Il est "certain que les élections n'auront pas lieu le 21 mars", a reconnu le porte-parole de la commission électorale, Omar Marwan. Les élections législatives, prévues entre le 21 mars et le 7 mai en Egypte, vont être retardées après que la justice a considéré anticonstitutionnelle la loi les organisant, a annoncé dimanche la commission électorale, sans préciser sous quel délai elles se tiendraient. Il est "certain que les élections n'auront pas lieu le 21 mars", a reconnu le porte-parole de la commission électorale, Omar Marwan. Les élections législatives, prévues entre le 21 mars et le 7 mai en Egypte, vont être retardées après que la justice a considéré anticonstitutionnelle la loi les organisant, a annoncé dimanche la commission électorale, sans préciser sous quel délai elles se tiendraient. La Cour constitutionnelle a rejeté, dimanche, des dispositions de cette loi, concernant le découpage des circonscriptions électorales. Le président Abdel Fattah al-Sissi a alors aussitôt ordonné que le texte, ratifié en décembre, soit réécrit d'ici à un mois et que toutes les "mesures légales soient prises pour éviter le report" des législatives, selon un communiqué de son bureau. Le tribunal administratif doit encore annoncer le rapport Les dispositions jugées anticonstitutionnelles vont être revues et "il y aura un nouveau calendrier pour les procédures" des élections, a précisé la commission dans un communiqué. Omar Marwan n'était pas en mesure de dire sous quel délai le scrutin serait organisé. Sur la base de l'arrêt de la Cour constitutionnelle, le tribunal administratif doit encore annoncer formellement le report des législatives, les premières sous la présidence de Abdel Fattah al-Sissi. "L'élection va être repoussée et le processus va devoir être repris au début", a déclaré Mohamed Abdel Wahhab, unjuriste. La Cour constitutionnelle a rejeté, dimanche, des dispositions de cette loi, concernant le découpage des circonscriptions électorales. Le président Abdel Fattah al-Sissi a alors aussitôt ordonné que le texte, ratifié en décembre, soit réécrit d'ici à un mois et que toutes les "mesures légales soient prises pour éviter le report" des législatives, selon un communiqué de son bureau. Le tribunal administratif doit encore annoncer le rapport Les dispositions jugées anticonstitutionnelles vont être revues et "il y aura un nouveau calendrier pour les procédures" des élections, a précisé la commission dans un communiqué. Omar Marwan n'était pas en mesure de dire sous quel délai le scrutin serait organisé. Sur la base de l'arrêt de la Cour constitutionnelle, le tribunal administratif doit encore annoncer formellement le report des législatives, les premières sous la présidence de Abdel Fattah al-Sissi. "L'élection va être repoussée et le processus va devoir être repris au début", a déclaré Mohamed Abdel Wahhab, unjuriste.