La directrice générale du FMI, Christine Lagarde, a demandé aux principales puissances économiques du globe "à passer à l'action" pour éviter un ralentissement de la croissance mondiale, à quelques jours d'un G20-Finances à Istanbul. La directrice générale du FMI, Christine Lagarde, a demandé aux principales puissances économiques du globe "à passer à l'action" pour éviter un ralentissement de la croissance mondiale, à quelques jours d'un G20-Finances à Istanbul. Il est temps de passer à l'action (...). L'enjeu est de taille. Sans action, le supertanker de l'économie mondiale pourrait continuer à être englué dans les eaux basses d'une croissance molle et de créations d'emplois faméliques", écrit Christine Lagarde dans un blog publié sur le site du FMI. Les ministres des Finances des pays développés et émergents du G20, qui se réunissent lundi et mardi dans la capitale turque, doivent d'urgence mettre en oeuvre les "ambitieuses" réformes structurelles censées injecter 2.000 milliards de dollars supplémentaires dans le PIB mondial, a estimé Christine Lagarde. "Nous avons besoin d'une accélération décisive vers les réformes structurelles dans les domaines tels que le commerce, l'éducation, la santé (...) et des infrastructures efficaces", a-t-elle détaillé. L'économie mondiale peut profiter de "l'élan" fourni par les faibles prix du pétrole mais pourrait également pâtir d'une "volatilité excessive" liée à la normalisation monétaire aux Etats-Unis, a mis en garde la dirigeante, craignant aussi que l'Europe ne reste dans le "flou" pour une longue période. Le renforcement du dollar par rapport aux autres grandes devises représente un autre "risque", spécialement pour les pays émergents dont les banques et entreprises ont contracté des emprunts libellés en monnaie américaine qui vont dès lors devenir plus compliqués à rembourser, selon Christine Lagarde. Il est temps de passer à l'action (...). L'enjeu est de taille. Sans action, le supertanker de l'économie mondiale pourrait continuer à être englué dans les eaux basses d'une croissance molle et de créations d'emplois faméliques", écrit Christine Lagarde dans un blog publié sur le site du FMI. Les ministres des Finances des pays développés et émergents du G20, qui se réunissent lundi et mardi dans la capitale turque, doivent d'urgence mettre en oeuvre les "ambitieuses" réformes structurelles censées injecter 2.000 milliards de dollars supplémentaires dans le PIB mondial, a estimé Christine Lagarde. "Nous avons besoin d'une accélération décisive vers les réformes structurelles dans les domaines tels que le commerce, l'éducation, la santé (...) et des infrastructures efficaces", a-t-elle détaillé. L'économie mondiale peut profiter de "l'élan" fourni par les faibles prix du pétrole mais pourrait également pâtir d'une "volatilité excessive" liée à la normalisation monétaire aux Etats-Unis, a mis en garde la dirigeante, craignant aussi que l'Europe ne reste dans le "flou" pour une longue période. Le renforcement du dollar par rapport aux autres grandes devises représente un autre "risque", spécialement pour les pays émergents dont les banques et entreprises ont contracté des emprunts libellés en monnaie américaine qui vont dès lors devenir plus compliqués à rembourser, selon Christine Lagarde.