Le remaniement ministériel, dont on parle avec insistance ces derniers temps, ne semble pas être encore à l'ordre du jour. C'est, du moins, ce qu'a laissé entendre le Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Le remaniement ministériel, dont on parle avec insistance ces derniers temps, ne semble pas être encore à l'ordre du jour. C'est, du moins, ce qu'a laissé entendre le Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Interpellé hier au Conseil de la nation en marge de la séance de clôture de la session d'automne du Parlement le Premier ministre a, tout d'abord éludé la question, avant d'indiquer, en guise de réponse, « pas encore » . Sellal n'en dira pas plus laissant les journalistes sur leur faim. Cette question du remaniement ministériel revient sans cesse sur le devant de la scène nationale et ce depuis le mois de septembre dernier. A chaque fois on le disait imminent et les noms de quelques ministres partants sont même avancés ça et là. Il y a juste quelques semaines le secrétaire général du FLN, Amar Saïdani, a indiqué, en marge de l'audience accordée à l'ambassadrice des Etats-Unis, que « ce sera la semaine prochaine ». Il n'en fut rien jusqu'à présent et personne ne sait, apparemment que fera le chef de l'Etat à ce propos. Le Premier ministre s'est aussi exprimé sur les questions du gaz de schiste et du « découpage administratif » annoncé il y a quelques jours par le président de la République lors du dernier Conseil ministériel restreint. « Dans le cadre du rapprochement du citoyen avec l'administration, le développement des régions sahariennes et des Hauts-Plateaux il a été décidé de réaliser de manière progressive le découpage administratif et cela fait partie du programme du président de la République » a indiqué Sellal ajoutant que pour ce qui est du sud du pays « il est probable de créer 11 wilayas déléguées dans le courant de l'année en cours ». ll en sera de même pour les Hauts-Plateaux, mais « ce sera l'année prochaine ». Le Premier ministre a toutefois soutenu que ces wilayas déléguées auront de plus larges prérogatives contrairement aux wilayas déléguées qu existent actuellement. Il est vrai que les wilayas déléguées d'Alger, créées il y a quelques années de cela, ne disposent d'aucune prérogative importante. Ce n'est qu'après cette étape, soit en 2017, que des wilayas déléguées seront créées dans le nord du pays, a encore précisé le Premier ministre. Ce réaménagement ne s'arrêtera pas à ce stade puisque Sellal a annoncé qu'un projet de découpage administratif sera présenté par la suite au Parlement et où il sera question de la création de nouvelles wilayas avec toutes les prérogatives que cela induit. Sellal a été aussi questionné sur la question du gaz de schiste et la colère des habitants d'In-Salah qui s'opposent à son exploitation. « Pour le gaz non conventionnel, car il faut l'appeler par son vrai nom, on en a parlé à maintes reprises en présentant des clarifications. Il faut dire que l'entreprise Sonatrach fait des études pour connaître les potentialités de l'Algérie qui sont, selon certaines études, énormes » a affirmé Sellal en évoquant le premier forage dans la région d'Ahlit et le deuxième qui sera bientôt achevé. Le Premier ministre a ajouté que « dès la fin du forage on arrêtera l'opération car l'étude va durer quatre années et ce n'est qu'à l'horizon 2020 que l'on va voir si il y a une nécessité d'exploiter cette énergie ou non. Car il est nécessaire que l'Etat fasse des études prospectives dans l'intérêt des générations futures Je dois ajouter que le forage de Sonatrach ne comporte aucun danger sur le plan de la santé ». Sellal a donc tenu à rassurer, une fois de plus, les populations d'In-Salah. Interpellé hier au Conseil de la nation en marge de la séance de clôture de la session d'automne du Parlement le Premier ministre a, tout d'abord éludé la question, avant d'indiquer, en guise de réponse, « pas encore » . Sellal n'en dira pas plus laissant les journalistes sur leur faim. Cette question du remaniement ministériel revient sans cesse sur le devant de la scène nationale et ce depuis le mois de septembre dernier. A chaque fois on le disait imminent et les noms de quelques ministres partants sont même avancés ça et là. Il y a juste quelques semaines le secrétaire général du FLN, Amar Saïdani, a indiqué, en marge de l'audience accordée à l'ambassadrice des Etats-Unis, que « ce sera la semaine prochaine ». Il n'en fut rien jusqu'à présent et personne ne sait, apparemment que fera le chef de l'Etat à ce propos. Le Premier ministre s'est aussi exprimé sur les questions du gaz de schiste et du « découpage administratif » annoncé il y a quelques jours par le président de la République lors du dernier Conseil ministériel restreint. « Dans le cadre du rapprochement du citoyen avec l'administration, le développement des régions sahariennes et des Hauts-Plateaux il a été décidé de réaliser de manière progressive le découpage administratif et cela fait partie du programme du président de la République » a indiqué Sellal ajoutant que pour ce qui est du sud du pays « il est probable de créer 11 wilayas déléguées dans le courant de l'année en cours ». ll en sera de même pour les Hauts-Plateaux, mais « ce sera l'année prochaine ». Le Premier ministre a toutefois soutenu que ces wilayas déléguées auront de plus larges prérogatives contrairement aux wilayas déléguées qu existent actuellement. Il est vrai que les wilayas déléguées d'Alger, créées il y a quelques années de cela, ne disposent d'aucune prérogative importante. Ce n'est qu'après cette étape, soit en 2017, que des wilayas déléguées seront créées dans le nord du pays, a encore précisé le Premier ministre. Ce réaménagement ne s'arrêtera pas à ce stade puisque Sellal a annoncé qu'un projet de découpage administratif sera présenté par la suite au Parlement et où il sera question de la création de nouvelles wilayas avec toutes les prérogatives que cela induit. Sellal a été aussi questionné sur la question du gaz de schiste et la colère des habitants d'In-Salah qui s'opposent à son exploitation. « Pour le gaz non conventionnel, car il faut l'appeler par son vrai nom, on en a parlé à maintes reprises en présentant des clarifications. Il faut dire que l'entreprise Sonatrach fait des études pour connaître les potentialités de l'Algérie qui sont, selon certaines études, énormes » a affirmé Sellal en évoquant le premier forage dans la région d'Ahlit et le deuxième qui sera bientôt achevé. Le Premier ministre a ajouté que « dès la fin du forage on arrêtera l'opération car l'étude va durer quatre années et ce n'est qu'à l'horizon 2020 que l'on va voir si il y a une nécessité d'exploiter cette énergie ou non. Car il est nécessaire que l'Etat fasse des études prospectives dans l'intérêt des générations futures Je dois ajouter que le forage de Sonatrach ne comporte aucun danger sur le plan de la santé ». Sellal a donc tenu à rassurer, une fois de plus, les populations d'In-Salah.