Encore une fois, la salle mythique Mustapha-Kateb, du théâtre national Mahiedine-Bachtarzi, a accueilli l'Orchestre symphonique national et l'Opéra de Chine dans un concert prestigieux proposé à l'occasion de la fête du printemps de la Chine 2015. Encore une fois, la salle mythique Mustapha-Kateb, du théâtre national Mahiedine-Bachtarzi, a accueilli l'Orchestre symphonique national et l'Opéra de Chine dans un concert prestigieux proposé à l'occasion de la fête du printemps de la Chine 2015. Organisé sous le patronage de madame la ministre de la culture et l'ambassade de la république de Chine, l'ensemble de ces deux orchestres, sous la direction du maestro Amine Kouider, a su mettre les bouchées double en faisant voyager les mélomanes entre trois continents en l'occurrence Asie, Europe en enfin l'Afrique. Composé de pas moins de 70 musiciens de haut niveau, avec un chef d'orchestre qui les menait avec enthousiasme, l'ensemble a joué une musique riche de ses diversités. Du répertoire constitué d'un florilège de pièces classiques du patrimoine universel et du terroir des deux pays, en présence de Nadia Labidi, ministre de la Culture, Noureddine Bedoui, ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Yang Guangyu, ambassadeur de la République populaire de Chine et Abdelkader Zoukh, wali d'Alger, les fidèles étaient venus très nombreux au rendez-vous pour assister à cet exceptionnel et original concert, agrémenté de compositeurs renommés du XXe siècle comme Beethoven, ces instants de détente ont permis de découvrir une musique différente, étonnante, captivante qui a bien plu au public à travers deux voix magnifiques de la soprano Hongling Liu et du ténor Jin Zhengjian. Un moment unique et intense pour explorer un monde inconnu et reconnu. C'est le premier violon chinois Li Zhe fit son entrée, suivi du maestro Amine Kouider, tenant au bout de sa baguette les secrets d'une soirée prolifique. Célébration, pièce de XLiang, exaltant le printemps chinois 2015, a été jouée en ouverture, donnant le ton d'un programme consistant, tourné, en partie, vers le patrimoine de la Chine et celui de l'Algérie. S'ensuivra, Dance of Yao People, une musique apaisante du patrimoine chinois, marquée par la douceur des gammes pentatoniques avec des passages mélodiques à trois temps. La voix puissante et travaillée du ténor Jin Zhengjian a ensuite retenti dans la salle, sur un bel élan lyrique, interprétant O Sole Mio du compositeur italien Eduardo Di Capua (1865-1917), arrangé par L. Logiv. Le ténor chinois, très applaudi par le public, a entonné avec brio Nessun Dorma de Giacomo Puccini (1858-1924), avant d'être rejoint par la cantatrice Hongling Liu, soprano de l'Opéra central de Chine et interpréter en duo avec elle La Traviata Brindisi Libiamo de Giuseppe Verdi (1813- 1901). Hongling Liu a, pour sa part, promené l'assistance, avec sa voix suave et cristalline, dans une randonnée onirique, faisant montre de toute sa tessiture dans, Aria De Lionora, et La force du destin, du célèbre compositeur italien de la Traviata. La cantatrice de l'Opéra de Chine a brillamment conclu avec I Love You, China, du compositeur Z.Qiufeng, mettant en valeur toute l'étendue de son talent porté par une présence et un charisme imposants. Les instrumentistes, parmi lesquels des musiciens chinois, français, espagnols, syriens, tunisiens et ukrainiens, bien inspirés par la pétulance de leur maestro, ont enchaîné trois pièces algériennes qui ont suscité de l'entrain dans le public. Ya Rayeh, Taos et El Ghomari, trois styles différents de musique algérienne, ont été savamment interprétés par l'Osn, laissant l'assistance prendre le relais dans une ambiance euphorique. Dernière pièce dans le programme de ce récital, la Symphonie N° 7 en La Majeur Opus 92 en quatre mouvements, du grand compositeur allemand Ludwig Van Beethoven (1770- 1827), qu' Amine Kouider a conduit d'une main de maître. Organisé sous le patronage de madame la ministre de la culture et l'ambassade de la république de Chine, l'ensemble de ces deux orchestres, sous la direction du maestro Amine Kouider, a su mettre les bouchées double en faisant voyager les mélomanes entre trois continents en l'occurrence Asie, Europe en enfin l'Afrique. Composé de pas moins de 70 musiciens de haut niveau, avec un chef d'orchestre qui les menait avec enthousiasme, l'ensemble a joué une musique riche de ses diversités. Du répertoire constitué d'un florilège de pièces classiques du patrimoine universel et du terroir des deux pays, en présence de Nadia Labidi, ministre de la Culture, Noureddine Bedoui, ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Yang Guangyu, ambassadeur de la République populaire de Chine et Abdelkader Zoukh, wali d'Alger, les fidèles étaient venus très nombreux au rendez-vous pour assister à cet exceptionnel et original concert, agrémenté de compositeurs renommés du XXe siècle comme Beethoven, ces instants de détente ont permis de découvrir une musique différente, étonnante, captivante qui a bien plu au public à travers deux voix magnifiques de la soprano Hongling Liu et du ténor Jin Zhengjian. Un moment unique et intense pour explorer un monde inconnu et reconnu. C'est le premier violon chinois Li Zhe fit son entrée, suivi du maestro Amine Kouider, tenant au bout de sa baguette les secrets d'une soirée prolifique. Célébration, pièce de XLiang, exaltant le printemps chinois 2015, a été jouée en ouverture, donnant le ton d'un programme consistant, tourné, en partie, vers le patrimoine de la Chine et celui de l'Algérie. S'ensuivra, Dance of Yao People, une musique apaisante du patrimoine chinois, marquée par la douceur des gammes pentatoniques avec des passages mélodiques à trois temps. La voix puissante et travaillée du ténor Jin Zhengjian a ensuite retenti dans la salle, sur un bel élan lyrique, interprétant O Sole Mio du compositeur italien Eduardo Di Capua (1865-1917), arrangé par L. Logiv. Le ténor chinois, très applaudi par le public, a entonné avec brio Nessun Dorma de Giacomo Puccini (1858-1924), avant d'être rejoint par la cantatrice Hongling Liu, soprano de l'Opéra central de Chine et interpréter en duo avec elle La Traviata Brindisi Libiamo de Giuseppe Verdi (1813- 1901). Hongling Liu a, pour sa part, promené l'assistance, avec sa voix suave et cristalline, dans une randonnée onirique, faisant montre de toute sa tessiture dans, Aria De Lionora, et La force du destin, du célèbre compositeur italien de la Traviata. La cantatrice de l'Opéra de Chine a brillamment conclu avec I Love You, China, du compositeur Z.Qiufeng, mettant en valeur toute l'étendue de son talent porté par une présence et un charisme imposants. Les instrumentistes, parmi lesquels des musiciens chinois, français, espagnols, syriens, tunisiens et ukrainiens, bien inspirés par la pétulance de leur maestro, ont enchaîné trois pièces algériennes qui ont suscité de l'entrain dans le public. Ya Rayeh, Taos et El Ghomari, trois styles différents de musique algérienne, ont été savamment interprétés par l'Osn, laissant l'assistance prendre le relais dans une ambiance euphorique. Dernière pièce dans le programme de ce récital, la Symphonie N° 7 en La Majeur Opus 92 en quatre mouvements, du grand compositeur allemand Ludwig Van Beethoven (1770- 1827), qu' Amine Kouider a conduit d'une main de maître.