Avec l'aquaculture, l'Algérie compte créer des postes d'emploi, de la valeur et intervenir pour équilibrer l'offre et la demande sur le marché des produits halieutiques», a indiqué Sid Ahmed Ferroukhi, ministre de la pêche et des ressources halieutiques qui était l'invité de la rédaction de la radio Chaîne 3. Avec l'aquaculture, l'Algérie compte créer des postes d'emploi, de la valeur et intervenir pour équilibrer l'offre et la demande sur le marché des produits halieutiques», a indiqué Sid Ahmed Ferroukhi, ministre de la pêche et des ressources halieutiques qui était l'invité de la rédaction de la radio Chaîne 3. Cette nouvelle stratégie du département de Ferroukhi est dictée essentiellement par la rareté de ce produit "sauvage". "Selon les campagnes d'évaluation scientifiques, nous arrivons à la limite de l'exploitation des stocks disponibles. Et c'est avec les élevages que nous comptons compenser l'offre", a expliqué l'invité de la Chaîne 3. "En plus des 20 fermes aquacoles existantes, plus de 30 projets sont en cours de mise en œuvre", a précisé le ministre qui a rappelé les différents avantages comparatifs accordés à cette filière, en termes d'assurance, de formation et de bonification des crédits. Les députés ont adopté mardi à l'unanimité le projet de loi modifiant et complétant la loi numéro 01-11 du 3 juillet 2001 relative à la pêche et à l'aquaculture, après y avoir introduit de nouvelles dispositions. Les membres de l'APN ont également adopté à l'unanimité les nouvelles dispositions aux articles introduits par la commission de l'Agriculture, de la pêche et de la protection de l'environnement de l'APN et ceux amendés dans le rapport préliminaire. Dans son intervention devant les députés, Ferroukhi a insisté sur l'importance de ce texte pour réaliser le plan quinquennal 2015-2019 du secteur, au niveau de toutes les wilayas côtières et intérieures et celles du Sud. A maintes reprises le ministre a souligné que le secteur était confronté à plusieurs problématiques liées essentiellement à la production, aux prix et à la préservation de la ressource halieutique, outre des problèmes qui concernent les professionnels et les mécanismes d'aménagements des différentes zones d'activité aquacole. Ce nouveau texte de loi prévoit de nouvelles mesures pour traiter ces problématiques dans le cadre du plan quinquennal et permettra de faciliter la mise en œuvre du programme Aquapêche 2020 qui prévoit de doubler la production actuelle à 200.000 tonnes et de créer plus de 30.000 emplois qui viendront s'ajouter aux 70.000 postes actuels. Le chiffre d'affaires des filières de la pêche et de l'aquaculture devrait atteindre 110 milliards DA. Pour atteindre cet objectif, il est "nécessaire de rétablir l'équilibre entre l'offre et la demande en relevant les capacités d'exploitation des ressources halieutiques, en organisant leur commercialisation et en préservant les ressources naturelles", avait souligné le ministre au cours d'une rencontre régionale d'appui à la stratégie nationale de développement de la pêche et de l'aquaculture à l'horizon 2020. Ce programme est fondé sur le principe de la concertation entre les professionnels, les représentants des différents secteurs, les experts et les chercheurs. Il devra permettre l'accompagnement de quelque 5.000 projets d'investissement dans le secteur, dont 350 dans l'aquaculture. Ainsi il est prévu dans le cadre de ce programme la création de 44 infrastructures de débarquement et de commercialisation des produits halieutiques, la création de 30.000 emplois et l'augmentation du chiffre d'affaires du secteur de 46 milliards de dinars actuellement à 110 milliards de dinars en 2020. Cette nouvelle stratégie du département de Ferroukhi est dictée essentiellement par la rareté de ce produit "sauvage". "Selon les campagnes d'évaluation scientifiques, nous arrivons à la limite de l'exploitation des stocks disponibles. Et c'est avec les élevages que nous comptons compenser l'offre", a expliqué l'invité de la Chaîne 3. "En plus des 20 fermes aquacoles existantes, plus de 30 projets sont en cours de mise en œuvre", a précisé le ministre qui a rappelé les différents avantages comparatifs accordés à cette filière, en termes d'assurance, de formation et de bonification des crédits. Les députés ont adopté mardi à l'unanimité le projet de loi modifiant et complétant la loi numéro 01-11 du 3 juillet 2001 relative à la pêche et à l'aquaculture, après y avoir introduit de nouvelles dispositions. Les membres de l'APN ont également adopté à l'unanimité les nouvelles dispositions aux articles introduits par la commission de l'Agriculture, de la pêche et de la protection de l'environnement de l'APN et ceux amendés dans le rapport préliminaire. Dans son intervention devant les députés, Ferroukhi a insisté sur l'importance de ce texte pour réaliser le plan quinquennal 2015-2019 du secteur, au niveau de toutes les wilayas côtières et intérieures et celles du Sud. A maintes reprises le ministre a souligné que le secteur était confronté à plusieurs problématiques liées essentiellement à la production, aux prix et à la préservation de la ressource halieutique, outre des problèmes qui concernent les professionnels et les mécanismes d'aménagements des différentes zones d'activité aquacole. Ce nouveau texte de loi prévoit de nouvelles mesures pour traiter ces problématiques dans le cadre du plan quinquennal et permettra de faciliter la mise en œuvre du programme Aquapêche 2020 qui prévoit de doubler la production actuelle à 200.000 tonnes et de créer plus de 30.000 emplois qui viendront s'ajouter aux 70.000 postes actuels. Le chiffre d'affaires des filières de la pêche et de l'aquaculture devrait atteindre 110 milliards DA. Pour atteindre cet objectif, il est "nécessaire de rétablir l'équilibre entre l'offre et la demande en relevant les capacités d'exploitation des ressources halieutiques, en organisant leur commercialisation et en préservant les ressources naturelles", avait souligné le ministre au cours d'une rencontre régionale d'appui à la stratégie nationale de développement de la pêche et de l'aquaculture à l'horizon 2020. Ce programme est fondé sur le principe de la concertation entre les professionnels, les représentants des différents secteurs, les experts et les chercheurs. Il devra permettre l'accompagnement de quelque 5.000 projets d'investissement dans le secteur, dont 350 dans l'aquaculture. Ainsi il est prévu dans le cadre de ce programme la création de 44 infrastructures de débarquement et de commercialisation des produits halieutiques, la création de 30.000 emplois et l'augmentation du chiffre d'affaires du secteur de 46 milliards de dinars actuellement à 110 milliards de dinars en 2020.