La micro-entreprise en Algérie prend des galons et s'affirme d'année en année. Les chiffres à ce sujet ne prêtent pas aux doutes et confirment l'impact de cette démarche sur l'économie nationale.En 20013, l'Ansej, l'Agence nationale de soutien à l'emploi de jeunes, a enregistré la création de 43.039 micro-entreprises qui ont généré 96.233 emplois. La micro-entreprise en Algérie prend des galons et s'affirme d'année en année. Les chiffres à ce sujet ne prêtent pas aux doutes et confirment l'impact de cette démarche sur l'économie nationale.En 20013, l'Ansej, l'Agence nationale de soutien à l'emploi de jeunes, a enregistré la création de 43.039 micro-entreprises qui ont généré 96.233 emplois. Le montant global des prêts non rémunérés de l'Ansej octroyés durant l'année passée aux postulants aux crédits pour la création des 43.039 micro-entreprises s'élève à 46 milliards DA, en plus des crédits bancaires. Aussi, plus de 82.900 dossiers de projets de création d'activités de jeunes promoteurs ont été validés par les comités de sélection et de validation dans le cadre de ce dispositif, dont 12.976 dans le secteur de l'agriculture et 4.011 dans le BTP. Et pour donner une idée sur la réussite des micro-entreprises dans la paysage économique algérien, on notera que 95 % d'entre elles créées dans le cadre de l'Ansej sont des entreprises réussies contre 4 % défaillantes. Et pour rassurer les jeunes dont les projets ont échoué, l'Ansej n'a pas l'intention de les poursuivre en justice et fera plutôt recours à la Caisse de garantie laquelle se chargera du remboursement des banques. Quant aux jeunes qui ont enregistré un retard dans le payement de leurs dettes, ils devront bénéficier d'un accompagnement des conseillers d'orientation de l'Agence. C'est dans ce sillage que s'ouvrira demain, à Alger, la 1ére édition du Salon national de la micro entreprise innovante dont le thème portera sur l'Innovation et l'entrepreneuriat. Un thème qui en dit long sur les prétentions des pouvoirs publics de souhaiter diversifier les créneaux en apportant une touche technologique, une sorte de « high tech », pour changer avec les créneaux classiques Organisée par l'Ansej, cette rencontre vise à promouvoir et à valoriser les activités générées par les micro-entreprises, créées dans le cadre du dispositif géré par cette agence, dans des secteurs innovants faisant appel à une haute technicité et un savoir-faire avérés dans le domaine des nouvelles technologies. A cet effet, on attend la participation de 43 exposants, spécialisés dans les technologies de l'information et de la communication, la production parapharmaceutique, la production industrielle, la récupération et le recyclage , les énergies renouvelables et l'environnement, y participeront aux côtés des organismes chargés de la mise en oeuvre des dispositifs d'emploi et d'appui à la création de micro entreprises (Anem, Ansej et Cnac), des départements ministériels concernés et des organismes spécialisés dans la promotion de la recherche et de la normalisation. Aussi, cet événement permettra aux jeunes, exposants et visiteurs, d'apprécier l'impact des idées innovantes sur la création, le développement et la pérennité de la micro-entreprise et de s'imprégner du rôle des organismes, administrations et partenaires intervenants dans les domaines de l'innovation et de la création de micro-entreprises en matière de promotion de l'entreprenariat. Par ailleurs le salon offre des opportunités de rencontre et d'échange entre les jeunes bénéficiaires des dispositifs publics d'appui à la création d'activités. Il permettra, également, aux jeunes entrepreneurs, d'une part de présenter leurs entreprises, leurs produits et services et d'autre part, de nouer des relations d'affaires aussi bien entre eux, qu'avec les différents opérateurs économiques. Le montant global des prêts non rémunérés de l'Ansej octroyés durant l'année passée aux postulants aux crédits pour la création des 43.039 micro-entreprises s'élève à 46 milliards DA, en plus des crédits bancaires. Aussi, plus de 82.900 dossiers de projets de création d'activités de jeunes promoteurs ont été validés par les comités de sélection et de validation dans le cadre de ce dispositif, dont 12.976 dans le secteur de l'agriculture et 4.011 dans le BTP. Et pour donner une idée sur la réussite des micro-entreprises dans la paysage économique algérien, on notera que 95 % d'entre elles créées dans le cadre de l'Ansej sont des entreprises réussies contre 4 % défaillantes. Et pour rassurer les jeunes dont les projets ont échoué, l'Ansej n'a pas l'intention de les poursuivre en justice et fera plutôt recours à la Caisse de garantie laquelle se chargera du remboursement des banques. Quant aux jeunes qui ont enregistré un retard dans le payement de leurs dettes, ils devront bénéficier d'un accompagnement des conseillers d'orientation de l'Agence. C'est dans ce sillage que s'ouvrira demain, à Alger, la 1ére édition du Salon national de la micro entreprise innovante dont le thème portera sur l'Innovation et l'entrepreneuriat. Un thème qui en dit long sur les prétentions des pouvoirs publics de souhaiter diversifier les créneaux en apportant une touche technologique, une sorte de « high tech », pour changer avec les créneaux classiques Organisée par l'Ansej, cette rencontre vise à promouvoir et à valoriser les activités générées par les micro-entreprises, créées dans le cadre du dispositif géré par cette agence, dans des secteurs innovants faisant appel à une haute technicité et un savoir-faire avérés dans le domaine des nouvelles technologies. A cet effet, on attend la participation de 43 exposants, spécialisés dans les technologies de l'information et de la communication, la production parapharmaceutique, la production industrielle, la récupération et le recyclage , les énergies renouvelables et l'environnement, y participeront aux côtés des organismes chargés de la mise en oeuvre des dispositifs d'emploi et d'appui à la création de micro entreprises (Anem, Ansej et Cnac), des départements ministériels concernés et des organismes spécialisés dans la promotion de la recherche et de la normalisation. Aussi, cet événement permettra aux jeunes, exposants et visiteurs, d'apprécier l'impact des idées innovantes sur la création, le développement et la pérennité de la micro-entreprise et de s'imprégner du rôle des organismes, administrations et partenaires intervenants dans les domaines de l'innovation et de la création de micro-entreprises en matière de promotion de l'entreprenariat. Par ailleurs le salon offre des opportunités de rencontre et d'échange entre les jeunes bénéficiaires des dispositifs publics d'appui à la création d'activités. Il permettra, également, aux jeunes entrepreneurs, d'une part de présenter leurs entreprises, leurs produits et services et d'autre part, de nouer des relations d'affaires aussi bien entre eux, qu'avec les différents opérateurs économiques.