Le président tunisien, Béji Caid Essebsi, effectuera à partir d'aujourd'hui une visite d'Etat de deux jours en Algérie, à l'invitation du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, indique hier un communiqué de la présidence de la République. Le président tunisien, Béji Caid Essebsi, effectuera à partir d'aujourd'hui une visite d'Etat de deux jours en Algérie, à l'invitation du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, indique hier un communiqué de la présidence de la République. Cette « visite offrira l'occasion aux deux chefs d'Etat de se pencher sur les voies et moyens de consolider les liens historiques de fraternité et de solidarité active entre les peuples algérien et tunisien, et de dynamiser davantage la coopération entre les deux pays, au bénéfice de leur développement mutuel et au service de la construction de l'Union du Maghreb arabe », souligne la même source. La rencontre « permettra aussi aux présidents Bouteflika et Caid Essebsi de poursuivre la concertation et la coordination entre l'Algérie et la Tunisie sur des questions d'intérêt commun, notamment au niveau des régions maghrébine et sahélienne, ainsi que de la nation arabe », ajoute le communiqué. Le président tunisien devait réserver à l'Algérie son premier déplacement officiel. Toutefois, la mort du roi de l'Arabie saoudite avait bousculé son agenda. Néanmoins, il s'agit ici de la première visite d'Etat de Caid Essebsi depuis son investiture. Comme il l'avait promis au lendemain de son élection, Béji Caïd Essebsi réservera sa première sortie officielle hors de son pays à l'Algérie, en signe des liens étroits qui unissent les deux pays. Dans une récente déclaration à l'APS le nouveau président tunisien avait déclaré que « ma Alger », affirmant que la coopération entre les deux pays va se renforcer à l'avenir. « J'ai déjà déclaré pendant la campagne électorale que ma première visite officielle sera en Algérie. Je le confirme en tant que président », avait souligné M. Essebsi. « Les relations algéro-tunisiennes vont s'améliorer davantage dans l'avenir », at- il ajouté. Le président Béji Caid Essebsi, nouvellement élu, oeuvrera à renforcer la coopération algéro-tunisienne dans les différents domaines et à la hisser au plus haut niveau afin de permettre à la Tunisie de relever les défis auxquels elle est confrontée, avait affirmé pour sa part l'analyste politique Alia Allani cité par l'APS. L'Algérie sera le premier pays où se rendra le président Essebsi dans l'objectif d'établir une coopération et un partenariat économique plus important entre les deux pays voisins, a indiqué l'analyste tunisien. Faut-il rappeler que l'Algérie est le premier pays à avoir accordé un prêt à la Tunisie à l'époque du Premier gouvernement d'Essebsi, formé après la révolution tunisienne en 2011, ce qui reflète les relations fortes et solides entre les deux pays et peuples frères. La coopération économique bilatérale peut se transformer en « un partenariat exceptionnel ne se limitant pas uniquement à l'octroi d'aides algériennes à la Tunisie mais qui impliquerait d'importants investissements dans différents domaines intéressant les deux pays », a affirmé l'analyste politique, Alia Allani. L'Algérie et la Tunisie peuvent oeuvrer ensemble au développement des régions frontalières, à travers la réalisation de projets économiques efficients et prometteurs, pour juguler le phénomène de la contrebande et assurer une vie décente à leurs populations, outre la lutte contre le terrorisme et le chômage. Les perspectives de coopération économique entre l'Algérie et la Tunisie sont importantes, notamment dans les domaines de l'agriculture, de l'industrie et du tourisme. Concernant la coopération sécuritaire, qui est très importante en ce moment, il est à noter que les Tunisiens ont maintes fois salué la coopération algérienne dans le domaine sécuritaire, lors de la période de transition, se disant satisfaits du double effort consenti par l'Algérie lors des élections législatives et de l'élection présidentielle organisées en Tunisie, à travers le renforcement des mesures et des moyens sécuritaires au niveau des frontières, envue d'empêcher l'infiltration de terroristes. Cette « visite offrira l'occasion aux deux chefs d'Etat de se pencher sur les voies et moyens de consolider les liens historiques de fraternité et de solidarité active entre les peuples algérien et tunisien, et de dynamiser davantage la coopération entre les deux pays, au bénéfice de leur développement mutuel et au service de la construction de l'Union du Maghreb arabe », souligne la même source. La rencontre « permettra aussi aux présidents Bouteflika et Caid Essebsi de poursuivre la concertation et la coordination entre l'Algérie et la Tunisie sur des questions d'intérêt commun, notamment au niveau des régions maghrébine et sahélienne, ainsi que de la nation arabe », ajoute le communiqué. Le président tunisien devait réserver à l'Algérie son premier déplacement officiel. Toutefois, la mort du roi de l'Arabie saoudite avait bousculé son agenda. Néanmoins, il s'agit ici de la première visite d'Etat de Caid Essebsi depuis son investiture. Comme il l'avait promis au lendemain de son élection, Béji Caïd Essebsi réservera sa première sortie officielle hors de son pays à l'Algérie, en signe des liens étroits qui unissent les deux pays. Dans une récente déclaration à l'APS le nouveau président tunisien avait déclaré que « ma Alger », affirmant que la coopération entre les deux pays va se renforcer à l'avenir. « J'ai déjà déclaré pendant la campagne électorale que ma première visite officielle sera en Algérie. Je le confirme en tant que président », avait souligné M. Essebsi. « Les relations algéro-tunisiennes vont s'améliorer davantage dans l'avenir », at- il ajouté. Le président Béji Caid Essebsi, nouvellement élu, oeuvrera à renforcer la coopération algéro-tunisienne dans les différents domaines et à la hisser au plus haut niveau afin de permettre à la Tunisie de relever les défis auxquels elle est confrontée, avait affirmé pour sa part l'analyste politique Alia Allani cité par l'APS. L'Algérie sera le premier pays où se rendra le président Essebsi dans l'objectif d'établir une coopération et un partenariat économique plus important entre les deux pays voisins, a indiqué l'analyste tunisien. Faut-il rappeler que l'Algérie est le premier pays à avoir accordé un prêt à la Tunisie à l'époque du Premier gouvernement d'Essebsi, formé après la révolution tunisienne en 2011, ce qui reflète les relations fortes et solides entre les deux pays et peuples frères. La coopération économique bilatérale peut se transformer en « un partenariat exceptionnel ne se limitant pas uniquement à l'octroi d'aides algériennes à la Tunisie mais qui impliquerait d'importants investissements dans différents domaines intéressant les deux pays », a affirmé l'analyste politique, Alia Allani. L'Algérie et la Tunisie peuvent oeuvrer ensemble au développement des régions frontalières, à travers la réalisation de projets économiques efficients et prometteurs, pour juguler le phénomène de la contrebande et assurer une vie décente à leurs populations, outre la lutte contre le terrorisme et le chômage. Les perspectives de coopération économique entre l'Algérie et la Tunisie sont importantes, notamment dans les domaines de l'agriculture, de l'industrie et du tourisme. Concernant la coopération sécuritaire, qui est très importante en ce moment, il est à noter que les Tunisiens ont maintes fois salué la coopération algérienne dans le domaine sécuritaire, lors de la période de transition, se disant satisfaits du double effort consenti par l'Algérie lors des élections législatives et de l'élection présidentielle organisées en Tunisie, à travers le renforcement des mesures et des moyens sécuritaires au niveau des frontières, envue d'empêcher l'infiltration de terroristes.