Le 24e Fespaco, qui présente pas moins de 86 films en compétition, verra également l'organisation d'un espace de vente et d'achat d'oeuvres cinématographiques et audiovisuelles dédiées aux professionnels. Le 24e Fespaco, qui présente pas moins de 86 films en compétition, verra également l'organisation d'un espace de vente et d'achat d'oeuvres cinématographiques et audiovisuelles dédiées aux professionnels. Des oeuvres cinématographiques algériennes seront en lice pour l'Etalon d'or de Yennenga lors du 24e Festival panafricain du cinéma d'Ouagadougou (Fespaco) qui se tiendra à Ouagadougou (Burkina Faso) du 28 février au 4 mars prochain, a-t-on appris sur le site Internet du festival. Deux longs métrages de fiction, un court métrage et un film documentaire algériens ont été retenus en compétition officielle de ce 24e Fespaco. Fadhma N'soumer de Belkacem Hadjadj et J'ai 50 ans de Djamel Azizi seront en compétition officielle du festival dans la catégorie long métrage dans laquelle 20 films de réalisateurs africains ont été retenus. Ces deux films seront en compétition avec des oeuvres comme Printemps tunisien de la Tunisienne Raja Amari, Timbuktu du Mauritanien Abderrahmane Sissako, C'est eux les chiens du Marocain Hicham Lasri ou encore Avant le printemps du cinéaste égyptien Ahmed Atef. Dédié au parcours révolutionnaire d'héroïnes de la guerre de Libération oubliées, "10949 femmes", de l'Algérienne Nassima Guessoum, sera en compétition avec Devoir de mémoire, du Malien Mamadou Cissé et Momsarew (Le pari de l'indépendance) du Sénégalais Alassane Diagne dans la catégorie documentaire. Dans la catégorie court métrage de fiction, Dernier recours de Mahi Bena sera en lice pour l'Etalon d'or de Yennenga de même que Zakaria, de la Tunisienne Leyla Bouzid, L'allianc de la Nigérienne Rahmatou Keita, La boucle du Réunionnais Didier Cheneau ou encore "Twaaga" du Burkinabé Cédric Ido. Le Fespaco compte également deux autres catégories en sélection officielle, Film des écoles africaines de cinéma et Séries télévisuelles où les Algériens sont absents depuis plusieurs éditions maintenant. Le 24e Fespaco, qui présente pas moins de 86 films en compétition, verra également l'organisation, pour la 17e année consécutive, du marché international du cinéma et de la télévision africain, un espace de vente et d'achat d'oeuvres cinématographiques et audiovisuelles dédié aux professionnels. Hors compétition, le long métrage Danbé, la tête haute de Bourlem Guerdjou, le documentaire El oued el oued de Abdennour Zahzah et le court métrage Iminig de Mbarek Menad seront projetés dans un panorama du cinéma africain. Se déroulant dans un contexte politique particulier, quatre mois après le soulèvement populaire au Burkina Faso qui a conduit à la chute du régime de Blaise Compaoré, le Fespaco ouvre pour la première fois la compétition aux réalisateurs de la diaspora africaine et aux films numériques, selon le site Internet du festival. Des oeuvres cinématographiques algériennes seront en lice pour l'Etalon d'or de Yennenga lors du 24e Festival panafricain du cinéma d'Ouagadougou (Fespaco) qui se tiendra à Ouagadougou (Burkina Faso) du 28 février au 4 mars prochain, a-t-on appris sur le site Internet du festival. Deux longs métrages de fiction, un court métrage et un film documentaire algériens ont été retenus en compétition officielle de ce 24e Fespaco. Fadhma N'soumer de Belkacem Hadjadj et J'ai 50 ans de Djamel Azizi seront en compétition officielle du festival dans la catégorie long métrage dans laquelle 20 films de réalisateurs africains ont été retenus. Ces deux films seront en compétition avec des oeuvres comme Printemps tunisien de la Tunisienne Raja Amari, Timbuktu du Mauritanien Abderrahmane Sissako, C'est eux les chiens du Marocain Hicham Lasri ou encore Avant le printemps du cinéaste égyptien Ahmed Atef. Dédié au parcours révolutionnaire d'héroïnes de la guerre de Libération oubliées, "10949 femmes", de l'Algérienne Nassima Guessoum, sera en compétition avec Devoir de mémoire, du Malien Mamadou Cissé et Momsarew (Le pari de l'indépendance) du Sénégalais Alassane Diagne dans la catégorie documentaire. Dans la catégorie court métrage de fiction, Dernier recours de Mahi Bena sera en lice pour l'Etalon d'or de Yennenga de même que Zakaria, de la Tunisienne Leyla Bouzid, L'allianc de la Nigérienne Rahmatou Keita, La boucle du Réunionnais Didier Cheneau ou encore "Twaaga" du Burkinabé Cédric Ido. Le Fespaco compte également deux autres catégories en sélection officielle, Film des écoles africaines de cinéma et Séries télévisuelles où les Algériens sont absents depuis plusieurs éditions maintenant. Le 24e Fespaco, qui présente pas moins de 86 films en compétition, verra également l'organisation, pour la 17e année consécutive, du marché international du cinéma et de la télévision africain, un espace de vente et d'achat d'oeuvres cinématographiques et audiovisuelles dédié aux professionnels. Hors compétition, le long métrage Danbé, la tête haute de Bourlem Guerdjou, le documentaire El oued el oued de Abdennour Zahzah et le court métrage Iminig de Mbarek Menad seront projetés dans un panorama du cinéma africain. Se déroulant dans un contexte politique particulier, quatre mois après le soulèvement populaire au Burkina Faso qui a conduit à la chute du régime de Blaise Compaoré, le Fespaco ouvre pour la première fois la compétition aux réalisateurs de la diaspora africaine et aux films numériques, selon le site Internet du festival.