Les lampions de la 7e édition du Festival de la musique et chanson amazighes se sont éteints tard dans la soirée de jeudi dernier dans une ambiance riche en couleurs et sonorités et dont l'animation a été l'œuvre de vedettes de la danse takouba et des troupes Amaoudhane Antoufat et Djorf de Tébessa sur l'esplanade du 1er-novembre jouxtant la maison de la culture. Les lampions de la 7e édition du Festival de la musique et chanson amazighes se sont éteints tard dans la soirée de jeudi dernier dans une ambiance riche en couleurs et sonorités et dont l'animation a été l'œuvre de vedettes de la danse takouba et des troupes Amaoudhane Antoufat et Djorf de Tébessa sur l'esplanade du 1er-novembre jouxtant la maison de la culture. La cérémonie s'est déroulée dans une ambiance de fête que les habitants de la capitale de Tinhinan et leurs hôtes, n'oublieront pas de sitôt, cette édition marquée par la participation à la fois quantitative et qualitative. La clôture à laquelle ont pris part les autorités locales, l'attaché culturel à l'ambassade de la République populaire de Chine en Algérie et des hommes de culture, a donné lieu à l'interprétation de morceaux de musique par la virtuose de l'Imzad Chetima de la région de Tin Tarabine, et du genre Tindi par la chanteuse Negzou, de la région de Silet. Le concours, l'essence même de ce rendez-vous, a mis en complétion plus d'une dizaine de troupes et chanteurs amateurs lauréats des concours régionaux, kabyle, targui, chaoui, mozabite, issus de plusieurs wilayas du pays. Durant ce moment propice et tant attendu par les participants, le président du jury du festival, Nadjib Chichoune, a indiqué que les critères d'évaluation des œuvres artistiques répondent aux objectifs du Festival, à savoir notamment la revivification du patrimoine lyrique amazighe, tous genres d'expression confondus. Ainsi, cette manifestation artistique, a été sanctionnée par une cérémonie de remise des prix aux trois premières troupes, dont celle d'Imsouraf de la ville de Djanet (Illizi), en première place, suivie par la troupe de Tritnit de la wilaya de Béjaïa et celle de Nesrine de la wilaya de Bouira, en 3eme position. La troupe de Karroudj de Bejaïa a été gratifiée du prix de la meilleure voix cantatrice, alors que celle de Youba, wilaya de Batna, a décroché le prix du meilleur texte. Les joueuses de l'Imzad, Khawlen et du genre Tindi, l'artiste Aminata, ont également été distinguées. Ce rendez-vous a vu le brassage d'algériens venus de plusieurs coins qui ont été régalés avec des soirées artistiques dans les genres musicaux traditionnels. Ainsi, l'échange et la création d'un cadre d'émulation entre participants en vu de promouvoir ce legs artistique algérien et, surtout préserver un pan entier de l'identité nationale. Pour rappel, outre des soirées artistiques prévues au niveau du chef lieu et à travers d'autres daïras de cette région frontalière, des communications et exposés ont été, à cette occasion, animés par des chercheurs en anthropologie et musicologie ayant trait notamment à la situation de la chanson amazighe et à la nécessaire préservation et promotion du patrimoine immatériel, partie intégrante de l'identité nationale. D'autres activités connexes ont également été organisées, telle que la projection du film Fadhma n'Soumeur de Belkacem Hadjadj. La cérémonie s'est déroulée dans une ambiance de fête que les habitants de la capitale de Tinhinan et leurs hôtes, n'oublieront pas de sitôt, cette édition marquée par la participation à la fois quantitative et qualitative. La clôture à laquelle ont pris part les autorités locales, l'attaché culturel à l'ambassade de la République populaire de Chine en Algérie et des hommes de culture, a donné lieu à l'interprétation de morceaux de musique par la virtuose de l'Imzad Chetima de la région de Tin Tarabine, et du genre Tindi par la chanteuse Negzou, de la région de Silet. Le concours, l'essence même de ce rendez-vous, a mis en complétion plus d'une dizaine de troupes et chanteurs amateurs lauréats des concours régionaux, kabyle, targui, chaoui, mozabite, issus de plusieurs wilayas du pays. Durant ce moment propice et tant attendu par les participants, le président du jury du festival, Nadjib Chichoune, a indiqué que les critères d'évaluation des œuvres artistiques répondent aux objectifs du Festival, à savoir notamment la revivification du patrimoine lyrique amazighe, tous genres d'expression confondus. Ainsi, cette manifestation artistique, a été sanctionnée par une cérémonie de remise des prix aux trois premières troupes, dont celle d'Imsouraf de la ville de Djanet (Illizi), en première place, suivie par la troupe de Tritnit de la wilaya de Béjaïa et celle de Nesrine de la wilaya de Bouira, en 3eme position. La troupe de Karroudj de Bejaïa a été gratifiée du prix de la meilleure voix cantatrice, alors que celle de Youba, wilaya de Batna, a décroché le prix du meilleur texte. Les joueuses de l'Imzad, Khawlen et du genre Tindi, l'artiste Aminata, ont également été distinguées. Ce rendez-vous a vu le brassage d'algériens venus de plusieurs coins qui ont été régalés avec des soirées artistiques dans les genres musicaux traditionnels. Ainsi, l'échange et la création d'un cadre d'émulation entre participants en vu de promouvoir ce legs artistique algérien et, surtout préserver un pan entier de l'identité nationale. Pour rappel, outre des soirées artistiques prévues au niveau du chef lieu et à travers d'autres daïras de cette région frontalière, des communications et exposés ont été, à cette occasion, animés par des chercheurs en anthropologie et musicologie ayant trait notamment à la situation de la chanson amazighe et à la nécessaire préservation et promotion du patrimoine immatériel, partie intégrante de l'identité nationale. D'autres activités connexes ont également été organisées, telle que la projection du film Fadhma n'Soumeur de Belkacem Hadjadj.