du philosophe de la question de Babylone", qui représente un grand symbole dans les textes sacrés. La grande rencontre entre Derrida et le philosophe allemand Gadamer en 1981 sur les défis de l'herméneutique ayant permis de clarifier le rapport entre ce courant et la déconstruction", a été également évoquée lors de ce colloque, de même que la relation entre Derrida et Edmund Husserl à travers sa fameuse oeuvre L'origine de la géométrie. Le dialogue entre Derrida et l'un des derniers herméneutes, en l'occurrence Paul Ricoeur a été le thème développé par Bilal Koussa de l'université de Setif et l'historien et épistémologue français, François Dosse. Cette rencontre, qui se veut un hommage à ce philosophe, a permis aussi, aux chercheurs algériens, français, tunisiens et marocains présents, d'apporter de nouveaux éclairages sur "la stratégie dérridienne dans la déconstruction des récits et narrations en tant que support identitaire". Les chercheurs ont estimé, lors de la dernière journée de ce colloque international, que la pensée dérridienne abordée sous plusieurs angles "nécessite davantage de recherches et de débats", en recommandant de "faire toute la lumière sur l'oeuvre et le parcours de ce penseur contemporain, en collaboration entre spécialistes d'universités arabes et occiden- Les participants ont débattu de grands thèmes qu'a traité ce penseur né en Algérie en 1930, comme la question de l'origine, du langage, du signe et du symbole. Ils ont également abordé les derniers travaux du philosophe sur l'hospitalité et l'amitié et ses dialogues avec les différents courants philosophiques et littéraires du 20e siècle traitant, entre autres, de la phénoménologie, du structuralisme et de l'herméneutique (interprétation des textes). Les intervenants ont souligné "l'impact des dialogues du penseur Jacques Derrida dans l'enrichissement du débat et son empreinte indélébile dans la marche des idées contemporaines". Les conférenciers ont, en outre, traité de "la vision du philosophe de la question de Babylone", qui représente un grand symbole dans les textes sacrés. La grande rencontre entre Derrida et le philosophe allemand Gadamer en 1981 sur les défis de l'herméneutique ayant permis de clarifier le rapport entre ce courant et la déconstruction", a été également évoquée lors de ce colloque, de même que la relation entre Derrida et Edmund Husserl à travers sa fameuse oeuvre L'origine de la géométrie. Le dialogue entre Derrida et l'un des derniers herméneutes, en l'occurrence Paul Ricoeur a été le thème développé par Bilal Koussa de l'université de Setif et l'historien et épistémologue français, François Dosse. Cette rencontre, qui se veut un hommage à ce philosophe, a permis aussi, aux chercheurs algériens, français, tunisiens et marocains présents, d'apporter de nouveaux éclairages sur "la stratégie dérridienne dans la déconstruction des récits et narrations en tant que support identitaire". Les chercheurs ont estimé, lors de la dernière journée de ce colloque international, que la pensée dérridienne abordée sous plusieurs angles "nécessite davantage de recherches et de débats", en recommandant de "faire toute la lumière sur l'oeuvre et le parcours de ce penseur contemporain, en collaboration entre spécialistes d'universités arabes et occiden-